Un nouveau départ.

Aujourd'hui était une journée spéciale pour toi, finalement le grand jour était arrivé. Aujourd'hui tu avais enfin reçu cette convocation que tu attendais tant était finalement enfin entre tes mains. Très tôt ce matin ta mère était montée te réveiller, avec à la main une lettre portant le sceau du village. Cela te fit te lever du lit instantanément, tu ouvrais cette lettre avec une grande impatience. Puis en lisant le contenu de celle-ci on peut ressentir la joie sur ton visage. Ta mère comprend tout de suite de quoi il s'agit en voyant ton sourire se dessiner.



Tu te retiens de sauter de joie à la lecture de cette lettre, enfin ton apprentissage allait finalement reprendre, au delà de ça tu allais sans doute enfin pouvoir effectuer de véritables missions. C'en était bientôt fini d'aider les mamies du quartier, tu allais enfin mettre ton entraînement en pratique ! Du moins c'est ce que tu pensais. Pas grand chose n'était indiqué sur ce papier, si ce n'est les formalités habituelle ainsi qu'un lieu et un nom " Hiruzen ". Ce nom te semblait familier, mais sur le moment tu ne cherchas pas à réfléchir et tu fonças aussitôt te préparer.
Une vingtaine de minutes plus tard te voilà prête, toute propre et toute pimpante pour ce grand jour. Tu descends rapidement t'empiffrer de ton petit déjeuner. Puis désormais tu dois attendre que l'heure arrive... Les minutes se font longues, tu tournes en rond partout dans la maison, parfois tu te poses sur le canapé, d'autre fois tu fais des tours de salon – qui ont la fâcheuse tendance d'agacer ta mère -.





Aussitôt ta phrase finie tu te rues vers la porte d'entrée, attrapant ton sabre au passage sans même attendre ne serait-ce qu'une réponse de ta mère.
Elle t'a regardé partir en ricanant, tu ne savais pas à quoi t'attendre mais elle le savait très bien.



Itu avais pensé à une boutique non loin chez toi, tu t'empresses d'y aller en courant à travers les rues, renversant presque les gens sur ton passage.



Leur disais-tu en leur faisant un signe de la main pour t'excuser. Il n'y avait pas de temps à perdre, tu avais rendez-vous d'ici une heure, impossible pour toi d'être en retard, tu ne saurais te permettre un tel comportement !
Te voilà finalement dans une boutique que tu connaissais bien, tu t'y rendais souvent pour offrir des cadeaux à tes proches, là en l'occurence il s'agissait de ton futur sensei, il te fallait un cadeau approprié. C'était compliqué de trouver quelque chose de convenable lorsque tu ne connaissais pas la personne. Puis le vendeur vint à ta rencontre et te proposa de l'aide.





Il part alors quelques secondes avant de revenir, une bouteille d'alcool à la main.



Encore de l'alcool ? Mais qu'est-ce qu'ils avaient tous avec leur alcool ? J'allais rencontrer un professeur et à les entendre j'allais juste rendre visite à un ami...
Me voyant hésitante, le vendeur comprend tout de suite ma situation, il était plutôt perspicace cet homme.



Tu finis finalement par acquiescer, il se montrait tellement insistant que tu ne pouvais pas t'empêcher d'accepter, mais lorsqu'il t'annonça le prix... 9-0-0-0 YEN ? Tu regardais ton pauvre portefeuille, il n'était déjà pas bien plein... Mais le vendeur était loin d'en avoir terminé avec toi, il finirait par te vendre cette bouteille quoi qu'il arrive !





Tu n'avais vraiment pas à coeur de refuser une telle offre, puis que pouvais bien vouloir un marchand de toute façon ? De l'aide pour transporter des caisses, peut-être des livraisons, tu ne t'attendais pas à ce que la tâche soit compliquée. Tu remercies le vendeur puis le salut avant de repartir rapidement.
Cette fois il était temps de te rendre à l'adresse qui t'étais indiquée sur le papier. Ça n'était pas très loin de ta position, tu arriverais à l'heure cette fois !
Cette fois tu évites de courir à travers les rues, cette bouteille t'avait "coûté" une fortune, tu ne souhaitais bien évidemment pas la briser. Quelques minutes plus tard te voilà finalement arrivé, et par la même occasion tu te rends compte que Hiruzen était le voisin de Mamoru. Au même moment tu espérais que ce vieux gueulard dont il t'avait déjà parlé n'était pas celui supposé être ton sensei.
Te voilà devant sa porte, allez inspire un bon coup, tout va bien se passer. Après tout tu es déjà une très bonne kunoïchi, il n'y a aucun risque que cela se passe mal !
Tu expires avant de frapper à la porte de cette demeure. Quel genre de type allait-être ton futur sensei ? Apprécierais-t-il ta bonne bouteille de sake ? Tant de questions trottaient dans ta tête tandis que tu attendais que l'on t'ouvre la porte.

A peine sortit de ma retraite pour entrez dans une organisation que les connard des bureaux veulent que je remette les mains à la pate. Qu'elle bande d'enfoiré d'ingrat, recevoir des ordres de ces stupides gamin qui n'ont pratiquement aucune expérience militaire.. Je me levais doucement du lit regardant mes mains, je me perdais dans ma pensée en imaginant à quoi ressemblait cette gamine. Ma dernière élève Wattan je l'avais pratiquement élever, j'était fière de la Shinobi qu'elle était devenue même si je ne lui disais pas. Je ne pouvais bien-sur refuser un ordre des stupide bureaucrate, mais je leur avait tout de même demandé au minimum un élève qui serait douée. Je prenais une bouteille de saké posé sur la table de chevet, je la terminais avant de la lancer a travers les pièces et qu'elle retombe dans la poubelle. Je me levais de mon lit pour enfiler un Yukata quand j'entendais quelqu'un frapper à la porte. Bordel pourquoi il fallait venir me déranger à cette heure là.. Satanée ingrat de bureaucrate.. Je sortait de la pièce pour rejoindre la porte d'entrée et l'ouvrir me fessant apparaitre face à moi une belle jeune-fille qui avait l'air d'être stressé. Elle me paraissait familière..

Tu patientes une minute voir deux avant que ce qui s'avère être ton futur "sensei" ne daigne t'ouvrir la porte. A sa vue tu es toute suite moins jouasse, il ressemblait plus à un clodo qu'à un shinobi, très clairement. Il avait visiblement très rapidement son Yukata avant de t'ouvrir la porte, tu le remarques à l'état du vêtement... Et dès qu'il ouvre la bouche, ta pire crainte s'avère être réelle. C'était lui le voisin gueulard. Il dégage une odeur d'alcool atroce, et quand tu passes le pas de la porte sans même émettre la moindre réaction, tu étais plutôt abasourdi par son comportement... Mon dieu, où as-tu atterri ? Combien de cadavre de bouteille dépassent de cette poubelle ? Enfin, pour celles qui étaient dans la poubelle déjà... On était bien loin de ton cadre de vie habituel. Ton domicile était parfaitement propre et rangés, tes vêtements lavés et soigneusement repassés, tu faisais attention au moindre détail. Cet homme c'était visiblement tout le contraire. " C'est donc ça un homme à la maison ? " te demandas-tu. Ton père serait-il devenu comme ça avec l'âge lui aussi ? Mamoru aussi ? Tu ne voulais pas l'imaginer. De ta voix toute timide.



Lui dis-tu en lui tendant cette bouteille de Sake hors de prix que tu avais presque pris à crédit. Bon sang si tu avais su tu aurais pris une bouteille premier prix, cet homme n'a certainement plus le moindre goût à force d'ingérer de l'alcool. Tu allais vraiment apprendre avec lui ? Tu n'étais guère enchantée, ils avaient du se tromper, ça n'était pas possible autrement. Mais tu ne dis rien pour le moment, tu avais appris à ne pas te fier aux apparences alors tu jouerais le jeu pour l'instant.



Tu ne savais pas s'il allait t'apprécier, il n'avait pas l'air du genre à respecter le protocole, en témoignait sa phrase d'accueil. Mais tu restais toi même, fidèle aux valeurs que l'on t'avait inculqué. Ça n'était pas un sensei alcoolique qui allait te faire changer d'avis. Tu attendais patiemment sa réaction, le regard et une posture déterminés.

Bon point positif ! Parce que oui faut les dire aussi pour être objectif, au moins elle était polis et avait l'air d'être très aimable pour ces ainée bon cela n'était peut-être qu'une simple façon de se faire bien voir mais bon à voir plus tard. j'acceptait son présent en le prenant et je partais m'assoir dans mon vieux fauteuil. A première vu elle n'avait rien d'impressionnante et n'avait pas l'air d'être une chieuse comme Wattan. Ce qui fessait un deuxième bon point ! Elle se tenait droite et me regardait en m'annonçant qu'elle avait hâte d'apprendre à mes coté, et que son apprentissage avait été mis en pause depuis trop longtemps. Je débouchais la bouteille que la jeune-fille m'avait acheté et commençait à me verser un verre. J'enlevais par la même occasions le petit bandeau qui cachait mon œil droit lui fessant voir mon Dojutsu.



Disais-je avant de boire mon verre remplis de Saké, attendant la réaction de cette jeune-fille.

Au moins le cadeau avait eu son effet. Bon sang, si ta mère connaissait Hiruzen elle aurait pu te prévenir de ce à quoi t'entendre. Tu te retrouvais probablement en compagnie du sensei le moins orthodoxe du village. Qu'est-ce qui étais le mieux entre ça ou rien ? Tu continuais à prendre sur toi en l'écoutant parler d'une manière qui te choque quelque peu. Tant de mots si crus et familier, on était bien loin de l'image du parfait shinobi. Bref, il souhaitait s'assurer que tu n'étais pas une moins que rien, ou une "pédale" de l'administration. Bon, tu ne pouvais pas lui donner tort sur le dernier point, tu avais horreur toi même des bureaucrates, au moins cela vous faisiez un point commun. Il insista surtout sur le fait qu'il t'apprendrait à tuer et non à simplement te battre. Tu ne baisses pas le regard même si pourtant l'idée de tuer quelqu'un ne t'enjouait pas, tu n'avais jamais eu l'occasion d'en arriver là, tu ne savais même pas quelle réaction tu aurais si cela venait à se vérifier. Alors, de ta voix faisant ressentir ton calme et de confiance en toi tu lui réponds :



La mort ne t'effrayait pas plus que ça, du moment que tu accomplissais ce pour quoi tu avais été formée. Très jeune tu avais été confrontée à la réalité du monde, une seconde fois encore lors du génocide durant lequel tu t'étais trouvée lâche. Tu t'étais promis de ne plus jamais fuir. Pour cela tu avais redoublé d'efforts dans ton entraînement en solitaire, bien que tu ne maîtrisais que peu le ninjutsu en comparaison d'autres shinobis, tes compétences au corps à corps s'avéraient être un atout précieux.



Tendant ton sabre que tu tiens dans ta main droite, tu marques une légère pause tout en continuant à le regarder fixement lui et sa pupille Kitto.



Tu parlais avec une grande confiance en toi, pourtant il pourrait te faire craquer très vite s'il commençait à te travailler. Mais tu ne pensais pas que ce genre d'homme réfléchissait plus loin que le bout de son nez, alors malgré que tu sous estimais encore tes capacités, tu ne laissais rien paraître. Tu restais stoïque, ne laissant paraître aucune trace de faiblesse dans ton regard ou ta voix.

Que de mot sage et appréciable qui s'échappait de sa bouche, dommage que ces paroles n'en reflétait des acte passé. Il était beaucoup plus facile pour eux de dire ce genre de choses en étant jeune, malheureusement le moment même ou il devront faire cela tout sera diffèrent. Prendre une vie c'est déchirer son âme et le regret ensuite s'installe en soie même. Bien-sur cela me fessait plaisir d'entendre de telle parole, au moins le clan Kitto n'avais pas que des lâches.



Les actes était tout aussi important que les paroles, beaucoup de shinobis qui c'était plongée au sein de ces paroles avait vu leur acte qu'il avait prédit se retourner contre eux. La était le problème de ces satané jeune ingrat dans ce village de plouc, il avait beaucoup trop confiance en leur capacité et au final finissait par mourir comme des mongoles. Je continuais d'écouter les parole de cette jeune-fille et mon attention complète fut braqué sur elle à son annonce, elle souhaitait devenir la meilleure épéiste de notre clan ? Elle souhaitait devenir l'exemple pour les Kitto, voila quelque chose d'intéressant et qui serait amusant.

Tsss, on pouvait au moins lui donner le mérite d'être clair. Pour être honnête tu appréciais grandement cela. Même si son langage pouvait paraître abusif et inhabituel pour toi, il faut bien avouer que c'est une manière de fonctionner qui marche très bien sur ta personne, de la même manière que Wattan tiens. Loin des discours remplis de blabla habituel non c'était concis, tu savais pourquoi tu étais là et ce qu'il te destinerait à devenir. Alors lorsqu'il parle de rendre fière ta famille il ne fait que marquer des points. Tu poses ton poing droit sur ton cœur et tu te tiens droit comme un I.



Une véritable petite soldate prête à l'emploi. Enfin il n'avait pas encore eu à faire face à ses futurs complaintes, il suffisait que tu te sentes assez à l'aise pour exprimer le fond de ta pensée. Mais il n'était pas encore l'heure de prendre de tels aises, tu souhaitais voir ce que cet entraînement donnerait avant de critiquer quoi que ce soit. Après tout il était un shinobi reconnu non ? Puis soudainement, suite à tes mots il se met à te parler de l'Hokage, qui était elle une épéiste reconnue par ses pairs. Il ne pouvait pas y avoir meilleur exemple pour toi.



Ta confiance en toi hein ? Tu avais intérêt à faire abstraction de tes faiblesses sans quoi il te laisserait probablement sur le bas côté. Mais tes capacités physiques étaient admirables, tu n'avais aucune raison de t'en faire pas vrai ? Puis, une question attisa ta curiosité, tu jugeas que tu étais autorisée à en poser.



La question pouvait paraître anodine, pourtant cela faisait bien longtemps que tu n'avais pas eu le droit à une équipe complète, mener de réelles mission... Pourtant était-ce bien sage de confier des missions importantes à ce genre de personnage ? Hmm cela se vérifierait sans doute avec le temps.

Je ne pouvais m'empêcher d'éclater de rire face à ces paroles, ce n'était pas de la moquerie mais plus un rire de joie. Une joie de voir que cette nouvelle génération était prête à tout pour leur objectif, bien-sur à eux de faire leur preuves.



Était-ce malheureux d'avoir raison à ce sujet ? Oh bien-sur que oui, nombre de personne c'était autrefois battu des année et tuer des millier de personne pour le compte de ce "village" malheureusement la reconnaissance n'a que rarement existé en démocratie. En plus de cela elle tout comme moi était une Kitto, les trois quart des membres était des sale lâches qui ne pense qu'a 'enfuir. Et voila qu'elle commençait à parler de notre jeune Hokage, ainsi donc elle n'admirait personne de plus qu'elle ? Elle ne devait pas être le seul dans ce cas je suppose, après tout la nouvelle Hokage était une jeune femme impressionnante et doué d'une grande beauté. Un combo ma foie qui fonctionnait assez bien pour la populace de Konoha et pour la nouvelle génération. Enfin elle me confirmait être une personne loyale et dévouée, me le prouver assez vite sera extrêmement compliqué mais bon..



Oui je m'énerve et alors ? Je suis assez vieux maintenant pour enmmerder le monde. Alors que je me versais un saké face à la jeune-femme elle me demanda si j'avais d'autres élèves, bon il était coutume de se rencontrer tous en même temps mais bon la coutume personne ne la respecte alors bon.

Tu restes calme et stoïque face à cet homme qui éclate de rire. Se moquait-il de toi où était-ce un genre de rire satisfait ? Peu importe, tu prenais sur toi pour le moment, tu te contentais de l'écouter. Non, tu ne prononçais pas ces mots à la légère, ils avaient une réel importance pour toi, qu'importait si le village t'était reconnaissant ou non, tu espérais au moins être un exemple pour les autres Kitto.



Toi une traître ? Parmi toutes les choses qui pouvaient arriver, celle-ci serait bien la dernière. Tu ne faisais pas preuve d'assez de réflexion vis à vis des dirigeants pour te permettre de questionner leurs choix. Tu te contentais d'obéir aux ordres. Certains appréciait ta manière d'accepter les choses sans poser de questions, d'autres en revanche pouvaient trouver que tu n'étais qu'une Kunoïchi soumise aux désirs de son village et rien d'autre. Mais peu importait, ton honneur et ton devoir passaient par dessus tout. C'est pour la même raison que tu ne faisais aucune remarque quant au mode de vie de cet homme. A y repenser ce n'est pas la première fois que tu entendais parler de lui. Tu n'avais pas prêté attention à son nom ni aux dires à son sujet, mais il était plus connu pour sa capacité à ingurgiter de l'alcool que pour d'autres raison. Néanmoins il semblait avoir un avis bien défini sur vos dirigeants et leur politique. Tu ne préféras pas entrer plus en détail dans le sujet, tu te contentais de garder ton calme et ton sérieux comme depuis le début de la conversation. L'observant toujours dans les yeux, tu lui réponds d'une voix plutôt froide.



Lâche, tu l'avais pourtant été il y a quelques années. Lors de l'évènement Gekido, tandis que tout le monde semblait se battre tu n'avais pas su quoi faire. Au final tu as juste fuie. Cela restait "excusable" du à ton jeune âge, mais pour toi c'était quelque chose qui ne devait jamais se reproduire. Néanmoins tu gardais cette histoire pour toi en général, tu ne laissais que rarement paraître la Kyoko sensible, non tu préférais renvoyer ton image de fière soldate prête à tout pour son pays.
L'homme se versa un verre de sake tandis que tu lui demandais s'il avait d'autres élèves. Il t'annonça alors en avoir deux. Soudainement un souvenir précis te revient, comment n'avais tu pas fais le lien plus tôt ? Un sensei particulièrement penché sur l'alcool... Son élève ne pouvait être autre que... Wattan. A bien y réfléchir elle t'en avait même parlé très récemment, il t'en avait fallut du temps pour faire le lien. Tu devrais décidément faire plus attention aux choses que tu entends. Peu importe, au moins tu ne serais pas perdue au milieu d'inconnus complet.



Lui dis-tu en t'inclinant légèrement avec une main sur la poitrine. Tu te redresses alors et continues de le regarder dans les yeux, tu ne voulais laisser paraître aucun signe de faiblesse, cet homme était en parti responsable de ton avenir. Le mieux à faire pour toi était de montrer le meilleur de tes capacités et de tes qualités et cela commençait dès maintenant. Ne voulant pas lui faire perdre plus de temps que necessaire tu tentes de t'informer de la suite des évènements.