Un instant de tranquillité

Tu te réveilles et ne sais pas à quel moment de la soirée, tu t'es endormie. Évanouie serait d'ailleurs un meilleur terme, mais le soleil traverse tes paupières et tu n'as pas envie de rester dans ton lit. Tu as la simple obsession de vouloir t'entraîner sans relâche depuis quelques jours. Tu viens à peine de comprendre comment canaliser cette puissance qu'est le raiton et tu n'avais pas grand monde à qui parler de cette petite découverte. Tu avais eu vent du retour de ton cousin, mais il n'était pas en état de discuter et tu restes seul dans ton coin comme tu le fais toujours. Tu restes silencieux pendant le repas et fais mine de ne pas remarquer l'air inquiet de tes parents et esquiver une discussion qui n'aurait pas de conclusion au final. Tu n'allais pas répondre à la question qui te demande ce qui ne va pas puisque tu ne connais pas toi-même la raison. Tu es simplement en conflit interne et complètement ailleurs. La discussion avec le Kage t'avait permis de relâcher la pression un minimum, mais cela ne faisait pas tout et tu n'appréciais pas l'atmosphère général du village. Tu cherchais quelqu'un capable de te faire sortir de tes pensées. Mais en vain. Tu quittes la table et te diriges dans ta chambre pour récupérer tes affaires et partir en direction de la zone d'entraînement. Le vieux terrain abandonné et ignoré de tous faisait très bien l'affaire.

Tu te réveilles et ne sais pas à quel moment de la soirée, tu t'es endormie. Tu pars sur un échauffement des plus simple, mais qui reste efficace en courant autour du terrain. Tu tentes mollement de te concentrer pour utiliser ton chakra, mais une fois n'est pas coutume, voilà que tu n'es pas dans un état de réfléchir calmement et il n'allait pas être possible de te mettre à méditer. Tu n’avais véritablement pas la moindre idée de comment faire pour te détendre. Dès l’instant que tu fermes les yeux, tu ne peux t’empêcher d’avoir un flux de pensée parasite qui te prend la tête et t’éloigne de plus en plus de ton objectif. Tu ne retiens pas ton soupir et t’allonge simplement en râlant. Tu restes un instant à fixer le ciel et te poser des questions et te faire des films plus sordides les uns que les autres. Mais tu es sorti de tes pensées par des bruits de pas. Une sensation de déjà vu qui ne t’enchantes pas, car si tu viens sur ce terrain, c’est pour être tranquille après tout. Tu te redresses et empoigne un kunai que tu lances sans attendre pour qu’il se plante dans l’arbre à côté de la personne en question.

Un jour, une histoire voilà la manière de vivre la vie de ce shinobi particulier. Takumi n’aime pas la routine et s'ennuie depuis quelque temps. Bien que l’ambiance soit électrique, il préfère rester à l’écart, pour lui les responsabilités sont une véritable galère et il s’en écarte dès que l’occasion se propose à lui. Devenir enseignant était une option, mais il se souvient de son parcours scolaire et préfère ne pas être à la place de ses sensei qu’il a passer son temps à martyriser. Le retour de bâton n’est pas ce qu’il désire et il ne sait que trop bien comment se passe la vie. Il se contente de missions simples pour payer ses courses et vie comme un simple freelance. La liberté n’a pour lui pas de prix, hormis celui de la nourriture qu’il consomme. Rien d’intéressant sur le panneau de mission, aujourd’hui sera donc une journée de promenade et de bien-être. Il n’a pas envie de croiser les hauts rangs du village au risque de se voir coller une mission pénible dans les pattes. Il avait ce don pour se faire oublier malgré son look particulier. Le bandeau sur les yeux en principe de “si je ne vous vois pas, personne ne me voit”. Plus d’une fois, les gens se demandaient s’il n’avait pas un problème mental. Tout allait bien, il savait simplement qu’en se montrant aussi immature, il n’aurait rien qui lui soit attribué et cela le mettait en joie. Il passe devant un stand d’onigiri et s’en prend un qu’il va aller engloutir vers la limite entre les terrains d'entraînement et la forêt.



Il s’aventure vers un vieux terrain abandonné et quasiment en ruine qu’il utilisait plus jeune. Le manque d’entretiens le rendait véritablement impraticable et personne ne se rend là-bas en général. Il pensait pouvoir être tranquille. Du moins, il le pensait en sentant la présence hostile d’un jeune du village. Clairement, il avait besoin de se détendre. Il ne s'arrêta pas de marcher et voulait simplement passer pour se rendre au petit coin forestier juste à côté mais il se voit accueilli par un kunai lancé avec une précision affolante. Il prend une bouchée de son encas.



Il n’allait pas apprécier, mais il se fichait royalement de ce que le gamin allait dire. Il prend une deuxième bouchée de son onigiri et sort la lame s’étant plantée dans le tronc non loin de son visage. Il fait un sourire et la lance pour qu’elle se plante juste à côté de la main du petit nerveux. Il reprend sa marche et vient se mettre devant lui. Il s'accroupit et pose la main sur son menton et le frotte en le regardant fixement. Il prend une nouvelle bouchée de son onigiri, mais en fait tomber sur le jeune.



Il secoue la tête de gauche à droite, son regard était camouflé et on ne pouvait pas vraiment voir quel regard, il accordait à Hikaru. Du dédain, du dépit, de la pitié… Il n’y à que lui qui savait véritablement ce qu’il avait dans la tête.

Tu ne bouges pas vraiment en entendant la remarque désagréable de l’homme aux yeux bandés. Tu le reconnais. Un simple Jonin du village qui n’est pas des plus actifs. Il se permet tout de même de te donner des leçons alors qu’il ne fait rien de ses journées. Il n’a pas l’air d’avoir bronché en voyant le kunai se planter à côté de sa tête et la précision de lancé retour ne te plait pas beaucoup non plus. Il n’est pas des plus agréables dans ses réponses mais tu ne peux pas vraiment le lui reprocher au vu du sale caractère dont tu fais preuve. Il s’approche de toi et se positionne au-dessus de toi pour te mettre des grains de riz sur tes vêtements. Tu le regardes mais ne pas avoir de regard en face de toi semble être plus perturbant que tu ne le pensais.



Tu n’attends pas sa réponse et glisses vers l’arrière pour épousseter les restes de son onigiri. Tu ne sais pas pourquoi mais tu restes à le regarder. Comme si tu attendais quelque chose. Tu ne le sais pas toi-même mais tu décides te calmer dans un premier temps et de te calmer.



Tu ne caches pas ton expression entre la colère et le dépit. Tu voulais partir et trouver un coin calme.

Le gamin ne semblait pas vraiment en forme, c'était indéniable. Ce manque de politesse lui passait par dessus la tête, il n'avait pas envie de se battre avec un gamin en pleine crise d'adolescence. Il prétend vouloir méditer, mais ce n'est pas vraiment l'attitude d'un homme s'adonnant à la zenitude qu'il avait devant lui. Takumi se relève et englouti la fin de son repas sans dire un mot et regarde le cadet se lever et partir en lui disant qu'il avait la belle vie à ne rien faire. C'est un fait qu'il n'allait pas lui reprendre, mais dire qu'il ne faisait rien était un peu vexant. Il n'était pas non plus à mendier pour vivre. Il profitait simplement de ce qui ne lui posait pas de problème pour ne pas en avoir les pensées obnubilé par. Il décide sur un coup de tête d'attraper le torturé par l'épaule et le trainer avec lui vers sa destination. Le duo arrive dans un petit coin de verdure qui baigne dans le silence. Le jonin s'assoit en tailleur et invite l'adolescent à faire de même.



Il prend un air air amusé et pose la main sur son torse.



Il pointe ensuite l'enfant égaré en faisant un grand sourire. Son regard toujours camouflé, le sourire pouvait sembler factice. Il ne laisse pas transparaitre ses émotions. Au fond de lui, il est calme. Il cherche à aider la futur génération à ne pas perdre pieds dans cette période difficile. Il avait beau être discret, il ne laissait rien passer de ce qu'il se passait à Konoha. Il savait aussi qui était en face de lui et les raisons de ses troubles. Il ne voulait pas voir la suite des Chikara sombrer dans les ténèbres de la vengeances.

Tu n’as pas vraiment le temps de réagir qu’il t’embarque vers un coin isolé pas très lin du terrain d’entraînement. Tu n’avais pas vraiment confiance, mais tu ne voyais pas de raison de trop t'inquiéter de lui. Il n’avait pas d’air trop suspicieux hormis le fait de cacher son regard. Son attitude générale se voulait de confiance et ne désirais pas vraiment te montrer trop nerveux. Il te lâche une fois arrivé, il s’assoit et t’indique de faire la même avant de te demander ton prénom. Il se présente sous le nom de Takumi et tu lâches un rire quand il te précise ne pas vouloir paraître vieux en se faisant appeler monsieur. C' était vraiment un étrange personnage mais il avait plus ou moins réussi son but de te mettre à l’aise.



Tu n’en dis pas plus et reste à le regarder un instant avant de t'asseoir en regardant tout autour de toi. Il n’y avait rien, c’est comme si tu n’étais plus dans le village. Le silence était étrangement présent et tu commences à sentir comme un sentiment de malaise s’installer lentement. Tu n’aimais pas être dans le silence total. L’idée de rester avec toi-même était vraiment la pire des possibilité pour toi mais tu l’imites t’assois en face de lui ne cachant pas vraiment cette sensation. Il ne bougeait pas d’un poil et cela te rendait nerveux. Tu ne savais pas ce qu’il avait en tête ou même s’il t'écoutait réellement. Tu ne pensais pas que le regard absent pouvait être aussi perturbateur dans les relations humaines. Mais son sourire se voulait amical. Tu poses tes mains sur tes genoux que tu avais mis en tailleurs et te racle la gorge.

Il ne semble qu'à moitié rassuré par la situation, et le Jonin ne peut pas vraiment lui en vouloir pour. Il décide de donner son nom sans trop vouloir parler plus, mais pendant un instant, il fait face à un enfant qui veut tout savoir. L’homme aux yeux bandé reste à sourire en silence, il prend une grande respiration avant de poser la main sous son menton pour réfléchir à faire mine de réfléchir. Il se contente d'observer le jeune homme pour comprendre ce qui l'empêche d'être complètement libre de ses pensées. Il est clair pour lui que ce gamin ne sait plus où donner de la tête.



Il se redresse et prend une grande inspiration et bloque le tout avant d’expirer lentement.


Il lui laisse le temps de répondre et tourne la tête en regardant autour de lui tout ce qui se passait. Une légère brise se montre et il se positionne face au vent en souriant. Il était décidément un homme particulier. Il pointe alors ses yeux qui restent encore camouflés par son bandeau.


Il lui met un léger coup dans l’estomac.

Voilà qu'il ne perd pas de temps pour te faire une morale que tu connais déjà que trop bien. Tu l'avais déjà entendu de la part de tes parents ou encore ton sensei. Tu savais que cette part de personnalité était un gros problème et qu'elle te pousserait à la faute un jour et tu voulais simplement l'enfouir à jamais en ne plus jamais avoir à devoir la gérer! Tu n'avais rien à répondre à l'homme devant toi et tu te contentais de le regarder d'un air complètement neutre qui montre que tu connais le discours. C'est tojt de même à ta grande surprise qu'il ne te demande pas de faire un travail sur toi mais bel et bien d'user de cette sensation te prenant les tripes pour en faire une arme.



Tu comprenais ce conseil comme une recommandation de ne pas montrer ton énervement mais d'user de l'énergie qu'elle te procure pour te rendre plus fort. Il est vrai que lors de ces crises de nerfs, tu as la fâcheuse tendance de ne pas comprendre d'où provient cet afflux de force, tu ne te retiens plus et c'est probablement là le problème. Tu ne réfléchis plus et ne fais qu'agir à l'instinct, dans un vrai combat cela reviendrait à signer ta propre mort à être aussi Imprévisible.



Tu ne comprends pas le sens de ses propos et espère qu'il t'en dira plus.

Il voyait que le jeune était en pleine réflexion sur ce que pouvait bien être le sens de son serment. Transformer une faiblesse en son plus grand avantage n'est pas impossible. C'est un travail de soi et peu de personnes sont capables de ne faire qu'un avec leurs faiblesses. Refuser de les voir ne fait que mettre des bâtons dans les roues. Il avait choisi de se priver d'un sens important volontairement et le monde lui paraissait maintenant bien plus clair alors qu'il ne le voit qu'à moitié. Sa personnalité laxiste cachait un homme plus réfléchi qu'il n'y paraissait et il joue sur ce fait pour s’en sortir.




Être en colère de manière permanente était probablement une idée folle sur le papier. Il avait une chance sur deux de réussir, soit cette colère le pousse à devenir plus fort et il usera de sa rage pour progresser, soit il sera aveuglé par elle et ne sera pas capable d’avancer. Il était dans la seconde option pour le moment selon les observations du Jonin. Il avait réussi à trouver un instant pour canaliser cette sensation et l’utiliser pour son raiton, mais était-il seulement capable de le refaire actuellement ?

Tu étais sur tes gardes, il n’est pas commun qu’on te demande de ne pas te calmer, c’est la base même des expressions qu’on te donne. Il n’avait pas tort cependant, la méditation et toi n’étiez pas ami et ça n’allait pas s’arranger en te forçant à rester calme.



Tu l’écoutes attentivement malgré ta remarque. Ton intérêt pour sa méthode est plus grand que tu ne le laisses pas penser et tu essayes de comprendre ce qu’il essaie de t’expliquer. Être en permanence sur les nerfs semble être une chose éreintante sur le papier. Tu ne comprends pas le but. Est-ce qu’il faut que tu sois constamment à bout pour user de ton potentiel au maximum. Il est vrai que tes pensées sont complètement floues par la rage, mais tu te demandes si ce n’est pas risqué au final.



Tu le voyais venir de loin et tu connaissais plus ou moins déjà la réponse. L’idée serait de faire en sorte de t’éclaircir les pensées et tes agissements en étant dans le mode le plus perturbateur. Il ne fait que confirmer ce que tu penses et tu reprends ton écoute.


Le ton était donné, tu n’avais pas envie de jouer les énigmes une fois de plus, ta patience était sur le fil. Ca te fait percuter que c’est un des points qu’il te faut améliorer. Tu ne retiens pas de rire en voyant qu’il ne lui a pas fallu plus de temps que ça pour te prouver que tu avais tort. Tu soupires en guise d’abandon, il semblait t'avoir battu d’entrée de jeu.

Le petit devant lui ne semblait véritablement lui faire confiance, mais il appréciait le petit côté rebel qu’il montrait au Junin. Il rigole à sa réflexion et ne fait que hausser les épaules de manière désinvolte avant de se redresser complètement pour se mettre le dos droit. Il était loin d’être stupide, il ne faisait que se perdre dans ses réflexions parce que ces dernières étaient faites entre deux états d’âme. Il fallait lui faire comprendre rapidement qu’il ne pouvait pas faire des allers et venus dans son fort intérieur. Sa véritable personnalité, il n’y a que lui qui pouvait la connaître après tout, mais on a tendance à faire ce que l’on désire et dire ce que l’on pense dans un état de colère. Les réflexions sont bien moins réduites qu’on ne le pense.



Il fait un sourire qui en disait long, il semblait être plus au courant de ce qui se passait dans la tête du Chikara. Ce dernier semble être en plein questionnement et soupire comme pour annoncer une défaite imaginaire. Il ne connaissait pas vraiment le parcours de ses pensées, mais il semblait avoir compris une chose importante et avouer son erreur.



Il se lève et pointe le terrain d'entraînement de la tête. Un moyen de lui dire d’y retourner, il n’avait pas l’air de vouloir s’étendre en explications une minute de plus.



Il relève le bandeau et laisse apparaître ses yeux pour faire un clin d'œil à Hikaru. Il attend que le garçon tourne la tête avant de disparaître dans les arbres en un éclair. Il se contente d’observer le jeune partir en silence. Il savait exactement ou le trouver, ce n'est pas la première fois qu'il le voit. Malgré son attitude et sa tenue plus que voyante, il était un homme discret qui ne faisait pas d'esclandres. Il a pu l'entendre durant son entrainement avec le Kage Azur il n'y a pas si longtemps et la détresse de ce petit semblait des plus urgente. Il regarde ensuite l’horizon, pensant qu’il fallait faire quelque chose pour le village. Les petits jobs n’étant qu’un coup de pouce, il n’était pas du tout satisfait de ce que le Konoha de son enfance devenait. Les guerres étaient monnaies courantes, c’est un fait qu’il ne peut nier. Mais il fallait que cela cesse. Il pense qu’il est temps pour lui d’être plus qu’un simple petit homme à tout faire et qu’il mette sa pierre à l’édifice pour rendre Konoha meilleurs.

Tu ne comprenais pas la moitié des actes de ce type. Il te pousse à adopter ta colère pour mieux te comprendre ou du moins te cacher de ta propre personne et semble au courant de choses qu’il ne devrait pas. Ou c’est au moins l’impression qu’il te donnait. Il semblait clairement être du genre à mettre son nez partout malgré son air détaché. Tu commences à croire qu’il n’est pas venu complètement par hasard. Ce n’est pas la première fois que tu utilises ce terrain et tu ne te rappelle pas l’avoir aperçue une seule fois. Est-ce qu’il avait véritablement pour habitude de traîner dans le coin? Pourquoi est-ce qu’il avait l’air si certain que tu voulais sortir des murs de Konoha. Tu te contentes de serrer les dents et de le regarder sans broncher. Tu n’apprécies pas le fait d’être autant à découvert par simple ego, c’est une sensation que tu préfères éviter.



Il n’avait pas l’air d’être un homme qui suit les règles, rien que sa tenue le prouvait. La discrétion n’était clairement pas son point fort. Des chaussettes avec des flammes? S’il était si fier du pays du feu, il y avait d’autres moyens de le montrer. Mais des excentricités de ce genre ne devraient pas plaire au doyens du village ou à ses anciens professeurs. Il ne disait pas ça au hasard tu le savais. Ce type était dans la provocation constante et devait faire exprès de jouer les idiots. Mais ses mots se trouvent être plutôt apaisants. Tu savais que la route que tu prenais ne te conduirait nulle part de convenable et cette sensation désagréable qui grandit en toi ne faisait que s'accroître de jour en jour, laissant cette colère aveuglante diriger tes actions et effaçant le but que tu t’étais instauré.



Il te montre le terrain et tu tournes la tête pour voir ce qu’il voulait te montrer. Mais quand tu te retournes, tu ne vois plus personne. Il n’est nulle part où tu poses tes yeux. Ce qui te laisse penser qu’il peut être bien plus discret que ne l’est. Son apparence n’est pour toi qu’un leurre de mauvais goût et probablement un moyen d’agacer les professeurs de l’académie. Tu rigoles seul dans le coin de verdure et reprend le chemin pour retourner à ton entraînement. Tu as le sentiment d’être observé mais aucune confirmation. Tes questions resteront sans réponses, mais il ne semble pas être venu pour t’aider à y répondre. Tu le voyait simplement tourner autour d’un problème qui accapare tes pensées et faire en sorte que tu arrêtes de marcher sur les bords mais te pousser à marcher.