Le domaine de la lignée du Purgatoire.

L'après-midi était fraiche ce jour-là, je marchais dans les rue clanique réservé au clan Uzumaki. Beaucoup de monde ma foie s'y trouvait, les enfants s'amusait a ce lancer des boule de neige tandis que les parents eux était aspirée dans leur conversation. Tout cela était pour moi que des choses purement banal mais m'intéressait assez peu, ma vie se définissait à ma famille et à mes fonctions de prêtresse. Et en cela malgré mon âge tout le monde me saluait lorsque que je portait ma tenue officielle. Le Clan Uzumaki comptait le plus grand nombre de fidèle, ma fierté étant moi-même d'en faire partie et de leur apporter les paroles sacrée. Mon cousin et ma mère m'avait fait étudiez la langue ancestrale de notre clan ainsi que celle d'autres clan du Yuukan, je me devais après-tout un jour d'apporter la parole divine de la flamme avec moi. J'avais bientôt terminer de traverser ce couloir de maison, arrivée au fond de l'allée j'arrivais face à la plus impressionnante de la rue. Un mélange de nature et d'architecture humaine dans son ensemble, je me permettait d'ouvrir la porte extérieure pour me faufiler dans la propriété.

Je montait les escaliers avant d'entrez sans frapper, bah quoi ? C'était mon cousin et il ne se gênait pas non plus quand c'était chez moi. Je fermais la porte derrière moi et avançait un peu dans le salon, personne ne s'y trouvait.



Aucune réponse venant de sa part ? Il devait être surement dans son jardin, son jardin était mon lieu préféré dans cette maison. J'aimais plus que tout ce mélange magnifique de nature et de musique qui s'en dégageait. Je me dirigeais alors en direction du jardin ouvrant la porte extérieure et partant en direction de la serre. Aucune musique ne se dégageait de la serre, peut être n'avait t'il mis aucune musique ce qui était plutôt inhabituelles mais bon.. Soit il n'était pas la du tout ou alors il méditait en silence. Je m'enfonçais dans la serre jusqu'en son centre ou se trouvait le plus beau jardin que je n'avais jamais vu, Ce qui était agréable était le fait que la serre était chauffée ce qui permettait de pouvoir s'habiller léger a l'intérieur et aussi de ne pas se les cailler lorsque que l'on voulait être tranquille. Arrivée en son centre face a la petite maison de style ancienne je remarquais que j'était alors bel et bien seule, Universa ne devait être la ce qui était ma foie dommage.. Enfin je continuais quand même de marcher face au feux qui se trouvait au centre de la serre ou de nombreuses écriture y était écrite. Toute notre lignée vivait sous des traditions et des convictions religieuses existant depuis des temps immémoriaux. Je m'asseyais en tailleur sur l'herbe sèche autour du feu et jetait quelque bout de bois pour y raviver la flamme, face à elle j'était comme apaisée et joyeuse.

Alors que la pauvre Abura faisait face à de nombreuses nausées et congédiée par la garde forestière à la maison, elle entendait quelqu'un entrer au rez-de-chaussée. Vaseuse, elle se demandait qui cela pouvait être en entendant une voix féminine s'élever en bas. Tiens ? Etrange, cette voix là ne me disait absolument rien. Qui cela pouvait-il bien être ? Prenant son courage à deux mains elle se levait avec une grande lenteur du lit. Cela faisait déjà deux ou trois jours que son Amour n'était pas là. Heureusement qu'Amoritia était là pour prendre soin de la femme enceinte. La pauvre enduiseuse avait à la fois chaud et froid. Maudites hormones ! Vivement que j'accouche ! Elle usait de sa main pour se tenir sa tête tant les nausées étaient horribles, elle s'en souviendrait de cette grossesse ! Elle se le promettait ! D'un pas lent et plutôt discret elle descendait les marches avec grande difficulté avant d'arriver au salon.


Elle se retournait et la percevait de très loin se promenant en direction du jardin. Soupirante, l'Abura se dirigeait d'abord au frigo pour y attraper les fraises mettant du sucre... beaucoup trop de sucre avec ! Elle emmenait le bol et se mettait en route vers le jardin zen de son tendre. Elle se demandait quelle heure il était et voyait sur le cadran [16:34]... Oh bordel ! Elle dormait autant de temps depuis tout à l'heure ?! Elle qui prévoyait de faire autre chose que d'être en position latéral de sécurité. En quelques minutes elle rejoignait alors la drôle de jeune fille. Cette magnifique chevelure ne lui disait absolument rien et lorsqu'elle entrait à son tour au jardin, elle ne la voyait pas à l'entrée. Elle la cherchait de-ci de-là avant de tomber dessus la voyant se détendre assise en tailleur près du feu que la grincheuse allumait préalablement. Elle coupait alors ce silence et ce moment de détente.


Ouais... Fallait dire qu'elle était d'humeur à mordre et pas qu'un peu. Alors qu'elle tentait de rester un debout, l'une des petites surprises par sa grande gueule donnait des coups de pieds dans le ventre. La femme tentant de rassurer sa progéniture caressait son gros bidou, l'air épuisé.

Je récitait cette prière face au flammes qui se dégageait face à moi, dans sa chaleur mon corp en était apaisée, dans ces formes je voyais la puissance destructrice qu'elle apporte dans les ténèbres. Mais voila que mes pensée furent embrouillée à l'entente d'un cris, je me retournais un peu pour voir de qui elle émanait. Je fut assez surpris de voir une jeune-femme à la place ou devait se trouver mon cousin, elle était douée d'une grande beauté et avait l'air particulièrement autoritaire, enfin je savais qui elle était immédiatement en la voyant. Ma mère me l'avait décrite et j'était contente de pouvoir enfin rencontrez celle qui avait réussis à briser la glace dans le cœur de mon cher cousin, je regardais son ventre qui avait l'air de ressembler à une citerne et je ne put m'empêcher de rougir en voyant cela.

Un membre de sa famille, encore ?! L'Abura grimaçait craignant devoir subir les même reproche de la dernière fois, faits par cette maudite tatie. C'était quoi son nom déjà ? Aucune importance, elle ne l'aimait pas et ne se gênerait pas pour le lui faire comprendre d'avantage. La femme enceinte commençait à manger les fraises trop sucrées... avant d'ajouter.


Elle regardait la demoiselle de haut en bas avant de se rendre compte que celle-ci faisait la même taille que son mari... Bordel, mais même les meufs ont bouffé des hormones de croissances ?! L'enduiseuse affichait un air qui voulait clairement dire: je te juge et alors ? Elle se disait tout de même que la jeune au cheveux roses ne devait pas être là par hasard. Damn... Ces putain de nausées qu'est-ce qu'elle sont casse-couille ! La femme se tenait encore la tête, la goutte de sueur coulant le long de son front.




Elle restait debout et se refusait de s'assoir de son caractère cochon. Tout ça pour montrer son mauvais caractère à la jeune qui lui semblait pas si jeune que ça.

C'était donc sa tomber enceintes ? Avoir un gros bide, les hormones en vrac et faire que manger et se plaindre ? Je remerciais les Dieux d'être devenue prêtresse alors, enfin je pensais sa mais je ne pouvais qu'être captivé de voir le miracle de la vie face à moi. Il ce dégageait de cette femme enceinte une certaine beauté, la beauté d'une future maman qui s'occupe de ces filles avec amour et tendresse. Je ne pouvais m'empêcher de sourire face à elle en la regardant, cette femme portait en elle mes deux petite cousine et j'avais hâte qu'elle naisse l'une comme l'autre. Je voyais qu'elle était de mauvaise humeur et que ma présence n'avait pas l'air appréciable vu le ton qu'elle utilisait.



Je souhaitait bien m'entendre avec cette jeune-femme, nous allions nous voir assez souvent car je souhaitait pouvoir m'occuper de mes cousines moi aussi. J'avais laissé échappée cette phrase sans faire exprès, Universa nous avait si souvent parlé d'elle, il n'était pas compliqué de voir à qu'elle point il était amoureux de cette femme. D'habitude je ne savais lire en lui enfin disons que même aujourd'hui ces le cas, mais des que quelqu'un formule Yuko il ne peut s'empêcher de sourire et avoir l'air d'être heureux. Mais je revenais sur terre assez rapidement car la jeune-femme m'annonçait que Universa n'était présent et qu'elle ne savait ce qu'il fessait et que son boulot était chiant. Je la comprenais assez bien d'une certaine manière, je suppose qu'elle préférait savoir avec elle à lui faire des massages et qu'il s'occupe d'elle.

Si sa mère était la femme à laquelle pensait Yuko, alors elle n'en avait que faire. Cette femme ne passait pas, et avait fait preuve d'un trop grand racisme envers l'Abura. Elle était toujours d'avis de lui interdire de voir les futures jumelles et ça peut importe les arguments donnés par son tendre ou le reste de la famille. Et s'il elle apprenait qu'elle les voyait en cachette quand elle n'était pas à la maison... Sa colère serait terrible ! Rien que d'y penser une nouvelle vague de nausées faisaient surface, mais elle écoutait tout de même ce que disait la jeune donzelle.


Elle marchait d'un pas pressé pour aller près des w.c les plus proches. Bordel ! Par pitié ! Faites que ces hormones cesses ! Déjà un môme c'était un cataclysme alors les deux en même temps c'était l'hécatombe ! La pauvre maman ne vous le racontait même pas ! Une fois arrivée au lieu dit, elle fermait la porte à clé pour... C'est fermé, personne ne le sait. Avant d'ouvrir à nouveau la porte comme si de rien n'était.


Elle parlait d'une drôle de manière tout de même juste avant. La flamme ceci, la flamme cela... C'était quoi cette famille de dingues ? La femme n'était clairement pas d'humeur à jouer la gentille baby-sitter dans son état, malgré que la pauvre Hakai tentait la sympathie.

Incroyable.. Alors que je donnais une anecdote plutôt sympa et que je souhaitait en savoir plus sur elle, elle m'envoyait chiez et partait au chiotte.. J'avais entendu parlez de leur manière très incivilisé et assez énervante, elle et mon cher cousin allait parfaitement bien ensemble deux personnes qui en avait rien à foutre que cela soit dans leur privée ou en société. Voila que c'était notre première et véritable rencontre et elle n'en avait pratiquement rien à foutre.. Je trouvais cela fort dommage et d'un coté je comprenais cela assez bien, mère l'avait testé et cela ne lui avait pas plus et les personnes avec de tel fierté était généralement assez chiante à raisonnée. Voila que quelques minutes plus tard elle revenait comme si de rien n'était.. Désespérant c'était un bon mot pour décrire cette situation vraiment gênante. Son franc parlé était quelque chose que j'appréciait mais a deux trois choses prête.



Oh oui cela serait une bonne chose, parce que la j'ai l'impression d'être une simple gamine à ces yeux..

Yuko haussait le sourcil en entendant que la jeune demoiselle voulait lui expliquer ce qu'était cette drôle de famille. C'était le mot expliquer qui ne la rassurait absolument pas.




Elle prenait son bol de fraises avant d'en manger quelques unes. TROP DE SUCRE !!! Manquant de s'étouffer elle faisait signe à Hakai de la suivre.


Elle marchait dans le couloir, silencieusement arrivant jusqu'à la pièce principale. L'Abura indiquait le grand canapé pour proposer à la jolie jeune fille de s'installer.

Après la proposition de la boisson la jeune Hakai demandait ce que l'Abura avait en stock. L'enduiseuse proposait alors du thé Mochi à la jeune demoiselle. Elle se hâtait à le cuisine pour y faire bouillir de l'eau et y mettre les feuilles prenant quelques gourmandises au passage. Mais l'odeur immonde soulevait le coeur de la pauvre femme enceinte qui n'en pouvait plus et partait une nouvelle fois en direction des w.c.
Quelques minutes plus tard, après avoir vomit ses tripes pour la troisième fois aujourd'hui, elle voyait la petite Uzumaki son thé à la main. Bon si elle faisait comme si elle était chez elle, elle ne verrait pas d'inconvénient à ce que l'huile de friture retourne se coucher. Elle n'était pas en état de discuter plus longtemps et se permettait d'informer la jeune donzelle.


Cela sonnait-il comme un reproche ? Probablement, mais pas envers l'enfant... Drôle de famille pensait Yuko et à son avis elle n'était pas au bout ce ses surprises... Pour l'heure, elle montait s'allonger sur son lit mettant les coussins pour s'installer convenablement.