Négociations partie 2

La décision semblait prise, Sayaka ne saurait pas de joie, de toute façon peu importe la décision finale elle aurait forcément était mauvaise. Yuko allait donc être rendu à cette femme, la belle Kirishitan espérait que la supposition de Shimazu soit vrai et qu'elle ne soit pas en danger avec eux.



La cheffe intérimaire des forestiers connaissait Yuko, elle était son équipière et plus, Sayaka était la marraine des enfants, Yuko lui avait fait promettre de s'occuper d'eux s'il lui arrivait malheur.



Ce serait sans doute plus simple à encaisser si cela lui était dit par l'un des seuls visage amical du village. Cependant Sayaka étables dono était loin de se douter que pendant ce temps Shirona avait pris sur elle d'interroger la Abura et que dans un élan causé par son racisme maladif la vie de celle ci était en péril en ce moment même mettant le plan en péril...

Le regard sûr de lui, Shimazu était plutôt sûr de son idée, mais il craignait tout de même subir un revers du bâton... Tsubasa venait de prendre un risque inconsidérable, était-ce vraiment souhaité ?

Sayaka dehors, Shimazu se mit à soupirer afin de décompresser. Toujours attablé, l'homme semblait victime de ses propres sentiments.


Il y avait plus urgent. Oui, le clan Rihatsu devenait un problème de taille et Shimazu avait peur de prendre des décisions contraires à sa promesse en tant que chef du clan Uzumaki.


Sans parler du retour de Uzumaki Kimino qui semblait un peu trop libre sans avoir à s'expliquer sur son absence.


Shimazu était inquiet. Inquiet pour Konoha, inquiet pour Tsubasa et inquiet pour l'avenir. L'homme le savait, si la Hokage n'était pas capable de relever la barre, quelqu'un d'autre allait devoir s'y coller... Si personne ne le faisait, le village allait devoir changer. Totalement changer... Voir totalement être asservi par le monde civil...

Aussitôt la Kirishitan envolée, le Uzumaki-dôno exprime ses craintes au sujet des contrats liants les marchands au village et l’impact que pourrait avoir cette attaque surprise. Il est clair que cela n’allait pas arranger les choses de devoir monter la garde encore plus assidûment. Mais l’argent vient à manquer au bout du compte.



Il écoutait avec attention et semble réfléchir. Il n’avait pas de solution miracle, seul la fin de cette tension allait donner le fin mot de l’histoire et il fallait faire en sorte de garder un maximum de contrat pour ne pas perdre plus en autonomie.


Le pacifisme n’était pas une option dans ce monde et il n’avait pas de solution concrète à proposer à son homologue Uzummaki qui avait raison de craindre pour l’avenir du village.

La sécurisation des terres, de la forêt, des alentours, des habitants... Des manières abstraites pour éviter des conflits naissants, mais pourtant indéfectibles. Les ennemis continueront de défiler et de s'en prendre au village tant que celui-ci ne pourra pas se stabiliser dans le monde Shinobi.


Shimazu ne comptait pas le dire clairement, mais l'homme espérait que la Hokage prenne position plus rapidement afin de cimenter le lien entre les factins... L'économie était importante, mais l'inaction de la Hokage était aussi dangereuse...


L'homme se leva alors et quitta la salle.