Des signes précurseurs

Malgré la présence plusieurs Konohajins et surtout, du chef du clan Uzumaki, Harumune ne se faisait pas discrète et elle parlait de temps à autre à voix haute... Depuis peu, elle sentait un étreint, comme deux mains se posant lentement, mais sûrement, sur sa gorge. Debout face à un miroir orné de nombreuses pierres précieuses, elle savait plus que n'importe qui que le gouverneur était en train de préparer un mauvais coup. Les disparitions étaient de plus en plus nombreuses et bientôt, elle ne pourrait même plus considérer son projet de devenir une puissance mondiale comme plausible... De nombreux Shinobi disparaissaient quotidiennement et il devenait impossible de gagner des revenus suffisants. Elle dégaina un cigare et continua son monologue tout en fumant.


Elle s'approcha alors de son miroir et celui-ci se fissura. C'était encore un énième signe, elle commençait à s'en habituer.

Harumune se tenait devant le miroir, le regard scrutateur, tandis que le mystérieux intrus s'avançait lentement vers elle. La capuche dissimulait son visage, mais une lueur malicieuse brillait dans ses yeux.

murmura la silhouette encapuchonnée d'une voix sifflante.

Harumune, se montrant intrépide malgré la surprise, répliqua d'un ton sec :


La silhouette retira sa capuche, révélant des cheveux ébènes et un visage déterminé. C'était une kunoichi aux yeux perçants.


Harumune fronça les sourcils, mêlant scepticisme et curiosité.


Kaida esquissa un sourire énigmatique.


Harumune, bien que méfiante, sentit une étincelle d'espoir s'allumer dans son cœur. Elle fixa Kaida avec intensité, prête à en apprendre davantage sur le mystère qui entourait la disparition de son frère et sur les enjeux qui pesaient sur son village en devenir.

Quelques jours plus tard...

Dans la pénombre étouffante des sous-sols de Koya, Rihatsu Harumune, la cheffe redoutée d'une mafia ninja, siège sur son trône d'ombre, entourée de fils d'acier semblables à des serpents prêts à mordre. La salle est empreinte d'une atmosphère oppressante, où chaque silence résonne des murmures inquiétants du clan.

Son regard perçant, dissimulé derrière le masque énigmatique d'une rare ninja, scrute Universa, le prisonnier Uzumaki, captif de son empire criminel. Les lueurs ténues de bougies révèlent des parchemins anciens ornant les murs, témoignages des secrets et des alliances passés.

Sentant les prémices de la fin planer sur son règne, Rihatsu décide de sonder l'esprit du prisonnier. Sa voix, à la fois douce et déterminée, résonne dans la pièce oppressante.

Interroge-t-elle, cherchant des réponses au-delà des barrières de la cellule et des alliances.

La tension dans la pièce est palpable, chaque mot pesant comme une lame suspendue au-dessus de l'inévitable destin qui les entoure. La psychologie complexe des deux protagonistes se mêle aux ombres dansantes, tandis que le destin tisse ses fils invisibles dans les recoins sombres de Koya. La décoloration des cheveux noirâtres du Uzumaki permettait d'entrevoir sa couleur de cheveux d'origine.

Néant, abysses, l'ombre de la méditation apaisait l'homme qui était enchaîné histoire de l'empêcher d'user de son ninjutsu, après tout comme il le disait lui même il n'avais que cela a foutre. Bon la seule chose qu'il avais demandé était des cigarettes pour passer le temps et cela avait été accepté, méditer et fumer quoi de mieux pour pas se faire chiez ? Aujourd'hui encore l'Uzumaki passait son temps à cela, il attendait patiemment le moment opportun pour qu'une faille se fasse savoir et qu'il puisse l'utiliser pour disparaître et prendre surtout des vacances bien méritées !

Mais étrangement les choses étaient différentes, l'Uzumaki entendait au loin des bruit de pas, qui augmentait encore et encore jusqu'à ce que le son se stop proche de lui, il ouvrait alors doucement les yeux et souriait a la splendide jeune femme en face de lui, ah ces femmes du désert toujours aussi sexy.. Le visage de la Rihatsu était différent de ce qu'il avait vu a travers le temps, elle paraissait pensive et cela amusait beaucoup Universa, mais la femme pris de court l'Uzumaki qui lui posait une question que Universa trouvait des plus stupide..



Il avait donné toute sa vie au village, toute a l'équilibre entre les clan et leur protection, effectivement il savais qu'il avait une femme, des enfants mais cette famille, sa famille était maintenant des enfants de la volonté du feu et cela rendait l'Uzumaki heureux. Mais la petite touche de curiosité de Universa prenait le dessus sur lui, il se demandait ce qui avait l'air de stresser autant la femme en face de lui.

Harumune continua de fixer Universa avec une intensité calculée, attendant sa réponse.


Elle marqua une pause, observant attentivement la réaction d'Universa.


Harumune poursuivit d'une voix calme mais ferme.


Elle le scruta attentivement, cherchant des réponses dans ses expressions.


Un sourire malicieux se dessina sur les lèvres de Harumune.

Au putin de merde seigneur... L'Uzumaki avait de la visite tout les 107 ans et voilà que le rare jour où il avait de la visite il fallait qu'une petite bonnasse commence a vouloir lui taper la discussion en mode cours de philosophie.. Pour la peine l'Uzumaki t'irait une grande latte sur sa cigarette, lui permettant de soupiré et a la fois d'éviter de montrer a qu'elle point il était désespéré par la connerie.



Oui effectivement ces explications était peut être enfantin, voir idiote au yeux des autres, mais chacun avait sa façon de penser après tout. Oh bordel et sa continuait, bon l'Uzumaki n'était pas énervé pour autant car il comprenait assez bien sa question, l'Uzumaki avais une vision et une compréhension bien particulière du chakra il était connue pour ces expériences et son exploitation du Chakra qui le poussait à l'extrême et qui avais bien faillit le tuer de nombreuses fois.. Même si aujourd'hui il savais comment atteindre la perfection avec son chakra, et notamment a savoir le manipuler grâce à ces connaissances au Ninjutsu et a ces dernières expériences qui lui avait permis d'atteindre un certain Sommets les questions était encore pleine dans sa tête et y répondre était encore l'un des objectifs de L'Uzumaki.



Disais-il le sourire au lèvre et fortement amusée. Car il savais très bien qu'il avait raison sur ce point. Il continuait d'écouter les paroles de la femme du désert, regardant également son jolie visage et son petit sourire, Universa attendait la fin des paroles de la jeune femme pour pouvoir lui répondre.



La femme levait un sourcil lourd de sens, elle venait sûrement de se rendre compte des paroles de l'homme mais l'Uzumaki continuait son spitch, il t'irait une nouvelle latte dans sa cigarette et reprit.



La Rihatsu continuait de la regarder d'un air bizarre et l'Uzumaki trouvait qu'il avait peut être dû faire griller son cerveau avec toute ces explications..

Harumune observa Universa avec un mélange de mépris et d'amusement alors qu'il fumait dans sa cellule. Un sourire ironique étira les coins de sa bouche lorsqu'elle remarqua qu'il semblait avoir des difficultés à bien tirer sur sa cigarette, ses mains enchaînées entravant probablement la démarche.


Elle soupira légèrement, comme si la situation la divertissait plus qu'elle ne l'irritait.


Son regard perçant rencontra celui d'Universa. Les cigares en question étaient rares et actuellement fabriqués que pour la belle et grande Harumune.


Elle se leva de son siège et s'approcha du roux décoloré. Elle prit son cigare en main et reprit alors :


Harumune connaissait Universa mieux qu'il ne le pensait, Shimazu avait souvent tendance à lui confier des choses à son propos. Il s'en inquiétait.


Elle replaça l'énorme cigare dans sa bouche si bien dessinée et par je-ne-sais-quel miracle, prononça :


Cela sonnait comme un adieu... Une mise à mort ? Qui pourrait le dire ? Elle racla sa gorge et un homme ne tarda pas à ouvrir la porte.

Il faisait chaud ce jour-là à Suna, le sable brûlant sous le soleil implacable du désert. Mugen, le samouraï itinérant, déambulait dans les ruelles étroites de la cité, observant les habitants vaquer à leurs occupations sous les draps d'ombre qui tentaient vainement de les protéger de la chaleur écrasante. Il se dirigea vers le repaire de la cheffe de la pègre, conscient que son contrat allait au-delà de la simple protection.

La cheffe de la pègre, une femme redoutable et respectée, l'accueillit dans son repaire secret. Elle lui exposa les détails du contrat, mais Mugen pouvait sentir qu'il y avait quelque chose de plus, quelque chose de caché dans les ombres du marché clandestin de Suna.

Au fil des semaines passées à accompagner la cheffe de la pègre, Mugen commença à percevoir des indices subtils, des murmures dans les coins sombres de la citadelle. Il savait qu'il devait rester discret et observer attentivement pour découvrir la véritable nature de sa mission.

Un jour, alors qu'il patrouillait dans les quartiers malfamés, il entendit des chuchotements à propos d'une affaire secrète qui impliquait des transactions mystérieuses avec des individus masqués. Mugen décida de suivre ces rumeurs, s'infiltrant dans des endroits sombres et dangereux, et découvrit une conspiration qui dépassait de loin la simple criminalité locale.

Il se rendit compte que la cheffe de la pègre était impliquée dans des manigances bien plus complexes, peut-être liées à des affaires politiques ou à des enjeux régionaux. Il ne tarda pas à devenir quelqu'un d'important, il ne connaissait pas réellement la raison de cela... Sa curiosité ou sa force ? Impossible de réellement déterminé s'il était l'espion ou l'espionné. Un bruit de gorge se fit entendre... C'était le message. Il pénétra dans la salle.


Il fit signe à l'individu de marcher. Après quelques mètres et un peu plus loin, il prit alors la parole :

Tout cela était d'une perte de temps aussi déplorable qu'une séance de politiciens ne s'entendant pas sur une loi a faire passer. L'Uzumaki écoutait attentivement chaque phrase prononcée par la femme en face de lui, comment pouvait on être si primitif ? L'amour de soi même ? Universa avait compris il y'a déjà plusieurs semaines qu'il n'en avais déjà plus du tout, comment un être humain pouvait il encore en avoir après avoir massacré et châtier son âme avec une telle violence ? Mais malgré tout cela l'Uzumaki avait réfléchis à tout ce qui se déroulait, il avait réfléchis des heures et des heures entières en méditant sur les différents objectifs de sa vie. Malheureusement si L'Uzumaki souhaitais concrétiser ces nouveaux objectifs, protéger ces convictions et tout ce qui fessait de lui un shinobi il devait atteindre une nouvelle forme.. Une forme qui anéantirai son humanité pour toujours et qui le changerais a jamais.. Mais qui lui permettrait de revenir au sein même de la lumière et de pouvoir jouer enfin sur les deux tableaux, une chose qui changerait radicalement sa façon de penser et d'être..

Mais alors que la femme finissait ces derniers mots pour Universa, il ne put s'empêcher en rigolant de lui dire cette petite phrase qui l'a ferait peut être réfléchir sur sa vie a elle..



Il éclatait alors de rire, l'Uzumaki avait t'il prévu tout cela ? Avait t'il eu vent des évènements futur nul ne le saurais du pourquoi du comment Universa avait dit cela..
Après quelques minutes alors que la Rihatsu sortait,un homme pénétrait sur les lieux invitant l'Uzumaki a le suivre. Universa avançait alors traînant ces chaînes avec lui, l ne connaissait pas le nouveau venue et se demandait si il était aussi philosophe que la miss..

Les mains dans les poches, l'homme ne semblait pas réellement considérer la dangerosité du Uzumaki l'accompagnant. Pour être honnête, Mugen n'avait pas peur des Shinobi. Il était connu comme suffisamment rapide pour contraindre sa cible avant qu'il ne puisse bouger le petit doigt. Tout en avançant et en s'enfonçant dans les méandres des sous-sols, il reprit :


Il ouvrit alors une porte métallique d'une épaisseur peu traditionnelle.


Il fit signe au Uzumaki de rentrer.


C'est durant cette nuit qu'Uzumaki Universa s'échappa et durant celle-ci qu'il s'engagea à éliminer des individus en échange d'une vie sauve.

C'était un jolie cadeau en soie, l'Uzumaki marchais au côté de l'homme qui contrairement a la miss désert avais l'air d'être plutôt cool et sympa.. Enfin lui au moins avait l'air de plutôt discuter paisiblement et de façon normale, plutôt que taper un monologue philosophique comme la miss alors que toute sa vie elle avait été criminelle sans aucune considération humaine.

Universa écoutait d'une oreille les paroles de l'homme, il souhaitait lui demander son prénom mais a quoi bon au final ? Mais tandis qu'il continuait de parler et discuter avec l'homme, les paroles de celui-ci interpellait l'Uzumaki et bah putin le karma philosophique désert c'est con..



Ils arrivèrent tout les deux a une porte immense que l'homme ouvrait laissant le passage a l'Uzumaki. Universa pénétrait au sein des lieux et avançait dans la pièce sombre ou sur une petite colonne il trouvait une enveloppe fermée.



L'Uzumaki prit alors la lettre et l'ouvrit alors délicatement pour pouvoir lire son contenue..

Les noms, tels des prophéties macabres, apparurent soudainement sur le parchemin entre les doigts d'Universa. "Rihatsu Miwa" était le premier, laissant planer un mystère sur la raison pour laquelle quelqu'un désirait sa mort. L'encre tracée sur le papier semblait être le fil conducteur d'une intrigue complexe.

Un autre nom, "Kirishitan Kalia", s'ajouta à la liste, jetant des ombres plus profondes sur les alliances fragiles de la mafia.

Enfin, comme un coup de grâce, le dernier nom apparut : "Kenketsu Hatsharu". La menace était tangible, la position précise indiquée sur le papier résonnant comme un avertissement sinistre.

Ainsi, le destin de Suna, scellé sur ce bout de papier, devenait le fil conducteur d'un conte de mafia où les noms inscrits étaient des déclarations de guerre silencieuses. Les sables du temps glissaient entre leurs doigts, annonçant un avenir incertain et dangereux pour l'Uzumaki.