Cela ne t'avait pas plu d'être obligé d'aller à l'Hôpital pour soigner ta main. Ton nouvel animal ne t'avait aucunement raté, mais, heureusement pour toi, dû à ton titre de ton clan, les médecins ne t'ont pas posé plus de questions sur ton état, les laissant croire que tu t'étais battu avec un brigand des quartiers du plaisir. Il devait arriver souvent ce genre de choses pour que ça en soit presque.. normal. M'enfin, tu t'en plaignais pas et, pour le moment, ça te donnait un avantage. Bandage à la main pour cacher cette vilaine blessure, tu étais revenue plus tard dans la journée. Il était fin de l'après-midi quand tu retournais dans ta nouvelle demeure. Sur la route, tu avais pris la commande que tu avais fait chez un forgeron un peu louche, dira-t-on. M'enfin, quand tu lui donnais du pognon, beaucoup de pognon, il savait garder le silence. Du moins, il se devait garder le silence, car, si ce n'était pas le cas, tu allais le faire payer de son sang. Étant un membre du clan Hattori, on ne pouvait te contrarier par peur de représailles.
M'enfin, c'est sur cette pensée que t'allais dans cette fameuse pièce que tu avais soigneusement la porte par des meubles de ta nouvelle demeure. Tu allais baptiser ton animal. À cause de son attitude de sauvage, elle avait retardé le moment, mais cela ne te déplaisait point. Bien au contraire. Certes, tu avais été dégoûté de devoir faire un tour à l'Hôpital, mais son esprit combattif te faisait.. frissonner. En la voyant se débattre, tu voulais encore plus la soumettre, l'entendre crier d'agonie et la voir se crisper de douleur. Elle avait dû caractère pour une si petite femme, mais toi, ayant la force d'un shinobi, tu avais le dessus sur elle et bientôt, tu pourras totalement la briser. Aah.. tu rêvais de ce moment que la lumière ne s'affiche plus dans son regard, que sa volonté n'existe plus. Tu voulais enlever toute cette joie qu'elle avait. Peut-être tu le faisais en l'honneur de ton petit frère, qui avait eu cette vie minable de bâtard, mais non. Tu le faisais simplement par pur plaisir.
Comme tu avais deviné en entrant dans la pièce, ton animal se réveilla lentement de ce sommeil de pierre. Quand elle avait perdu conscience, tu en avais profiter pour l'attacher différemment, la tenant debout, alors que tu avais pris un malin plaisir de la vêtir de son cadeau. Tu ne pouvais te le cacher, même si elle n'était pas le genre de femmes que tu fantasmais dessus, elle était plutôt jolie dans ce costume de chat un peu oser. Un sourire apparu sur tes lèvres.
« Alors, petit chat, tu t'es calmé maintenant? »
Tu voyais dans son regard de braises, toutes les insultes qu'elle souhaitait te crier dessus, mais elle n'osait pas. C'était étrange ça.. normalement, elle osait de crier. Avait-elle perdu la langue ou la foi? Tu ne penses pas, au vu de son agitation quand tu avances. Non, elle voulait seulement t'empêcher de te tirer du plaisir dans sa douleur. Tu laissas un rire narquois passer entre tes lèvres, amusé de cette situation, puis, tu repris la parole.
« Bien, nous pouvons commencer ton baptême alors. »
Sans te soucier de sa réaction, tu chauffas le bout de la tige de métal, pour rendre ce dernier rouge-orange. Ensuite, d'un léger sourire sur le coin de tes lèvres, tu t'approchas tranquillement de cette dernier, telle une scène dans les films horrifiants. L'animal s'agitait dans tous les sens, laissant percevoir un visage colérique, agressif, mais, heureusement pour moi, tu avais attaché cette dernière pour qu'elle ne puise attaquer. Cela ne prit guère de temps avant que tu plaça cette tige brulante sur la peau sensible de ton animal de compagnie. Tu avais choisi où ce qu'il avait les côtes pour qu'on puise bien voir qu'elle t'appartenait maintenant. La petite chatte hurlait de douleur, tandis que ses mains se crispèrent et son corps était tendu. À cette visage, tu te mordis tes lèvres, jouissant d'entendre cette douce berceuse dans ton oreille, mais tu devais te contenir. Tu devais être patient et connaître la plus grande des extases avant. Les joues légèrement rosées, tu laissas un sourire en voyant ton animal essoufflé.
« Ton nouveau nom sera Miso, mon petit chat. Aller, tu peux manger. »
Tu plaçais la nourriture proche d'elle, puis, partit la laissant dans sa rage, sans un mot de plus.