Kumo Idol

--First Day--

Oulah.. ma tête. Combien de temps j'avais été dans ce fameux black out? Qu'est-ce qui c'était arrivé pour que je perdre connaissance comme ça? Je me réveillais peu à peu de ce foutu black out qui avait sortit out of nowhere et m'avait mis dans une situation délicate. Jamais et au grand jamais, je m'étais évanouie en plein milieu de la rue à cause de un verre d'alcool. Jamais cela avait eu le lieu dans ma vie de fêtarde. Même quand j'étais déchirée par l'alcool au point de marcher avec l'aide de mes murs, au grand jamais j'avais perdu conscience dans la rue. Je savais que c'était beaucoup dangereux de le faire et ma conscience, embrouillée souvent par mes débauches de fêtarde, me faisait tenir jusqu'à la maison. Mais là, en un verre partager avec un nouveau poto de fête, me voilà à embrasser la ruelle dans le quartier chelou de la ville. C'était.. impossible que mon corps réagisse ainsi. J'avais beau pensé, mais je ne voyais qu'une seule issue; il y avait quelque chose dans mon verre que mon corps n'a pus purger et voulait que je perd conscience dans la rue. Je ne voyais que ça et, malgré que le mal de crâne bourrinait mon esprit, je devais, à tout prix ouvrir mes yeux pour découvrir où que j'étais rendue. Je bougeais alors mon bras pour essuyer mes yeux pour mieux voir les environs, mais je fus dérangé par ce gling-gling métallique qui titillait dans la pièce et de ces étranges poids sur mes bras. J'essayais avec mon autre main pour voir si le gling-gling était toujours là et oui, le même gling-gling, la même lourdeur. Avec le temps de constaté ça, ma vision devenait de plus en plus clair et une vision d'horreur s'offrit à moi. Mais, bordel la cul là.. pourquoi j'étais enchaînée??? Mais putain, c'qui le connard qui a fait ça? J'vais l'enculer ce fils de tchoin la. Attends de voir que je me sors d'ici, il va voir que j'suis pas un cadeau moé là.

Soudain, j'entendis des pas qui descendaient un escalier et je me dis que je ne devais pas ouvrir les yeux tout de suite. Non, c'était pas le moment. Je n'avais pas encore analyser la pièce et je ne savais surtout pas qui était le connard qui avait décidé tout bonnement de me capturer, oklm. Je fermai alors les yeux pour jouer la comédie. Je ne devais SURTOUT pas bouger. J'analysait tous les bruits dans ma tête. Un.. deux.. trois.. quatre.. il y avait 4 verrous sur cette porte où que j'étais enchaînée, alors que la personne se rapprocha tranquillement de moi, d'un pas lent et sur. Il s'arrêta à côté de moi, se pencha un peu pour me faire sentir son souffle dans mon oreille droite, tandis qu'il vérifiait mon pouls dans mon cou. Il voulait surement vérifier que j'étais toujours vivante et bah ouais. J'suis toujours vivante, mais, malgré mon envie de me retourner et lui mordre son christie visage de tout mes forces, je ne devais pas réagir. Je devais être plus intelligente et me révoltée au bon moment. Soudain, je senti que ce dernier attacha un truc étrange à mon cou qui était serré. Non que je manquais de respiration, mais c'était vraiment désagréable d'avoir l'objet dans le cou.

Dialogue de personnage
« Maintenant, tu es un vrai animal de compagnie. J'ai bien hâte au jour à venir. »


Il a dit quoi, ce sac à merde là?? Il me traite d'animal? C'quoi ce dérangé qui part, en plus, en riant dans sa barde, estie? Mais en plus, je reconnais la voix du trouduc là.. c'est le putain nouveau qui voulait prendre un verre avec moi et que je ne le connaissais pas de base. Mais.. c't'un malade mentale de vouloir me capturer. Il risque sa vie en faisant ça. Bah ouais, non seulement que je vais me révolter, mais en plus, ça sera pas long que les gens vont s'inquiéter de mon absence et me chercher. Ils vont me trouver et le tuer ce chien s'il me touche. Par contre, pour l'instant, je devais me repérer et me sortir de cette merde. Oh god, je sens que ça ne va pas être une partie de plaisir.

Publié le 05 Mars 2021 vers 12h

1

L'extase. Voila ce que tu ressentais sur ton geste. Tu avais peut-être fait un geste qu'il allait te condamner si la vérité se dévoilait en ce jour, mais tout cela faisait partie de ton projet de connaître la plus grande extase, absorber par l'adrénaline. Depuis la découverte de ta demeure en cendre, la folie t'avait regagné. Était-ce les résidus de ton lien avec ton très cher frère qui t'avait propulsé dans la quête de l'extase? Quoiqu'il en soit, ta victime fut choisie depuis des semaines et tu avais arrangé ce nouveau manoir pour qu'elle soit parfaite pour cette personne qui sera ton animal de compagnie. Tu avais poursuivis plusieurs femmes, mais une t'avais fait de l'oeil; Cette jeune Hattori, tout aussi raté que ton tendre frère, mais qui semblait vivre une vie magnifique a comparé de ce dernier. Elle semblait.. aimé par les Kumojin, malgré qu'elle ne possédait pas cette poche de poisons. Comme un vrai prédateur, tu avais décidé de la faire descendre de son nuage et de la trainée vers l'Enfer, avec toi ou non. Tu voulais qu'elle ressente le désespoir tandis que toi, tu voulais sentir l'extase de posséder une personne de ton clan, sentir ce sentiment de dominer quelqu'un et de l'entendre supplier. Un grand fantasme caché qu'il ressortait en voyant le doux visage de la femme, un fantasme qu'on pouvait considérer malsain.

Le soir de ta capture fut plutôt un jeu d'enfant. Tu le savais plus que quiconque où que ta proie se trainait le soir et, au moment le plus opportun, tu avais mis ton plan en oeuvre. De par sa nature orgueilleuse surement, elle avait décidé d'être seule dans les rues les moins surs de votre village, ce qui avait rendu le travail beaucoup plus facile. Et maintenant, voilà où tu étais maintenant; ta victime se réveilla dans la journée, alors que tu lui déposais de la nourriture pour qu'elle puisse manger. Dès ton apparition, elle cria telle une chienne agressive, prête à te mordre, mais, heureusement pour toi, tu avais équipé cette dernière d'un model de torture de qualité. Le collier que cette jeune demoiselle possédait dans son coup s'activa au moment où elle leva la voix et hurla de douleur. Ah.. le doux son de l'agonie.. son cris te faisait frémir, te rendait quasiment.. instable et impatient. Tu voulais entendre plus et encore, sa souffrance était ton bonheur. Elle essaya de te demander ce que tu lui avais fait dans un cris de rage, mais ceci se transforma en douleur encore, te laissant un léger sourire sur le coin de tes lèvres. Tu pris place sur une chaise sur le coin de la pièce et tu observas ta proie tortillonner par la douleur, la rage et la confusion.

Dialogue de personnage
« Bienvenue dans ta nouvelle demeure, ma demoiselle. J'ai décidé de te prendre avec moi et je te ferais de toi le meilleur animal que l'on puisse avoir, mais tu as besoin que nous t'éduquons, donc je t'ai offert.. un petit cadeau. À chaque fois que tu lèveras la voix, tu recevras une décharge, grâce au collier que tu as à ton cou. J'espère que tu es contente de ton cadeau. »


Tu observas la femme d'un sourire satisfait, quasiment moqueur, alors que la demoiselle crache son venin sur toi, disant qu'elle ne t'obéirait jamais, même dans sa mort, alors que la décharge la fit, à nouveau hurler. Tu sentais un frisson traverser tout ton dos, alors que tu mordillais la lèvre inférieure. Tu languissais de lui faire plus, mais tu ne devais pas être impatient. Tu avais tout ton temps et tu allais savourer chaque moment passer en compagnie de ton animal.

Dialogue de personnage
« Allons, ne soit pas aussi pressée de me satisfaire, ma chère. Nous avons.. tout notre temps. Tu devrais manger, je reviendrais pour m'occuper de toi dans la soirée. »


Sans un mot ajouter, tu quittais les lieux, la laissant avec son repas copieux malgré tout.

Publié il y a moins d'un mois

Kumo Idol

--Second Day--

Ouah.. c'est quoi ce réveil bordel de merde? Il est quel heure là? Je ne savais plus vraiment la notion du temps honnêtement. Déjà que j'avais du mal avait si je n'avais pas mon agenda avec moi, mais là.. n'ayant pas de lumière naturelle, de fenêtre, d'heure affichée, rien.. Je devais deviner moi-même, mais bon.. c'était cause perdue. Même si cela ne devait faire pas plus que trois jours j'étais ici, j'avais l'impression que ça faisait des semaines. Les secondes semblaient comme des minutes, et des minutes des heures. Néanmoins, même si j'étais dans un état où que je ne pouvais me situer dans le temps, je ne pouvais abandonner la guerre. Ce trou du cul, ce connard qui prend plaisir à me voir souffrir.. je ne vais pas le laisser gagner sur moi. Je vais me débattre encore et toujours jusqu'à ce que mon souffle s'arrête. Ô grand jamais il pourra me soumettre. Ma propre soeur ne peut même pas me contrôler, alors, ce n'est pas un membre random de mon clan qui va me faire taire. C'était d'ailleurs sous cette colère ardente que je m'étais réveillée difficilement, mais, quand je fus réveillée de ma sieste de mettre, mon dieu que j'étais prête à le défoncer ce connard. Je ne sais pas comment je vais faire, mais il va me le payer. Je l'attendais pendant plusieurs heures.. genre c'était vraiment long en tabarouette, mais, quand ce dernier arriva enfin dans la pièce, je tournai la tête pour le fixer, les sourcils froncés. Comme avec son habitude de petite pute, il afficha un sourire d'hypocrite sur son visage et me demanda comment j'allais. D'après toi, gros con, j'ai d'l'air de péter le feu là, mon gros pédé? Gros sexiste de caliss, j'vais te défoncer, je te le jure. Détache moi pour voir. Vas-y! Ose...

Dialogue de personnage
« Je t'ai acheté un nouveau cadeau, ma petite. Mais, avec ton attitude, je vais devoir prendre les grands moyens.. »


Toujours les sourcils froncés, la stupeur me frappa quand je vis que ce dernier sortit une seringue avec un liquide transparent dedans. Quoi..? Il va pas me drogué encore celui-là? Ah non! Il est hors de question que j'aille cette merde dans mon corps. Pris par un instinct de survie, quand mon kidnappeur s'approcha un peu trop de mon cou, sûrement pour planter l'aiguille dans mes veines quoi, je décidai aussitôt d'utiliser ma bouche pour l'arrêter dans son mouvement. D'un geste rapide, j'avais sa main entre ma mâchoire et je serrais très fort pour lui créer une vilaine morsure. Le collier sentait une force anormale au niveau de mon cou et s'activa pour m'envoyer une grande décharge électrique. J'avais mal, je me retenais de crier, mais, dans ma souffrance, je serrais encore plus les dents, ce qui empirait ma blessure. L'Hattori hurla de douleur, tandis qu'il prit quelque temps, essayant de se défaire de cette mâchoire qui lui avait déchiré des nerfs dans la main. Tiens mon gros connard! Comme ça, tout le monde te verra avec une blessure étrange et tu n'auras pas le choix d'aller à l'hôpital, Chien.

Dialogue de personnage
« Salope. »


Suite de son insulte, il me donna une violente gifle au visage, ce qui me fit lâcher sa main, avant que ce dernier donna deux violents coup de pied dans mon abdomen, puis, suite à ses douleurs, je perdis connaissance, ne sachant point ce qu'il allait faire. Néanmoins, même si j'étais dans un état pitoyable, j'avais réussi à le ''marquer'' pour que les gens le remarque. J'espère seulement qu'on me retrouve vite..

Publié il y a moins d'un mois

1

Cela ne t'avait pas plu d'être obligé d'aller à l'Hôpital pour soigner ta main. Ton nouvel animal ne t'avait aucunement raté, mais, heureusement pour toi, dû à ton titre de ton clan, les médecins ne t'ont pas posé plus de questions sur ton état, les laissant croire que tu t'étais battu avec un brigand des quartiers du plaisir. Il devait arriver souvent ce genre de choses pour que ça en soit presque.. normal. M'enfin, tu t'en plaignais pas et, pour le moment, ça te donnait un avantage. Bandage à la main pour cacher cette vilaine blessure, tu étais revenue plus tard dans la journée. Il était fin de l'après-midi quand tu retournais dans ta nouvelle demeure. Sur la route, tu avais pris la commande que tu avais fait chez un forgeron un peu louche, dira-t-on. M'enfin, quand tu lui donnais du pognon, beaucoup de pognon, il savait garder le silence. Du moins, il se devait garder le silence, car, si ce n'était pas le cas, tu allais le faire payer de son sang. Étant un membre du clan Hattori, on ne pouvait te contrarier par peur de représailles.

M'enfin, c'est sur cette pensée que t'allais dans cette fameuse pièce que tu avais soigneusement la porte par des meubles de ta nouvelle demeure. Tu allais baptiser ton animal. À cause de son attitude de sauvage, elle avait retardé le moment, mais cela ne te déplaisait point. Bien au contraire. Certes, tu avais été dégoûté de devoir faire un tour à l'Hôpital, mais son esprit combattif te faisait.. frissonner. En la voyant se débattre, tu voulais encore plus la soumettre, l'entendre crier d'agonie et la voir se crisper de douleur. Elle avait dû caractère pour une si petite femme, mais toi, ayant la force d'un shinobi, tu avais le dessus sur elle et bientôt, tu pourras totalement la briser. Aah.. tu rêvais de ce moment que la lumière ne s'affiche plus dans son regard, que sa volonté n'existe plus. Tu voulais enlever toute cette joie qu'elle avait. Peut-être tu le faisais en l'honneur de ton petit frère, qui avait eu cette vie minable de bâtard, mais non. Tu le faisais simplement par pur plaisir.

Comme tu avais deviné en entrant dans la pièce, ton animal se réveilla lentement de ce sommeil de pierre. Quand elle avait perdu conscience, tu en avais profiter pour l'attacher différemment, la tenant debout, alors que tu avais pris un malin plaisir de la vêtir de son cadeau. Tu ne pouvais te le cacher, même si elle n'était pas le genre de femmes que tu fantasmais dessus, elle était plutôt jolie dans ce costume de chat un peu oser. Un sourire apparu sur tes lèvres.

Dialogue de personnage
« Alors, petit chat, tu t'es calmé maintenant? »


Tu voyais dans son regard de braises, toutes les insultes qu'elle souhaitait te crier dessus, mais elle n'osait pas. C'était étrange ça.. normalement, elle osait de crier. Avait-elle perdu la langue ou la foi? Tu ne penses pas, au vu de son agitation quand tu avances. Non, elle voulait seulement t'empêcher de te tirer du plaisir dans sa douleur. Tu laissas un rire narquois passer entre tes lèvres, amusé de cette situation, puis, tu repris la parole.

Dialogue de personnage
« Bien, nous pouvons commencer ton baptême alors. »


Sans te soucier de sa réaction, tu chauffas le bout de la tige de métal, pour rendre ce dernier rouge-orange. Ensuite, d'un léger sourire sur le coin de tes lèvres, tu t'approchas tranquillement de cette dernier, telle une scène dans les films horrifiants. L'animal s'agitait dans tous les sens, laissant percevoir un visage colérique, agressif, mais, heureusement pour moi, tu avais attaché cette dernière pour qu'elle ne puise attaquer. Cela ne prit guère de temps avant que tu plaça cette tige brulante sur la peau sensible de ton animal de compagnie. Tu avais choisi où ce qu'il avait les côtes pour qu'on puise bien voir qu'elle t'appartenait maintenant. La petite chatte hurlait de douleur, tandis que ses mains se crispèrent et son corps était tendu. À cette visage, tu te mordis tes lèvres, jouissant d'entendre cette douce berceuse dans ton oreille, mais tu devais te contenir. Tu devais être patient et connaître la plus grande des extases avant. Les joues légèrement rosées, tu laissas un sourire en voyant ton animal essoufflé.

Dialogue de personnage
« Ton nouveau nom sera Miso, mon petit chat. Aller, tu peux manger. »


Tu plaçais la nourriture proche d'elle, puis, partit la laissant dans sa rage, sans un mot de plus.

Publié il y a moins d'un mois

Kumo Idol

--Cinquième jour--

Un... deux.. trois.. tire! Un.. deux.. trois.. tire! Un.. deux..

Hein? Je fais quoi? Bah, ça se voit pas? J'essaye de m'enlever ces putain de menottes qui me tient prisonnière. C'est vrai que je suis un peu désespérée à m'enfuir et d'essayer de les briser ainsi, mais j'avais remarqué un défaut dans cette dernière. Pourquoi pas essayer, surtout que.. j'ai pas mal juste ça à faire et je n'ais qu'une envie c'est de m'enfuir d'ici. Je ne sais pas combien de journées se sont écoulées ou quelle heure était, mais je ne voulais pas m'éterniser ici. J'avais encore un rêve à réaliser et ce n'est pas à pourrir dans ce bunker. Donc, pendant plusieurs heures, écoutant chacun des va et viens de mon kidnappeur, pour forcer sur ces menottes. C'était pas vraiment une partie de plaisir, car la pression sur mes poignets me faisaient mal, mais je ne pouvais rester sans rien faire. Il ne savait pas qui j'étais cte tchoin et j'allais le faire regretter d'avoir enfermer une Hattori. Donc, avec toute la volonté du monde, je continuais mon petit paterne. Je tirais le plus fort possible au bout de trois pendant 5 secondes, avant d'arrêter et de recommencer. Je ne sais pas ça faisait combien de temps que je faisais ça, mais, avec toute cette volonté que j'y mettais, je fus surprise de voir que finalement mes efforts n'étaient guère inutiles. J'entendis un gros gling-gling, alors que je tombais sur mes pieds. Je ne compris pas tout de suite que j'étais enfin libre. Comme par instinct et tremblante, je regardais mes mains et les bougeais devant mon visage larmoyant par cette vision. L'euphorie a ce moment. J'voulais vraiment hurler ma joie, mon exploit d'avoir réussi, mais je ne pouvais tout de suite. Je devais, avant tout, m'en aller d'ici.

D'un oeil avisé, j'observais la pièce et vit cette fameuse chaise branlante qui tenait à peine debout. Cela ne prit guère de temps avant qu'une idée pop dans ma tête. Sans un bruit, je me rapprochais de la dite chaise et je cognais les pieds dans le mur pour attirer l'attention. Je donnais deux-trois coups, avant d'écouter si cet enfoiré d'Hattori avait décidé de bouger son cul pour venir me voir. C'était bien lui qui me disait de faire du bruit quand je voulais de l'attention non? Alors, viens mon porc! Je fis ce geste trois fois avant que je n'entende les pas lourds de ce dernier se diriger vers l'entrée. Oh yes! C'est le moment! Je me mettais en position, armée de cette fameuse chaise. La tension était palpable et mes mains tremblaient, certes par le stress d'échouer cette évasion, mais aussi par l'excitation du moment. Je ne pouvais plus tenir en place! Je voulais goûter une nouvelle fois à ma liberté.

Soudainement, la porte s'ouvrait tranquillement, laissa un homme, à moitié-endormie, entré dans la pièce. Il devait encore être dans son programme de sommeil pour ne point avoir remarqué que je n'étais plus au mur, c'était un avantage pour moi et je le pris aisément. De toute ma force, je fracassais la chaise sur ce dernier et je le poussais avant de fermer la porte. Je mettais qu'un verrou, étant sûre qu'il ne pouvait sortir, puis, je partis en cours. J'entendais ce dernier hurler le nom ''Miso'' en cognant contre la porte métallique. Cependant, je n'avais pas prévu la suite des événement.

En effet, alors que j'essayais de trouver l'endroit pour sortir, j'entendis cette fameuse porte métallique s'ouvrir. Quoi? Elle pouvait s'ouvrir de l'intérieur? Oh ben tabarnak! Faut vite que je m'en aille, surtout que lui, c't'un ninja et il va me rattraper. Pas le choix, je pris un objet lourd dans mes mains et le lança dans la fenêtre devant moi. Elle se fracassa en milles morceaux, puis, d'un courage inhumain que j'avais, je sautais en base du premier étage. Pour un ninja, ce n'était pas haut, mais, je vous rappel que je ne suis pas une ninja. Donc a l'atterrissage, un étrange son se fit entendre, alors qu'une énorme douleur se réveilla au niveau de ma cheville. Je voulais hurler ma douleur, mais aucun son sortait dans ma voix, surement dû par tous ces chocs que j'avais eu. Malgré tout, j'avançais sur l'adrénaline, je devais me rendre dans un lieux sûr. À la première vu, alors que j'avançais difficilement vers ma liberté, j'étais dans la cours arrière, ce qui cachait au voisin cette événement. J'étais quasiment rendu à l'entrée, mais..

Publié le 19 Avril 2021 vers 18h

1

Cette pute de Miso.. elle avait réussi à briser ses chaines qui la retenait et maintenant, voilà qu'elle se jetait de ta jolie demeure pour voir l'extérieur. Malgré la douleur de ton réveil par une chaise qui t'avait fracassé la tête, tu n'étais pas si fâché que cela. Certes, tu ressentais un énorme dégoût que ton animal de compagnie te rejetait de la sorte, mais tu étais plus pris dans la confusion de cette instinct de fuite. Peut-être avait-elle besoin de se soulager sur le gazon? Ou même en manger? C'était une possibilité, mais, de nature sauvage, elle ne faisait pas dans la légère. Une chance que tu avais hérité du cerveau à comparer de ton défunt frère et tu avais fait une clef pour ouvrir cette grande porte en métal. Après avoir appelé ton petit chat pour voir si elle reviendrait t'ouvrir, tu décidas d'utiliser cette fameuse clé pour sortir de la pièce, puis, tranquillement, tel un prédateur, tu te dirigeais vers l'endroit où que ton chaton pouvait se cacher. Dans ta marche, tu entendais un son sourd de verre qui se brisait, tandis qu'un grand son sourd, comme si quelqu'un s'était jeté. Sur ce son, tu pris un peu plus de vitesse pour rejoindre ce fameux bruit et tu laissas un regard intrigué par la scène. Tu voyais ce fameux petit chat qui essayait de se diriger vers la sortie de ton jardin, mais tu ne pouvais te permettre de la laisser faire. Elle n'était pas encore.. docile pour pouvoir sortir librement. Elle se perdrait dans tous les rues de Kumo.

D'un saut gracieux et précis, tu rejoins l'extérieur avant de te rapprocher de Miso et de lui prendre par les jambes Elle laissa un léger cri, comme si mes mains avaient touché une blessure, alors qu'elle se tourna pour te faire face. Tu laissas un sourire narquois, presque sadique sur ton visage alors que tu tirais cette dernière vers toi. Tu voyais cette peur qui te fit rougir, frissonnant de sensations, cette peur qui la fit réagir d'une façon étrange. Elle essayait de planter ses griffes dans le sol, comme pour se retenir, mais, tu étais un homme et tes muscles n'étaient pas une illusion. Tu étais nettement plus fort qu'elle, mais, alors tu pensais la rattraper dans tes bras, ton animal, tel un geste désespéré, lança de la poussière de terre dans tes yeux qui te fit lâcher prise quelques seconds, grognant de douleur. Ce n'était pas très confortable, mais tu enlevais les poussières de tes yeux avant de composer des mudras. Tu créais une petite bulle orangé et l'envoyait contre le chaton qui semblait déterminée à reprendre son trajet. Cela ne prit guère quelques temps avant que tu détruises ses espoirs et qu'elle fut prisonnière de ta technique. Assez joué, tu devais l'endormir. Tu sortis de ta poche un mouchoir tandis que de l'autre tu pris une bouteille étrange, versant le contenu dessus ton mouchoir de tissus.

Dialogue de personnage
« À L'Abbfbjkbkfe... »


Avant que ton chaton ne puise hurler pour déranger tes pauvres voisins qui dormaient, tu plaçais ton tissu imbibé de l'étrange substance sur la bouche et le nez de cette dernière. Tu maintenais Miso ainsi, la laissant respirer dans ce tissu et cela prit quelques temps avant que son corps se détendit et que ton chaton rejoint les bras de morphée. Nonchalant et très calme, tu enlevais ton chat de la prison en gomme et tu l'as ramenais à la maison. La récréation était terminée et il était l'heure de dormir.

Publié le 23 Avril 2021 vers 02h

1

--Sixième jour--

Tu avais tant attendu ce moment. Tu avais tant été patient, mais, le dernier événement était un stimuli de trop. Tu ne pouvais plus te retenir et l'extase que tu attendais tant serait.. mortelle, comme disait les jeunes de ton quartier. Tu étais vêtu simplement d'un pantalon légèrement serré sur tes jambes, montrant la musculature de tes mollets, tandis qu'une cravate noire décoration ton torse nu et musclé. Tu avais décidé, dès le matin, de baissé la température de la maison pour que le froid envahit les lieux. Dans ta démarche, tu sentais ton corps frissonner et un sourire narquois, voir sadique se dessinait sur tes lèvres. Le pas lent, tu te dirigeais vers cette chambre où tu avais attachée ton animal de compagnie. Tu languissais sur tout ce que tu allais lui faire, te mordant les lèvres par l'excitation de ces fameux moments.

Tout doucement, tu ouvrais la poignée de la porte pour faire face à Miso, se débattant à ta vue. Elle aussi, elle semblait impatiente de ce moment si magnifique, si unique. J'en voyais trembler d'excitation et verser des larmes de joies. Ahh.. était-ce seulement la vérité? Peut-être. C'était ta vérité, après tout. Personne ne pouvait la contredire. Doucement, laissant languir ton chaton, tu fermais la porte derrière toi et tu t'approchais lentement de cette dernière. Tu déposais ta main sur son pied, pesant dessus pour l'entendre hurler, mais, elle restait silencieuse. Son visage était crispé par la sensation, ses dents se serrèrent contre elle-même, mais elle se tut. Tu fronçais les sourcils sur le coup, avant de sourire, amusé de la voir ainsi. Tu glissais lentement tes doigts sur ses jambes, te rapprochant de son visage. Tu observais la fameuse bougie sur le bureau, à ta droite, avant de l'attraper entre tes mains et, toujours aussi lentement, tu versais le contenu sur la peau de la demoiselle. La cire coulait délicatement sur la peau, alors que tu entendais cette dernière étouffée ses cris et bouger par les sensations dans son cou. Tes joues prirent un teint rosé, tandis que tu te léchais les lèvres. Sa voix te faisait frimer, ses larmes te faisaient frissonner.. Tout était parfait en ce moment.

Sentant de plus en plus ce grand extase s'emparer de toi, tu décidas alors de rejoindre ton animal dans ton lit, en califourchon sur elle. Peut-être par simple lucidité, tu glissas tes mains sur sa peau, avant de te diriger vers son cou. D'une douceur inhabituelle, tu enlevas son collier, le déposant à côté de toi. Le visage de ton chaton était tiré entre la confusion et l'excitation du moment, puis, toujours aussi doux, tu approchas tes lèvres sur les siennes, les collant ainsi. C'était un baiser d'adieux. Ton tout premier et dernier baiser avec ton animal, avant que cette dernière rejoint tes plus grands fantasmes. Toujours dans la douceur, tu plaças tes mains autour de son cou et tu commenças à serrer. Tu sentais son cou forcé pour avoir de l'air, tandis que cette dernière se débattait. Tu sentais peu à peu cette dernière fébrile, comme si la mort la faisait fuir d'une grande extase, mais tu ne lâchais guère prise. Tu restais là, à l'embrasser dans son dernier souffle, tandis que la porte de ta chambre s'ouvrait.

Publié le 27 Avril 2021 vers 17h

| Ombre Blanche |

Autant dire que ton sang ne fait qu’un tour en entrant dans la pièce, tu aperçois la scène et ne cherches pas longtemps pour comprendre le comment du pourquoi. Tu fais à peine un pas que les bandelettes apposées sur ton corps sortent de part et d’autre de ton Kimono pour se diriger vers le Hattori qui tenait captive Riku depuis presque une semaine désormais. L’une d’entre elle attrape le kidnapper et d’un geste, tu fais en sorte de le relever, mais ce qui se passe par la suite se fera en une fraction de seconde. À peine debout, tu es amené vers lui à une vitesse fulgurante et lui met un coup de genoux monumental dans l’estomac avant qu’il ne prenne conscience de la situation et ne se défende. Tu risquais bien des choses en te mettant à proximité de lui, mais tu comptais sur Yuhei en renfort si besoin était. Tu n’étais pas aussi faible que tu le laissais paraître. Mais tu n’étais pas dans ton domaine de combat. Le coup devrait avoir coupé la respiration de l’homme et tu espérais qu’il ne soit pas trop solide pour rester un bon moment au sol. Tu jettes un œil sur la jeune file pour voir son état. Ton frère sera probablement allé à son chevet pour s’occuper d’elle, mais dans le doute, tu vérifies.

Dialogue de personnage
« Est-ce que ça va ? »


Tu gardais un œil sur l’homme vêtu de rouge et préparais en avance le coup que tu allais lui faire subir. Il te fallait un moment de canalisation pour pouvoir mettre en place ce jutsu et temporisais tant bien que mal l’affrontement. Il ne fallait pas te louper, tu ne penses pas pouvoir lancer une seconde offensive de la sorte rapidement après, car à force de recherche et le manque de sommeil, tu manquais tout de même d’énergie. C’était un pile ou face pour toi et tu comptais bien lancer la pièce et jouer avec le destin.

Publié le 02 Juin 2021 vers 17h

| Ombre Prodige |
1

Tu n’avais eu que peu de patience jusque-là. Les investigations n’étaient pas ton fort, tu étais un shinobi, pas un espion, pas un détective. Ton travail à toi avait toujours été et serait certainement toujours : neutraliser ou Tuer. Tu avais donc servi plus de gardes du corps à ton frère durant ses recherches pour ne pas trop interférer et lui rajouter du travail. Mais il avait trouvé la piste, trouvée le coupable, trouver la victime. Il était maintenant temps pour toi d’entrer en scène et d’être véritablement utile à la mission. Chacun son rôle non ? Tu accompagnais donc Nobuhisa au repère du ravisseur, sachant parfaitement que les choses seraient musclées cette fois-ci. Pas de place pour la douceur, tu venais pour appréhender un criminel, mort ou vif, justice serait rendu. Mais au moment où ton frère utilisa son savoir Miwaku pour ouvrir les portes, tu aperçus une scène qui te glaça le sang en moins de temps qu’il te fallut pour réaliser ce qu’il se passait réellement. Nobuhisa fonça sans attendre, mais tu n’étais pas loin derrière.

Tu avais foncé directement sur Riku pour être sûr qu’elle aille bien tandis que ton frère avait lui enfoncer son genou dans le ventre d’Hosoroshi. Tu devais faire vite, car ton frère n’était pas un combattant. Il avait bien des compétences et des forces, mais le combat rapprocher était clairement sa faiblesse et Hosoroshi n’aurait pas de mal à rendre la pareille à ton frère. Tu attrapais Riku directement, dans tes bras, tu sautais en reculant pour la mettre en sécurité loin de l’ennemie tout en vérifiant qu’elle respirait toujours. Son souffle était faible, mais tu ne pouvais pas permettre à Nobuhisa de se faire attraper. Tes mains se joignaient pour former des mudras rapidement, manifestant ton chakra sous la forme d’un chien de foudre qui se jeta immédiatement sur le bras droit d’Hosoroshi pour l’empêcher d’accomplir des mudra… Enfin au moins quelques secondes le temps que tu puisses rejoindre le combat à ton tour.

Dialogue de personnage
« Riku… »


Tu la relevais doucement pour prendre ses constantes rapidement et t’assurer qu’elle était bien en vie et que le souffle faible que tu avais sentis n’était pas juste dû au mouvement brusque. Tu plaçais tes doigts au niveau de son cou ainsi que ton oreille au niveau de sa bouche, entendant belle et bien une respiration faible mais existante… Elle aurait besoin de soin, mais si tu n’agissais pas… Nobuhisa en aurait lui aussi besoin par la suite. Tu la déposais alors doucement au sol avant de te relever, prêt à attaqué de nouveau.

Publié le 15 Juin 2021 vers 22h

1

Ce goût exquis que tu avais en bouche, laissant tes lèvres et ta langue déguster sa peur, tandis que ses mains attrapèrent ta cravate que tu avais dans le cou pour le tirer. Elle aussi, elle t'étranglait, mais, à comparer de toi, ton chaton n'avait pas la force nécessaire pour t'empêcher de continuer. Tu trouvais ce moment si.. excitant, si unique. Tu le savais, cette expérience ne se vit qu'une fois et après, plus jamais tu ne seras plus comblé par la présence d'un être vivant au dessous de toi. Peu à peu, tu tombais dans cette folie malsaine, dans cet art interdit d'aimer ce qui ne devrait pas l'être. Plus que tu l'as sentais succombé par ta main, plus que l'excitation était grande, quasiment intenable. Mais alors que tu croyais pouvoir connaître ce goût interdis par ton clan, un ruban étrange entourait ton corps et te soulevait, t'enlevant de ton animal de compagnie. Tes sourcils se froncèrent automatiquement, te laissant un regard froid et haineux envers celui qui t'a dérangé dans ton art. Tu allais rétorquer en tirant sur ces bandages qui étaient bien trop dérangeants, mais tu n'avais pas prévu ce coup qui t'arrivait dans ton estomac. Heureusement pour toi, tu avais les abos beaucoup trop durs pour être trop déranger par cet impact. Certes, tu avais eu la respiration coupée pendant quelques secondes, tandis qu'une autre personne entra et il s'enfuit avec ton chat entre ses bras. La rage froide se lisait dans ton regard, alors qu'un grognement s'échappa entre tes lèvres. Cependant, ce grognement se changea aussitôt à un rire légèrement sadique, voir noire. Tu ne pouvais abandonner comme cela. Tu te devais d'accomplir ton fameux envolé, tu voulais connaître cette apogée qui te faisait tant rêvé et ce n'était pas deux petits connards qui allaient t'en empêcher. Pendant que l'un s'occupait de Miso, tu décidas d'agir. Peut-être que tu fus prit au dépourvu, mais, malgré que tu connaissais ce fameux Miwaku brièvement, tu ne le laissais aucunement croire qu'il avait gagné. D'un coup puissant, tu tiras sur cette fameuse bandelette entre tes mains et essaya de lui donner un violent coup entre son torse pour te défaire. Plus vite qui sera au sol, plus vite que ton chef-d'oeuvre sera accomplie.

HRP : Son type de combat c'est le XingYi Quan (remarque Gen Fu de Dead of Alive ou Eliott), ce sont des coups moins rapide que la normale mais assez puissant! Du coup il essaye de te tirer vers lui comme tu as fait pour frapper entre sur ton torse

Publié le 16 Juin 2021 vers 19h

| Ombre Blanche |

C’est sans surprise que le borgne se relève sans avoir l’air déranger le moins du monde par le coup que tu venais de lui porter. Tu étais rassuré de voir Riku auprès de Yuhei et manque d’attention pendant une fraction de seconde et sent un coup violent te tirer dans une direction et tu savais à coup sûr que ce n’était pas dû à la concentration de chakra dans les bandelettes cette fois-ci. Il essayait tout bonnement de te tirer vers lui pour mieux pouvoir t’avoir. Une chose fortement déplaisante en sachant qu’un seul coup de sa part pouvait rapidement te mettre au tapis. Tu maudissais ton impulsivité du moment et tentais de sauver les pots cassés en te retenant du mieux que tu pouvais, mais sa force était bien plus grande que la tienne. Tu t’approche de plus en plus jusqu’à finir à portée de ses jambes en quelques secondes à peine. Tu priais intérieurement pour ne pas vomir tes tripes après le coup, tout en essayant de croiser son regard pour le plonger dans une illusion.

Cette illusion nécessitait bien trop de temps de canalisation et tu ne pouvais pas vraiment te permettre de faire autre chose pour faire diversion et cherchait le timing parfait pour lancer ce jutsu sans risquer de le louper auquel cas, tu serais un simple poid mort pour la suite de l’opération. Il ne te restera plus que des petits subterfuges pour aider ton frère. Tu es face à lui désormais et un coup arrive vers ton torse, tu paniques et en une vitesse affolante tes bandelettes viennent t’envelopper à la dernière seconde, formant un cocon protecteur. Tu ne ressens rien, mais tu sais que tu viens de faire plusieurs mètres en arrière par la puissance du coup et ne regrettes pas ton choix soudain. Tes poumons n’auraient pas apprécié la rencontre. Tu défais ta protection, Yuhei est maintenant en première ligne avec Riku dans ses bras. Tu as suffisamment d'énergie pour retenter le coup, mais il faudrait que tu y ailles avec plus de précaution si tu veux attraper son regard.

Publié le 17 Juin 2021 vers 21h

| Ombre Prodige |
1

Nobuhisa avait besoin d'aide, c’était indéniable. Tu étais le combattant, il était le support. Sa maîtrise du Genjutsu, bien que plutôt offensive, restait tout de même moins directe qu’un sabre planté entre les côtes. Pour maximiser la chance d’être pris dedans, tu te devais d’immobiliser la cible qu’était actuellement Hosoroshi. Tu voyais ton frère se faire balancer à plusieurs mètres, heureusement enroulé dans ses bandelettes. Tu ne le voyais que rarement user de ninjutsu, et encore moins des enseignements des Miwaku, mais il en avait les connaissances après tout alors pourquoi ne pas les utiliser ? Toi d ton coté, tu étais en position pour riposter a son action et offrir à ton frère une opportunité de le plonger dans une genjutsu. Le combat au corps-à-corps n’était pas forcément ton point fort, mais tu excellais dans les lieux confinés et les attaques rapides. Tu ne lui laisserais pas le temps d’agir de nouveau contre Nobuhisa.

Dialogue de personnage
« Hosoroshi, rend toi et peut être que ta mort sera rapide et indolore. »

.
Ta voix était calme et sans aucune expression. Pourtant, au fond de toi, tu sentais une tempête se lever à chaque pensée ou Riku apparaissait. Tu te refusais d’imaginer ce qu’il avait pu lui faire, non pas par peur de tes émotions, mais plus par peur de tes réactions. Tu apprenais petit à petit, à ressentir la colère ou non… Tu apprenais à mettre un nom sur cette émotion que tu ressens depuis toujours sans comprendre. Au-delà de l’agacement, au-delà de la colère, voilà que tu reconnaissais la haine.

Une seconde était passée, sans que ton adversaire ne daigne répondre favorablement à ta requête. Cela serait donc une mort lente, douloureuse, une torture que ton frère et toi lui feras subir. Après avoir brisé son âme, tu briserais son corps. Ou inversement peut-être ? Mais vous lui feriez payer ce qu’il a fait a Riku, et la mort deviendrait alors une douce délivrance. C’était ainsi que tu voyais les choses à ce moment. Mais trêve de pensée parasite, tu devais agir. Tu remontais ton sabre et te mis en position d’attaque, prenant tes appuis sur le sol. L’air prenant alors une certaine sensation électrisant à proximité de toi, tu t’élançais à toute vitesse sur ta proie, plantant ton katana dans son épaule pour bloquer son bras directement dans le mur. Tu souris doucement, tu ne le laisserais pas s’en sortir assi facilement. Maintenant, c’était à ton frère de profiter du temps que tu lui avais offert pour attaquer, même si toi, tu te faisais dégager à ton tour. Tu étais sa frontlane.

HRP : - Yuhei tente une attaque direct dans l'épaule d'Hosoroshi avec son katana pour lui immobiliser un bras en plantant le sabre dans le mur.

Publié le 03 Juillet 2021 vers 21h