La balade dans les bois

L'abura affichait une mine extrêmement étonnée de voir que la Kirishitan pouvait fabriquer une maison ! C'était impressionnant, en plus des détails de cette dernière !


Yuko respectait encore plus la femme à la magnifique chevelure bleuté-argenté en applaudissant lentement avant d'entrer à l'intérieur de la cabane. Le second de l'escouade des forestiers entrait juste derrière. Puis peut-être pour faire un peu plus la conversation elle demandait à la femme du désert comment cela se faisait qu'elle se trouvait ici à Konoha.


Il y avait une part de vérité, mais un gros mensonge derrière. L'abura était plutôt une prisonnière à la base, mais omettait ce détail à tout ceux qui lui posait LA question. Même si elle aimerait partager la vérité avec la gentille Kirishitan, elle ne le pouvait pas. C'était plus fort qu'elle de couvrir ses arrières juste au cas où.


Et surtout de perdre le poids qu'elle prenait et de se mouvoir comme avant ! Après avoir enlever les vêtements trempées pour les sécher, elle faisait un signe à la gentille dame. Les jumelles se réveillaient et donnaient des coups de pieds dans le ventre de la jeune maman.

Sayaka et Yuko semblaient en phase pour devenir de bonnes amie, surtout après qu'elle soit rentrée dans la cabane, déjà la Abura ne semblait souffrir d'aucune gêne en enlevant une bonne partie de ses vêtement devant la Kirishitan, et cela ne dérangeais pas non plus Sayaka qui fervente adoratrice de dame nature pensait que le corps humain mis à nue était l'une des plus belles choses au monde, ce qui lui avait valu de sacré soirée durant le début de sa vingtaine, mais bref chacun doit garder son jardin secret.

La Abura proposa alors à Sayaka de toucher son ventre, un large sourire aux lèvres la beauté à la peau d'ébène s'approchait pour venir poser sa mains douce et délicate sur le ventre huileux de la Abura.



Sayaka fit un sourire à Yuko pour lui faire comprendre qu'elle venait de trouver une amie au village, elle lui caressa le ventre avec tendresse alors que les bébés donnait des coups de pied, elle eu même la politesse de ne pas montrer que sa main était recouverte d'huile, ne l'essuyant discrètement que lorsque la femme du désert regarda ailleurs.



Un Uzumaki sans doute, ces hommes à la chevelure de feu semblait avoir un faible pour les clans exotique, il suffisait de voir le nombre de femme Kirishitan sur lesquelles ils étaient passé depuis l'arrivée du clan au village.

Elle n'y pouvait rien si le beau ténébreux lui kidnappait son cœur à sa venue au désert. D'ailleurs cela étonnait la femme, car depuis le temps elle trouvait ça... étrange qu'aucun des siens venaient la chercher. Après tout, ils l'oubliaient probablement.


C'était peut-être une illusion, mais depuis son arrivée les gens la dévisageait comme si elle était un monstre venu d'un autre monde.

Un Uzumaki, Sayaka avait vue juste, ces hommes à la chevelure de feu ne pouvais s'empêcher de goûter aux délices exotiques. Cet Universa lui était inconnu, mais il ne semblait pas déroger à la règle, et finalement Sayaka ce dit qu'elle n'était pas si différente, elle pouvait aimer n'importe qu'elle homme ou n'importe quelle femme créé par mère.



Je la regardais alors que ses vêtements était en train de sécher, et je ne pouvais m'empêcher de me dire que les femmes enceintes était de loin la plus belle chose que mère nature ai créé.



Ce que je disais n'était pas pour la rassurer, mais je pensais bien être en train de me placer comme l'une de ses amies maintenant.

Non, ca c'était surtout les effets d'avoir deux polichinelles dans le tiroir et rien d'autre. Même si cela faisait à peine depuis quelques heures que les deux femmes se connaissaient, Yuko pouvait sentir comme de la bienveillance en a Kirishitan. Et les propos de cette dernière ne faisait qu'approuver ses pensées.


L'enduiseuse riait, mais se calmait assez vite. Reprenant son sérieux, elle pensait aux gens de Koya, mais surtout à l'organisation de la pègre. En y repensant, elle se douterait que tôt ou tard ces "types" viendraient la chercher à un moment ou à un autre. Que très peu rassurer et se doutant des conséquences à venir, Yuko cherchait à croiser son regard avec celui de la jolie Sayaka.


Elle se taisait un peu hésitante même si la femme juste avant lui disait que les personnes les plus fiables étaient le clan Kirshitan connaissant le même statut de réfugié.


L'Abura détournait légèrement le regard, perdu à nouveau dans ses pensées.

La conversation avec la belle Abura commençait a prendre des allures plutôt morbide, mais il était normal de penser à ce genre de chose quand on attendait un bébé, Sayaka bien que sa fille l'ai couverte de honte donnerait sa vie pour elle, c'était le tribu de tout parent, leurs enfants devenait des la naissance une raison de vivre, de mourir et de tuer. Alors plongeant ses yeux dans ceux de Yuko Sayaka lui dit.



Voilà qui était dit, les deux jeunes femmes venaient de tisser un lien important entre elle, et Sayaka n'osait pas demander pourquoi elle ne voulait pas simplement les confier au père, finalement cela ne l'a regardait pas. Regardant par la fenêtre, la Kirishitan remarqua que l'heure de déjeuner était dépasser, et qu'elle avait laisser cette femme qui porte la vie sans la nourrir.



Les yeux de la belle devinrent d'un vert magnifique et étincelant alors qu'elle ouvrit la porte pour jeter deux graine et faire pousser deux assiette de courge spaghetti, elle en tendit une à sa nouvelle amie et lui dit.



Les yeux de Sayaka revinrent alors à la normal, elle fit apparaître une table et deux chaise avec le même jutsu que la maison. Du mobilier de la nourriture, Yuko devait bien se demander ce que les Kirishitan ne pouvait pas créer.

Cela enlevait un poids sur la conscience de la maman. De savoir que si par malheur elle faisait de mauvaises rencontres dans le futur, au moins ces filles auront une éducation moins... Konohajin et beaucoup plus ouverte d'esprit. C'était d'un air songeur que Yuko regardait Sayaka.


A peine ouvrait-elle la porte que la Kirishitan faisait pousser de drôle de plantes. Mais, leur pouvoir était donc sans limite ? Se rendait-elle compte du don qu'elle possédait ? Toutes les situations contre la famine pouvait être tellement résolu avec des Kirishitan à Koya ! Et la suite était encore plus incroyable. De son Mokuton la belle femme à la bienveillance infinie fabriquait des chaises et une table. L'Abura restait la bouche béante face à tant de pouvoir !


Elle n'avait jamais rien vu d'aussi exceptionnel !


Elle prenait place écoutant la sous-cheffe lui dire qu'il fallait qu'elle mange étant donner que d'une personne, elle en devenait trois.


Yuko n'avait aucune gêne de manger avec les mains et en oubliait la politesse. Ces spaghetti à la courge étaient d'un délice ! Tellement succulent qu'elle pouvait en pleurer... D'ailleurs, la fleur à l'extérieur était-elle toujours en vie ? Les larmes montaient aux yeux de la femme.

Sayaka était heureuse de voir que sa nouvelle amie apprécié ses talents, c'est vrai que parmis les konohajin rare étaient ceux qui s'extasier de la sorte de ant le miracle de la nature, car c'était bien ce qu'était le Kafungan et le Mokuton, des miracle qui permettrait à des masses de population de ne plus avoir faim ou soif, ou à ne plus dormir dehors, Sayaka pensait que les Kirishitan avait était créé pour prêter main forte à mère nature, mais la grande majorité des Kirishitan était trop égoïste et centré sur leur petite personne pour remarquer ça.



Et puis avec un peu de fierté dans la voix Sayaka continua à parler.



Voyant son amie presque pleurer, Sayaka fit quelque chose de naturelle pour elle mais qui serait peut être mal pris par son amie, elle se leva et la prit dans es bras avant de dire.

Alors que Yuko du à ses hormones de femme enceinte commençait à sangloter pour les pauvres fleurs potentiellement fanées dans ce grand froid, Sayaka se levait et faisait preuve d'une grande douceur en enlassant la future maman. Les mots qu'elle prononçait étaient à la fois bizarre, parce que l'enduiseuse ne comprenait pas pourquoi elle lui disait ça, et réconfortant tout de même d'avoir du soutien. Bon ok, elle va pas mytho sur le fait que le câlin était de trop à son goût, ça la dégoûtait même de se faire autant dorloter.


Ca m'était vraiment mal à l'aise la balzannée qui repoussait gentiment la Kirishitan de ces deux mains la regardant un peu intriguée de son comportement si... soudain ? La chieuse se raclait un peu la gorge regardant dans une autre direction, pour sûre cet acte de bonté n'en était vraiment pas un pour elle. Elle décidait de changer de sujet pour éviter de se prendre un autre rafale de tendresse...


L'Abura espérait que ses vêtements secheront au plus vite pour reprendre la route assez rapidement.

Sayaka eu deux regret en faisant un câlin à la Abura, premièrement elle s'était retrouvé les vêtements plein de petites taches d'huile comme si de la nourriture grasse y était tombé, et ensuite elle remarqua que tout ceci avait mis son amie mal à l'aise, ce n'était reelement pas son but de la faire se sentir mal, au contraire elle voulait faire en sorte qu'elle se sente mieux, Sayaka et les Kirishitan savaient mieux que n'importe qui ce que c'était que d'atterrir dans un endroit où tout le monde vois regarde de travers, sans possibilité de retourner chez soi.

Alors en relâchant son étreinte, Sayaka rougit un peu, avec sa peau ce n'était pas quelque chose de franc, elle n'était pas devenu écarlate mais le dessous de ses yeux et son nez avaient pris une teinte légèrement plus rouge, puis elle dit.



Ne savant pas comment se sortir de cette affaire, bafouillant la jeune femme était heureuse que la Abura décide de changer de sujet.



C'était loin d'être le cas, faire un feu à l'intérieur d'une maison de bois n'était peut être pas recommandé, mais à l'extérieur pourquoi pas ?

Était-ce une façon de vouloir rassurer la Kirishitan ? Peut-être. Yuko ne savait pas trop et parlait souvent avant de réfléchir dans des situations comme celle-ci. Elle écoutait la réponse de la magnifique métisse avant de rétorquer:


L'enduiseuse, peu vêtu, sortait pour ramasser les quelques branches dans les alentours... Ô dieu ! Qu'il faisait froid bon sang ! Elle grelottait et ce n'était pas vraiment étonnant quand on sort à moitié nu dans la neige ! Une fois le bois rassemblé, elle se disait qu'elle c'était vraiment fait chier pour rien et qu'elle aurait pu demander à Sayaka pour en faire apparaître... L'Abura n'était pas habituée à ce genre de luxe. Ni une, ni deux elle soufflait du feu et crachait de l'huile pour que le bois flambant mieux. Toujours frigorifiée, elle cherchait ses vêtements humides et les plaçait près du feu. Elle ne tardait pas à entrer dans la cabane totalement gelée.

Sayaka n'eut pas le temps de faire du bois que la femme enceinte sortait à moitié nue dans la neige, la Kirishitan était un peu gêné, et n'eut pas vraiment le temps de l'empêcher de faire tout cela, alors pour ne pas causer une plus grande gêne que celle du câlin, Sayaka attendit le retour de la Abura dans la cabane, et fit un petit sourire à sa réflexion sur l'été.

Le monde Kirishitan était fait de jungle de plaines tropical et avait un climat chaud et humide, rien a voir avec Konoha, le seul endroit froid était le sommet du volcan quand celui ci était encore endormi, et peut de Kirishitan s'y était rendu.



Les deux jeunes femmes attendait alors silencieusement que le feu fasse son travail à l'extérieur ensuite elles allaient pouvoir reprendre leur marche et la "mission" de la journée serait terminée.

Quelques dizaines de minutes et tout était sec, c'est Sayaka qui sorti vérifier et rapporta les vêtement à Yuko.