« Je commence à prendre l'habitude avec toi. Enfin, ça passe pour cette fois je dirais. »
Gekido regardait attentivement Taram. Elle allait devenir une femme importante dans ce village et il espérait qu'elle ne le décevrait pas. Après tout, son poste était -comme celui de Masao- un poste clé dans sa vision de Konoha. Il voyait ce poste, ou plus exactement le service lié à ce poste, comme un moyen pour les habitants de se libérer du poids qu'ils avaient en eux. Un moyen de dénoncer les abus commis par les Shinobis de Konoha et d'assurer une sécurité dans les rues de Konoha. Le Kage du Village Caché de la Feuille ne souhaitait pas que des zones de non droit soit instauré dans mon village. Et Taram allait devoir gérer cela. Avec de l'aide.
« Tu ne nous importune guère, Taram, nous en avions quasi terminé. Cependant, maintenant que vous êtes présent tout les deux, je vais pouvoir parler de votre coéquiper, Sayan. »
Tout en marquant une pause, comme pour indiquer un moment grave, Gekido regardait ses ninja. Et, après ces quelques secondes de silence, il reprit la parole sur un ton plus sombre que précédent:
« Ce dernier est venu me trouver alors que j'étais occupé des diplomates venus d'un autre pays. Et, après avoir fait honte à Konoha devant ces diplomates, il est devenu agressif. Il a agressé verablement les représentants de ce pays ainsi que certain Konohajin présent. Puis, après c'êtres auto-proclamé déserteur, il a lancé un combat à mon encontre tout en blessant un autre ninja. J'ai donc du me défendre et en terminer avec la menaces qu'il représentait. »
« Cependant, soyez rassuré, Sayan n'est pas mort. Il est blessé, certes, mais se repose à l'hôpital, avec des infirmières à son chevet. »
L'Hokage Uzumaki savait que ce combat ne serait pas sans conséquence dans la vision que ces deux ninjas auraient de lui. Il savait également que cette événement n'était pas sans rappeler les événements des vampires. Mais, cette fois, tout était différent. Acteur, contexte,
fin...
« Vous devez comprendre que, dans ces conditions, votre équipes ne peut plus exister. Et, au vu des postes que j'ai à vous offrir, il ne peut en être autrement... »