Inspection surprise

Hosoroshi avait donné de précieuses informations pour le jeune espion Miwaku. Il voulait en savoir un peu plus sur cette famille bien trop discrète à son goût. Il n'était pas très rassurant pour lui de savoir un Hattori complètement dérangé psychologiquement soit aussi libre de ses mouvements et le fait de savoir que le plus âgé des deux soit dans un état pire que le cadet était encore moins rassurant. La mère aussi… Il fallait mener une enquête sur les raisons qui ont poussé ses Hattori à perdre la raison. Et il en tenait de ton devoir. Tu voulais être certains qu'il n'y avait pas une menace qui plane sur le village. Le Hattori borgne ne semblait être saint qu'en apparence et jouait clairement des limites de la loi. La méthode qu'il souhaite utiliser pour se débarrasser de sa mère et avoir la tranquillité n'était pas des plus sympathiques. Une fausse accusation de trahison pour un enfermement total. Même dans une optique complètement sadique, cela ne te serait même pas venu à l'esprit.

Tu marches en direction de la demeure Hattori que l'on t'a indiquée. Tu longes un muret qui s'avère tout de même assez grand en guettant les airs dans l'espoir d'apercevoir l'homme qui t'as été décrit comme fin et raffiné. La base même d'un Hattori. Mais ce qui t'intéresse est le fait que ce dernier aime se mettre en hauteur pour observer le passage dans la rue. Tu ne vois rien et restes simplement tourner dans le coin. Au vu de sa santé mentale, il ne serait pas étonnant qu'il soit enfermé, mais tu aimerais qu'il ne soit pas assigné à domicile pour pouvoir lui parler.

Tu attends pendant une petite heure avant de voir une silhouette s'agiter dans les branches. À peine installer, tu décides de ne pas perdre un instant et de t'approcher. Il est vrai qu'il n'était pas simple de l'apercevoir. L'ombre des branches camouflait sa présence. Il devait apprécier son perchoir pour épier les gens. Tu pensais que s'il voulait parler, il ne serait pas mauvais d'essayer d'obtenir des informations quelconques.



Le premier contact étant fait, il suffit d'attendre sa réponse.

Le médecin devait venir aujourd’hui et c’était loin de faire plaisir au maître Hattori, il ne montre pas un sourire emplit de satisfaction quand on lui a demandé de se préparer pour la visite de l'eisenin. Il n’apprécie pas l’idée de se faire ausculter comme un spécimen rare par ces soit disant scientifiques. Le vieux couple de Miwaku était venu pour le surveiller. Il avait la fâcheuse tendance à ne pas apprécier les piqûres des charlatant et réagir avec violence. Il était facile de le maintenir mais le raffût qu’il faisait manquait parfois de faire s’écrouler les murs. Ce n’était pas une sinécure que de prendre soin de ce jeune homme. Une fois n’est pas coutume, il fait un esclandre quand le docteur s'approche de lui et le soigne de son manque de pouvoir clanique. Une dose de poison infime qu’on lui injecte dans l’espoir le voir devenir dans la norme que s’était imposée le clan au yeux jaunes. Il ne fut pas simple de maîtriser Hotaru dans sa tentative désespérée de se défaire de ses liens et de son bâillon. C’est à bout de force qu’il finit par abandonner par défaut et qu’il est mis dans son lit le temps que le traitement fasse effet.

Il n’est pas dans sa meilleure forme et le monde semble lui apparaître de manière totalement différente. Le son et les couleurs semblent inversé et il n’arrive pas à discerner la réalité de ses songes psychédéliques. C’est au bout d’une heure complètement drogué qu’il finit par ouvrir les yeux en sueur. La vieille Miwaku était en train d’éponger son front. Le visage familier aura eu le bénéfice de calmer instantanément le jeune maître Hattori qui reprend un rythme de respiration normal avant de demander l’heure qu’il était et s’il pouvait sortir dans le jardin. La femme le renseigne et lui deit de patienter une dizaine de minutes avant de pouvoir se promener dans la cours de la demeure. Il fallait qu’il soit entièrement remis de son petit voyage interne. Il se résigne avant même de commencer à se plaindre car cela le priverait complètement de sa petite promenade.

Une fois dehors, il fait son parcours habituel et passe près du bassin ou il s’amuse à jeter des graviers pour disperser les carpes avant de faire sa route vers son perchoir. Il grimpe non sans difficulté et se positionne tranquillement pour profiter de l’air frais et des quelques rayons de soleil passant au travers des feuilles. Il n’a pas le temps de fermer les yeux et se concentrer qu’il est instantanément interpellé par un inconnu. Bien que le jeune homme semble le connaître, il n’a pas souvenir d’avoir vu ce visage par le passé et le regarde d’un air interrogateur.



Il n’aime pas le petit sourire narquois que fait l’éphèbe affichait sur son visage. Il sentait qu’il allait se montrer des plus désagréables pour une raison qui lui est inconnue. Mais il n’aura peut-être pas l’occasion de parler dans la journée et saisit l’occasion.

Ta présence ne semble pas faire plaisir au jeune Hattori qui te regarde de haut dans son perchoir. Tu rigoles en l’écoutant de dire clairement qu’il ne te fait pas confiance d’entrée de jeu. Et t’approche de lui en levant les mains signalant ton non agression. Il est vrai que tu es arrivé en posant directement tes cartes sur la table et ne cachant même pas le fait d’avoir obtenu les informations. Mais la seule chose que tu cherches est de savoir qui est cette famille et pour cela, il valait mieux y aller directement. Le cadet semble apprécier la franchise, cela devait aussi être le cas de l'aîné. vivre caché et dans le mensonge à tendance à rendre les gens suspects quand on omet des détails. Tu fais une petite révérence pour le saluer.



Il n’avait pas tort, tu étais bien un vrai fouineur. C’était ton travail après tout de mettre ton nez dans ce qui ne te concerne pas. Il fallait bien savoir si cette affaire était de ton ressort ou non. Dans le pire des cas, tu enverras simplement quelqu’un de plus apte à faire le travail. Pour l’instant, tu ne vois qu’un homme fatigué et las de sa vie et sur la défensive.



Tu ne sais pas de quoi il est capable et préfère ne pas te montrer trop insistant. Tu es loin d’être le shinobi le plus puissant de Kumo. Te défendre est possible, mais tu apprécies simplement être en retrait de tous conflits physiques. Un homme instable, voilà tout ce que tu savais de lui, mais tu ne connais rien de ses limites et n’a pas envie de les apprendre à tes dépends.

Il n’avait donc pas perdu son visage de mémoire, un pur inconnu qui semble plus que bien renseigné puisqu’il s’agit de son propre frère comme informateur. Il pensait que ce dernier parlait un peu trop et ne semblait pas comprendre les bases même de la vie privée. Il se contente de soupirer et de se frotter les tempes en fermant les yeux. Le jeune Miwaku était clairement au service d’un autre Hattori, personne ne se permet ce genre de fantaisies. Il n’essaye pas d’être discret et va droit au but, ce qui lui confirme vraiment qu’il à pu bien parler à son cadet. Lui qui ne cache rien de sa vie et le crie presque sur les toits pour être certain d'être au centre de l’attention. Ils se ressemblent un peu dans un sens. Ce Miwaku était bien trop exubérant pour être discret.



Il avait probablement eu vent de sa mère et de ce qui est arrivé dans l’enceinte de ce manoir, si ce n’est pas le cas, il doit vouloir savoir ce qui s’est passé. Non pas que cela soit un secret, mais il n’avait pas envie de crier qu’il était un Hattori raté, sans capacité clanique. Il s’avance et se rapproche du haut du mur pour ne pas parler aussi fort, il s’allonge sur le ventre et prend appui sur sa main pour ne pas se frotter le menton sur la branche.




Il ne peut s’empêcher d’avoir un rictus en repensant se passage de sa vie.

Tu ne te gênes pas pour faire un clin d'œil amusé à l’homme dans sa branche avant de s’adosser au mur qui est juste en dessous de son petit perchoir. Il n’avait pas mis bien longtemps à dévoiler sa vie, cette famille n’avait véritablement aucune envie de se cacher. Il n’y avait que la honte que la mère éprouve qui fait que cet homme soit mis à part de la société. L’idée de vouloir créer une poche de poison à un être dépourvu n’était pas possible. Elle semblait juste être une simple victime de son désespoir plus qu’autre chose.



Il n’avait pas l’air d’être complètement faible et capable de se défendre dans quel cas il ne serait plus en vie aujourd’hui en connaissant la politique des Hattori. La mère devait être sous l’influence des puritains du clan et lui sous le joug de sa mère pour une raison qui t’es inconnu.



Tu lèves la tête en faisant un grand sourire au jeune Hattori, tu espérais simplement qu’il soit aussi prompt à l’humour que son cadet.

Qu’il le prenne pour un compliment est une chose, si cela le satisfait il ne tenait pas à lui briser ce petit plaisir personnel. Il ne prend pas vraiment en compte son avis et cela semble correspondre au personnage devant lui. Il se penche sur le sujet du traitement qu’il subit mais aussi celui de sa mère. Il met le doigt sur un fait des plus probable. Sa mère n’avait plus de raison depuis bien longtemps et elle se faisait manipuler allègrement par les médecins qui prenaient un malin plaisir à le remplir de produits plus illicite les uns que les autres. Il soupire et regarde dans le vide à la question sur la fameuse raison de sa non-action. Une question qu’on lui pose souvent et qu’il commence à avoir assez d’entendre. Il lève les yeux au ciel.


Il n’est décidément pas gêné ce Miwaku, tous commencent à perdre la raison et ne plus respecter les Hattori. Il se fichait un peu du statut par rapport au clan, mais il n’aimait pas spécialement le fait d’être adressé aussi familièrement. Les petits clins d'œil le font simplement le regarder de haut en sachant qu’il ne fait que s’amuser. Un homme qui est léger dans ses agissements. Mais il sait où il va. Lui donner des informations est en soit embêtant et arrangeant. Il suffit de savoir s’il sera bon ou non avec sa famille.


Il lève la main et la dirige vers le jeune éphèbe qui ouvre la bouche pour tenter de parler. Mais il se contente simplement de rigoler en silence. Il baisse sa main et le regarde étrangement.

Payer une dette? Tu ne comprends pas vraiment ce qu’il insinue par là, un rapport avec le père probablement. Cette famille semble cacher plus d‘un cadavre dans leur placard. Pas un membre de cette dernière ne semble sain d’esprit. Il en arrive au point ou il se fait attacher pour dormir, il semble être plus agité qu’il n’y paraît. Il est pourtant calme présentement, tu as du mal à te dire qu’il peut partir dans une crise de folie soudaine. Tu ne vois pas cet homme d’apparence fébrile capable de maîtriser et terroriser une manoir entier. Tu préfères ne pas trop t’avancer sur ce détail et pense à ta propre manière de faire. Tu es loin d’être aussi mauvais que tu le laisse croire, rien ne dit qu’il n’en ai pas de même pour lui.



Tu rigoles de nouveau quand il balance le fait que son frère à tendance à révéler les informations qu’il ne devrait pas. Tu essaies de ne pas le faire quand il parle de ses capacités martiales. Tu pouvais au moins compatir avec ce point de vue et comprenais bien les réflexions qu’il pouvait recevoir par ce manque de force physique. Tu es curieux quand il commence à parler de ses pouvoirs et le voit simplement tendre une main vers toi. Aucun son ne pouvait sortir de ta bouche et tu comprends aisément qu’il est un manipulateur du son. C’est certes particulier de voir un Hattori avec une telle capacité mais tu voyais tellement de choses qu’au final cette surprise s’éteint vite. Il cesse rapidement en voyant ton sourire et indique clairement te trouver étrange.

Tu étais sortis de bonne heure pour te faire une belle balade matinale à travers le si beau et riche quartier Hattori. La flore était luxuriante et les propriétés plus que magnifique. Signe de nos richesses et de nos grandeurs passées. Cela risque de devenir un lieu antique à travers les siècles et tu espères que les Hattori marqueront l’histoire autres que pour leur force. Il y avait tant d’autres domaines à découvrir et à faire découvrir mais on ne s’y attardait pas. L’automne est ta saison préféré de per ses couleurs et le cycle de la vie qui s’arrêtait tout doucement pour ensuite renaître majestueusement. Tu avais hâte de voir le printemps arriver et de profiter de ta liberté.

Tu regardes l’heure, il est temps pour toi de rentrer et d’aller zieuter les faits et gestes de ton grand frère. Ça t’amuses de l’appeler grand frère alors qu’il n’est pas des plus matures le plus souvent du temps. Tu arrivais face au manoir et tu y entrais en prenant bien soin de bien refermer la porte derrière toi. Les serviteurs semblaient embarrassés et d’un simple regard l’un d’eux te signalait qu’il y avait quelqu’un de présent dans la demeure. Tu décides d’aller voir de qui il s’agit mais tu n’avais pas vu où se portait le regard. Ils étaient dehors et quelle belle surprise. C’était ce Nobuhisa, serviteur de la main de l’empereur et... ton frère.



Tu lui souris avec charme avant de t’avancer vers eux.



Tu soupirais de désarrois tout en souriant.

Il n'aimait pas l'air fanfaronnant du Miwaku mais la conversation ne lui déplaisait pas plus que ça. Il n'avait que peu l'occasion de parler aux adultes avoisinants. Ils sont un peu frileux à l'idée de lui adresser la parole. Ils entendent parfois le raffut qui se passe dans cette demeure et les rumeurs vont comme le vent.


Ils étaient un bon duo quand le temps le demandait, mais l'instabilité du plus âgé était un véritable fardeau. Il était au courant de ce problème mais ne tentait pas plus que ça de régler le problème. Il n'allait pas devenir sain d'esprit en un claquement de doigt après tout. Il ne cherchait qu'à être considéré comme un être humain plus qu'un espèce d'animal de laboratoire pour le plaisir capitaliste de ces charlatans de faisant appeler médecins qui venaient lui remplirent les veines de produits douteux. Il savait qu'il n'allait pas être d'une quelconque importance de par son passé trouble, mais l'espoir est un moteur pour lui.



Il soupire en se redressant.


La relation entre les deux frères était loin d'être parfaite, mais les deux aimaient tout de même se faire des petites remarques qui pouvait se montrer parfois cynique. Le borgne arrive peut de temps après ça et salue le Miwaku en ignorant complétement son frère qui se contente de lever les yeux au ciel d'exaspération.

Cette dynamique te fais penser à toi et Yuhei d'un certain point de vue. Tu étais plus une tête pensante qu'un homme de terrain, lui c'était l'inverse. Il n'est pas stupide, loin de là, mais il préférait clairement agir plutôt que prévoir trop à l'avance. Ce qui était l'opposé de ta manière de faire. Tu es bien moins irréfléchi qu'il n'y parait , même si sur un coup de tête tu décides d'aller rendre visite à un Hattori reconnu pour son manque de stabilité mental comme tu l'avais fais aujourd'hui. Mais tu n'étais pas si mécontent de ce petit coup de sang qui t'as pris. Il semblait bien être conscient de son état et la politique des Hattori sur la pureté du sang n'était pas vraiment une chose qu'il appréciait. Ce qui pourrait le laisser comme un possible allié. Tu ne fait que garder cette option dans un coin de ta tête. Tu t'éloignes du mur pour prendre de l'élan et grimper pour t'y poser et être plus proche de lui. Il ne s'en rendait probablement pas compte, mais si lui entendait correctement, ce n'était pas ton cas à cause de la distance. Surpris dans un premier temps, il ne s'arrête pas de parler pour autant avant de le voir se redresser et se plaindre.



Tu rigoles à la remarque qui suit.



Le cadet Hattori arrive tranquillement à côté de l'arbre et tu lui fait un rapide salue de la main en rigolant. Prendre des mesures de précautions avec lui n'allait faire que l'agacer, autant rester naturel.



Tu regardes avec amusement les deux frères s'insulter, ils semblaient bien s'entendre malgré les petits pics que lançait Hotaru depuis tout à l'heure à son égard.

Tu te mets à rire. Il avait un moyen de devenir fils unique.



Tu plaisantais bien sur, tu ne comptes pas lui faire du mal et même si il était fou, il ne le ferait pas non plus.



Nobuhisa te saluait respectueusement mais dans des manières faussées comme la première fois et ça te plaisait beaucoup plus. Le but de sa visite te faisait bien rire même si tu savais très bien qu’il ne s’agissait pas de ça.



Un peu de taquinerie ne pouvait faire de mal.



Tu ne voyais rien de servi pour notre hôte.



Tu demandais cela aux serviteurs qui ramenaient les boissons rapidement. Tu servais Nobuhisa et tu levais ton verre.

Son frère ne manque pas une occasion de faire de l'humour et se pavaner comme un paon sans véritable raison. Toujours à ressasser les mêmes excuses et prétextant être le messi luk permettant d'être dehors. Ce n'était pas complètement faux, mais la vérité n'était pas non plus sa version des faits. Sa blague au sujet du fait de vous faciliter l'accès à la vie de fils unique le fait sourire discrètement mais se contente de l'ignorer. Il ne peut pas s'empêcher de faire une remarque sur son physique au passage. Il faut dire que le Miwaku n'avait rien fait pour arranger la situation. L'émancipation n'était pas bonne dans toutes les situations et lui semblait bien trop libre à son goût. Il comprend déjà un peu mieux quand Hosoroshi le présente comme étant aux services de la main de l'empereur. Il était donc venu faire son petit tour se repérage… Il n'avait clairement pas l'apparence d'un espion au service de l'empereur contrairement à l'espèce de maniaque venu exploser le dojo.


Il lève ses yeux au ciel en écoutant son cadet. Oui, la vérité était une chose importante, mais il n'est pas si mauvais d'ommettre des détails pour éviter les problèmes. Enfin… lui préfère s'attirer les problèmes pour combler son manque d'activité. Nobuhisa salut d'une manière bien étrange le maitre Hattori qui semble ravi de ce voir égal à lui. Pourquoi pas, il ne voyait pas vraiment l'intérêt d'aservir un clan entier. Ses crises de folie disaient le contraire en revanche. Le jeune éphèbe semble s'amuser de la situation et Hotaru ne retient pas sa complainte.



Il rentrait dans le jeu de son frère, il est rare d'avoir de la visite et de l'animation pour lui et même s'il ne l'avouera pas, il apprécie la petite atmosphère bonne enfants qui règne. Il appui le point important disant qu'il avait la chance de ne pas être tombé sur sa mère.



Il hausse un sourcil à la remarquable de son impolitesse et ne peut s'empêcher de tomber des nues.



Il constate avec une déception non camouflée que sa boisson n'était autre que du thé et l'attrape en soupirant. Il savait qu'il n'aurait rien en se plaignant et accepte son sort sans en faire plus.