De longues heures s'écoulèrent, cela me parut durer une éternité, j'étais piégé mais... Non ma haine était trop grande, je ne ressentait qu'elle, et plus je la ressentait, plus elle devenait grande, je refusais de mourir avant d'avoir accompli mon destin, toutes ses années, des dizaines et des dizaines et des dizaines d'années dans la haine, dans la préparation de ma vengeance, et pour quoi ? Pour QUOI ? Mourir de la main d'un putain d'adolescent qui se trouvait être là bête de foire de mon ancien élève ? NON ! NON !!!
Je me sentais comme aspiré à l'extérieur de se contenant, comme appelé par une force encore plus grande, la mort... Ce ne serait pas pour aujourd'hui ! Pas avant de marcher sur les cendres de Konoha ! Sur les cendres de Kumo, sur les cendres de tous les Kenketsu ! Je me sentais moins bien, moins en plainitude, et puis la douleur !
J'ouvrais les yeux tout à coup, et je toussais des glaires horrible, cela dura de longues minutes, des minutes où Sugishi et Hao partirent. Je mis longtemps à réellement revenir à moi, et finalement je vis le ciel, le ciel à travers le toit de ma maison détruite par l'une des explosions de ce Miwaku. Je tournais la tête sur le côté, le corps d'Azamuku avait disparu... Mais il y avait toujours cet Abura.
Avec une immense difficultés de revenais sur mes jambes, j'étais en vie ! Je me lis à califourchon sur le Abura qui se vidait de son sang, je venais prendre le kunai que j'avais utilisé pour lui trancher la gorge, je voulais le finir, mais je le rangeais en disant.
« Tu mérite de te vider de ton sang lentement Abura... »
Puis je quittais les lieux, bien décidé à retourné à Matsumoto, et à quitter se lieu de malheur.