Cela faisait plusieurs années que je me suis établi ici en tant que gardien des contrées repoussée de la forêt qui se situ pourtant dans un pays de ninja. Je faisais en sorte que tout ce passe bien et je préservais un équilibre, je devais bien le nourrir mais je le faisais sans exagération et je ne tuais pas pour le plaisir. Comme à ton habitude, tu faisais une ronde tout en faisant attention car les créatures qui peuplaient la sombre forêt étaient très dangereuse et elles ne faisaient que tolérer ma présence comme je ne leur étais pas néfaste. Je devais donc faire attention à ce que je chassais et à ce que je faisais sous peine de me voir bannir ou tuer.
Pendant ma ronde, les oiseaux se mettaient à fuir tout d’un coup, et je pouvais voir une certaine agitation dans la forêt. Ce n’était pas normal et je vais à contre sens de ceux qui fuyaient tout en étant des plus discret possible. J’aboutir au bord d’une clairière, caché dans la pénombre des arbres, j’y vois une dizaine d’hommes avec plusieurs cadavres de créatures autour d’eux… bordel, des braconniers dans une région si reculée, il devait avoir un bon entraînement pour avoir survécu jusqu’ici.
Je ne fais que les observer pour le moment, je vois alors quelques hommes qui s’éloignent certainement pour définir un périmètre de sécurité. L’un d’entre eux quitte le groupe. Je me faufile pour le suivre. Il était là en train d’uriner sur le cadavre d’un jeune loup. J’arrivais par derrière, il n’a eu que le temps de sentir mon souffle dans sa nuque que je lui avais brisé. Je déplace alors le cadavre un peu plus loin et en prenant soin de le camoufler parmi les buissons.
Ça bougeait parmi les hommes et ils semblaient s’organiser pour savoir qui allait faire quoi. Je ne peux pas les laisser faire et je me dois de gagner du temps, les hauts gardiens de la forêt ne devraient pas tarder, ils vont être alarmé par le grabuge et ils feront le nettoyage. Je décide alors de bondir au milieu de la plaine en observant les hommes. Ils étaient surpris et des sourires se dessinaient sur leurs visages. Je n’avais pas peur d’eux malgré le surnombre, je me devais de leur tenir tête le plus longtemps possible mais d’un coup, je sens un objet contendant venir me percuter le crâne et je tombe au sol assommé.
Je ne sais pas depuis combien de temps j’avais été inconscient m, mais je suis dans une cage et très très bien entravé. Je les entends discuter de moi comme quoi ils pourront le vendre à très bon prix vu le spécimen que je suis…
« Ne soyez pas aussi confiant t’as de merde. »
Ils rigolaient, sans se soucier de rien, il fallait absolument que tu trouves une solution.