Visite médical du travail

L'infirmière de comptoir lui indiquait le premier étage, ces avec un sourire et en hochant la tête a l'infirmière que la jeune-femme partit. L'hôpital était calme pour l'instant, était-ce dû que l'hiver n'avais pas encore forcément montrer le bout de son nez ? Peut-être. Elle se rappelait dans sa jeunesse que l'endroit en période hivernal finissait toujours par être bondé, forcément les papi et mamie ne devait pas trop apprécier le froid. L'hiver était de courte durée a Konoha, mais il arrivait des année que le printemps mettent un peu de temps à arriver. C'était avec grâce qu'elle marchait dans les couloir du premier étage, arrivée devant la salle tant attendu Amoritia s'asseyait sur la chaise à coté de la porte. Attendant patiemment son tour, quinze minute plus tard un homme sortait de la pièce pour partir au loin. C'était maintenant à son tour, la jeune-femme se levait et frappait à la porte.

En toute réponse, la prote s'ouvrait laissant apercevoir la tête du Chikaradôno. Souriante la femme annonçait sa venue.

Un jour de plus ou le travail s'enchaîne. Le début de l’hiver et le manque de précaution font qu’une bonne partie du village se retrouve malade. Il n’a pas grand chose à faire en soit à part leur prescrire un tas de médicament pour éviter de refiler leur maladie aux autres. Mais à part des rhumes, il ne voyait pas grand-chose d’autre aujourd’hui. C’était un mal pour un bien, mais il ne comprend juste pas pourquoi les gens ne font pas plus attention. Il sent une présence derrière la porte et remet son bandeau. Il entend alors quelqu’un frapper à la porte et pose ses papiers pour aller ouvrir. Il voit une jeune femme au cheveux noirs se tenir devant lui et la salue en souriant.



Il l’invite à rentre et s’asseoir devant son bureau. Il la rejoint à peine quelques secondes plus tard et se pose devant elle.

Alors c'était lui le médecin traitant de Universa ? Il avait l'air très gentil, pauvre médecin.. Elle préférais être à la retraite et glander plutôt que de s'occuper des Uzumaki et de ces connerie. Elle souriait à l'homme en face de lui, lui tendant des papier d'examen. Elle n'aimait décidément pas les rendez-vous médicale, cela était toujours une perte de temps mais avec un homme aussi mignon et gentil difficile de ne pas craquez.
Souriante elle lui posa une question avant que l'examen ne commence, le regardant avec un regard malicieux.



Un Chikaradôno aussi sexy son médecin traitant, elle était fière d'être Chikara, bizarrement..

C’est avec un grand sourire qu’il l’écoute lui expliquer la raison de sa venue. Il ne savait pas vraiment quel était son travail au sein du village mais s' il y avait une nécessité de se rendre à une visite de routine, elle devait avoir à faire à des missions plus dangereuses que la moyenne. Il avait déjà Universa qui passait tous les deux jours avec une plaie plus grande et ouverte à chaque fois pour lui confirmer qu'un check up ne faisait pas de mal.



Il avance tranquillement et elle lui parle en disant qu’elle ne pouvait pas être plus heureuse que ce soit son médecin. Il prend le compliment mais ne comprend pas la véritable intention qui se cache derrière ses mots. Il n’avait pas vraiment pu remarquer la malice de son regard et il n’arrivait pas vraiment à voir quoique ce soit d’autre entre lui et la gente féminine depuis des années maintenant. Il se retourne un peu gêné et se frotte l’arrière du crâne.



Il la laisse le suivre et commence son examen. Il teste sa vue, son équilibre, son audition… Il se passe une dizaine de minutes pour tout vérifier. Il semble satisfait et tape dans ses mains pour signaler qu’il avait terminé son examen.



Il se retourne pour ranger ses affaires mais reprend la parole.

Le Dôno l'invitait à le suivre pour l'auscultation. L'homme la remerciait des compliments, après tout le médecin avait bonne pub et elle qui n'aimait pas spécialement la médecine se retrouvait ravie que cela soit un homme de ce calibre. Alors qu'elle s'asseyait sur la table d'auscultation l'homme expliquait qu'il se fessait de plus en plus à son rôle de dôno. Amoritia voyait sa comme un travail plutôt ingrats, devoir gérer certain membres récalcitrant à l'évolution des mentalité par manque de qi ne serait guère intéressant, voir terriblement énervant malheureusement.



Commençait enfin l'examen médicale, test de vue, équilibre, audition, articulation, tout paraissait correct pour l'Eisenin. Tapant dans ses mains il signalait à la femme que tout était correct, elle pouvait reprendre le travail comme si il se le doigt. Hochant la tête elle remerciait le médecin, mais alors qu'elle se levait l'homme vint lui poser une question.

Il ne savait pas trop quoi répondre à toutes ces louanges qu’elle lui lançait d’un coup. Mais il avait un doute sur le fait d’avoir un Dono de son calibre en tête du clan. Il ne voulait pas non plus être le mollasson du quatuor à la tête du village. Il savait qu’il était capable de se montrer plus sur la passivité en ce qui concerne les actions et décisions. Mais il aimerait tout de même changer cette image d’homme de l’ombre qu’il s’est forgé depuis tant d’années. Cela lui convenait sur le papier, mais il fallait se montrer désormais.



Il souriait et savait que son rôle serait le même qu’à l’époque de son passage en temps que Genin. Il était la dernière ligne de défense et restait simplement en retrait des décisions trop dangereuses. Il allait devoir faire des choix et prendre en main des problèmes qu’il serait à esquiver en temps normal. Il reprend sa concentration en finissant de ranger son matériel et le fait qu’elle lui annonce être la colocataire d’Universa lui fait froid dans le dos. Il se retourne silencieusement et la regarde de haut en bas et bas en haut avant de reprendre.



Non pas qu’il n’est pas de respect pour la personne qu’était cet Uzumaki, bien au contraire, il reconnaissait sa puissance et son talent en temps que Shinobi, mais il n’arrivait pas à comprendre au vu du nombre de fois où il passe par semaine dans son cabinet, comment il faisait pour être encore en vie avec les risques qu’il prenait.

L'homme la remerciait pour le compliments, malgré cela il répondais avec humour d'espérer ne pas être considéré que comme le gentil. Il avait parfaitement raison en soie l'entente ne sait pas par la gentille mais la Chikara avait un avis bien particulier, pour elle l'entente se fessait via la compréhension et l'écoute des autres, bien que cela pouvait être à la fois par gentillesse et malheureusement aussi par méchanceté.



Le Chikara lui souriait avant de la dévisager a l'évocation du roux. Il commençait à la regarder silencieusement de haut en bas, c'était peut être un médecin mais il avait un petit coté mignon à s'inquiéter comme sa. Cette énergumène ? Amoritia ne put s'empêcher d'éclater de rire en écoutant le médecin. Elle était bien différente de l'Uzumaki en soie, enfin en partie.



Valait mieux ne pas lui dire qu'elle aussi des année en arrière qu'elle fessait la même chose, il la prendrait certainement pour une folle.

Elle tente de le rassurer en lui disant que malgré l'ingratitude du métier par moment, il arrivera par s'y faire et faire son travail comme il se doit. Il n'en espérait pas moins. Il n'avait certainement pas prévu de postuler pour ce grade de chef de clan dans un premier temps, mais il n'avait pas l'intention de traîner les pieds maintenant qu'il était à la tête du clan. Il s'était promis d'aider au maximum les gens et ne compte pas revenir sur cette promesse qu'il s'était faite il y à plus de 20 ans maintenant. Un rôle qu'il commençait à endosser lentement, mais se jeter trop rapidement dans la gueule du loup n'était pas dans ses plans. Il aimait prendre le temps d'observer ce qui se trouvait autour de lui pour savoir quoi faire au moment opportun. Il n'en reste pas moins content de cette remarque même si pour lui, il ne s'agissait pas plus que d'une simple marque de politesse.



Elle lui explique par la suite qu'elle n'était pas vraiment de la même trempe que le rouquin. Une affirmation que le médecin ne croit qu'à moitié. Pour vivre avec lui, il fallait déjà avoir un problème en soi. Il appréciait l'homme, mais son côté scientifique fou sans l'erudisme faisait de lui quelq'un de dangereux dans sa manière de faire. Il ne semble pas vraiment voir le danger de ses expériences et il a simplement peur qu'un jour ce dernier se ramène avec tellement de blessures qu'il ne pourra rien faire à part prier. Il avait mis des sceaux de protection pour que la pièce n'explose pas et protéger les alentours donc.



Il ne savait pas vraiment ce qu'elle faisait, mais il savait qu'elle avait déjà un bon mental à force de passer son temps avec le rouquin explosif.