La chasse

Je vivais maintenant depuis longtemps dans ce coin du monde, j'étais devenu chasseuse professionnel, et je fournissait le village en nourriture tout en gagnant de quoi survivre au passage, je n'étais pas intéressé par l'argent donc les villageois me payait souvent en vêtement ou en repas chauds et cela me convenait parfaitement. Pendant des moi j'avais été en couplé avec ce marchant qui m'avais sauvé, mais cela n'avait était qu'un amourette de passage qui avait été déclencher par le fait qu'il m'ait sauvé la vie... Maintenant j'étais seule et plus personne n'était là pour me supporter, et me soulager d'un point de vue intime...

J'étais dehors, les pieds dans la neige je fixait sans discontinuer un renne qui allait à lui tout seul nourrir une bonne partie de Aisu, je ne vivais pas en ville, sinon j'aurais remarqué ce vieux qui semblait contrôler les civils avec un sceau, bref ceci est une autre histoire que je vous invite à lire également.

Une grand patience et tout à coup feu ! Les armes de jets étaient lancé et venaient rapidement s'abattre sur la pauvre bête qui tombait au sol laissant une traînait rouge dans la neige, rapidement j'allais la ramasser et la traîner avec mal jusqu'à ma cabane de fortune.



Oui j'offrais un service all inclusive ne laissant pas juste la carcasse de l'animal devant Aisu, ce qui faisait que j'étais devenu la chasseuse que tout le monde contactait.

Le couteau passé sous la peau offrant une sensation étrangement satisfaisante alors que la peau de la pauvre bête se détachait de la chair, je n'étais pas du genre à me réjouir de la souffrance ou à ressentir le besoin de tuer, mais ceci était vraiment là preuve que kmnous n'étions simplement qu'une bande de prédateur assoiffé de sang. Je retirais la peau de la pauvre bête proprement, et j'en ferais du cuir un peu plus tard que je vendrais également au village.

Mon couteau coupait la viande repérant les meilleurs morceaux, vidant les tripes dans un sceau à côté et récupérant les organes comestible avant de tailler les morceaux les plus appétissant, j'en ferrais ensuite de la venaison séché pour la conserver et la vendre... Peut être garderais je un morceau pour moi.

Quand je vivais à Konoha je chassait déjà beaucoup fans la forêt et je ne pensais pas que ce talent serait que chose qui me servirait autant, ni que je finirais pas vivre à Aisu l'après avoir était laissé pour morte par la prêtresse et les miens.

Je ressentais beaucoup de haine à propos de la prêtresse et des autres Kitto, nous étions sensé être légion, ne former qu'un, et voilà ce qui était arrivé... Je me sentais trahi et en colère et tout cela se respectais sur ses pauvres bêtes.

J'avais terminé de m'en occuper tout ce qui était à récupérer l'avait été, maintenant j'allais passer à la conservation de la viande alors que mes mains, mon visage et mes vêtements étaient recouverts du sang de la bête.

La partie la plus désagréable du travail venait de s'achever maintenant je n'avais plus qu'à conserver la viande, j'avais pour cela beaucoup de sel que je mettais au fond d'un recipiant, je positionnais la viande par dessus et recouvrait à nouveau de sel, ça plus le froid était suffisant pour garder la viande consommable jusqu'à ce que je me rende au village pour la vendre et avoir de quoi survivre tout le reste de l'hiver.

Quand j'étais à Konoha je n'étais pas quelqu'un d'important, je n'étais qu'une chunin de seconde zone, en plus j'étais passé pour morte durant la guerre, il n'y avait que très très peu de risque qu'une bande de chasseur de prime soit à ma recherche, ni même que j'ai une prime sur ma tête. Seul défaut à cette nouvelle vie, c'était d'un ennuis sans nom pour la guerrière pacifique certe, mais guerrière quand même que j'étais.



Jallumais alors un feu de cheminée dans ma cabane et me servait un verre d'eau de vie pour me rechauffer le corps c'était une mauvaise habitude que j'étais en train de prendre, pri.cipalement à cause de la solitude et de l'ennui d'avoir une vie de chasseuse dans les montagne neigeuse de Aisu.

L'eau de vie, une mauvaise habitude que j'avais prise dans les montagnes, et il fallait le dire mon corps ne s'était pas encore accoutumé à cela, j'avais sombré sans trop m'en rendre compte dans mon fauteuil et je mettais réveillé avec un pivert dans le crâne me donnant des coups d'une violence inouïe, mais je n'avais pas le temps de m'en plaindre, je devais allez vendre de la viande que j'avais mis à sécher il y a maintenant quelques semaines.

Je chargeais ma charette et hatelais mes chevaux afin de me rendre à la ville de Aisu, j'avais mon petit chemin habituelle, la boucherie, puis l'auberge pour terminer par ouvrir aux habitants à prix réduit pendant quelques heures.



Jamais de ma vie je n'aurais pensais avoir à faire cela, j'étais une guerrière... Mais étrangement j'appréciais cela, je ne voulais pas le faire toute ma vie, et je savais que des que l'aventure arriverais je partirais, mais en attendant c'était une bonne occupation.

Bien des clients était venu ce jour là et tout mon stock avait été vendu, Aisu était connu pour sa misère, et j'aurais dû me douter que montrer autant de nourriture et en vendre autant en publique allait risquer d'attirer des personne peu fréquentable et c'est ce qui se passa.

Alors que je rentrais avec ma charette vers mon cabanons, je me retrouvais prise dans une embuscade par une bande d'hommes armé d'épée de piètre qualité, il n'y avait pas d'acier convenable dans le coin, personne n'était suffisamment riche pour se les offrir.



J'avais un énorme risque de rendre ma couverture obsolète avec ce genre d'affrontement je devais faire vite pour me debarasser de ces hommes et de leurs corps. Je devais être rapide et méthodique...

Ils ne partirent pas bien au contraire, ils décidèrent de venir à la charge... je lançais alors à la vitesse de l'éclair un Kunai, et à l'aide d'un file je venais le planter et le faire ressortir de chacun des hommes, très rapidement ils étaient tous mort laissant une marre de sang très visible dans la neige blanche...



Je chargerais alors les corps dans ma charette, et j'allais m'occuper de faire disparaître les preuves une fois chez moi...

Les humains était vraiment des monstres, et peu importe l'endroit du monde où on se trouvait la règle était la même, comme j'étais une femme seule avec de l'argent je m'étais retrouvé dans un piège tendu pour me dépouiller, fort heureusement pour moi je savais me défendre, mais qu'aurait il fait à une femme sans défenses, se serait il contentait de la voler ? Ou auraient ils abusé d'elle ? Peut importe, j'avais gagnée et je devais maintenant me debarasser des preuves.

Une fois chez moi je déchargeais les corps et les mettais sur ma table pour découper les corps, j'avais un moyen simple pour me debarasser deux, j'allais les faire passer pour de la viande, cela pouvait paraître tordu, mais je n'allais pas les manger... Pas moi...

Si les habitant de cette ville avaient décidé de me tendre des pièges, d'essayer de me tuer, je les ferais se manger entre eux, mais je sélectionnerais à qui je vendrais, je n'allais pas donner de l'humain à manger au gens bienveillant, mais tout les gens étrange et malveillant allait goûter cette viande...

J'activais alors mon hachoir coup après coup pour me debarasser totalement de ces hommes.