L'acceptation du futur disciple!

Envoya Seishiro avec un grand sourire. Il était tombé sur quelqu'un de très gentille.



Le sourire sur les lèvres de Seishiro s'agrandit encore plus.



Dit Seishiro toujours avec son grand sourire.

        Je réfléchissais une seconde à ce que j'allais dire et puis me lançais finalement :



        Je le laissais réfléchir une seconde à peine avant de l'emmener où je voulais en venir :

Taram répliqua ensuite un long monologue et Seishiro lui répondit.



Seishiro finit son bol de nouille.



Dit Seishiro en se frottant l'arrière de la tête.

        Je répondais ensuite à sa question :



        Je venais de finir mon bol de nouilles.

Les deux shinobi avaient fini leur bol de nouille.

        Je souriais devant les éloges un tant soit peu excessives de mon élève. Evidemment qu'il y avait meilleurs épéiste que moi, mais je ne pouvais m'empêcher de trouver ses remarques mignonnes et touchantes. Plus tard, il se rendrait compte que je n'étais pas si forte que moi. Je voyais déjà en lui un grand guerrier et je savais qu'un jour arriverait où ce jeune homme me mettrait une raclée sans aucune difficulté. J'avais vraiment une bonne impression de Seishiro, c'était selon moi quelqu'un de bienveillant. J'étais très fière qu'il soit mon disciple.



        Je marquais une pause et reprenais :

Taram souriait tout comme Seishiro. Le Chikara était content d'avoir un maître comme Taram, un maître puissant et attentionné!



Seishiro se tut un instant.

        Je marquais un petit silence et finis par dire de manière assez solennelle :



        Je souriais :

Il y eut un petit blanc avant que la discussion reprenne.



Taram sourit alors à Seishiro.



Seishiro était convaincu que cela n'arriverait pas, mais bon, dans la vie il y a parfois des surprises qui vous étonne et que vous préféreriez ne pas avoir.



Seishiro se tut un instant.

        J'hésitais un peu à aborder un autre sujet un peu plus réaliste, mais il était peut-être un peu tôt pour parler de choses sérieuses avec mon disciple. Je décidais donc de rester dans le vague et d'ouvrir la discussion sur son propre rêve :

Dit Seishiro avec son actuel grand sourire. Taram demanda ensuite à Seishiro si lui même avait un rêve.



Seishiro se tut un instant. Il se rappela de la haine que ses parents vouaient aux Uzumaki, haine réciproque. Le Chikara n'avait jamais porté cette haine en lui, il trouvait les querelles entre Chikara et Uzumaki débiles.



Seishiro, encore un fois, se tut un instant avant de reprendre.

        J'ignorais presque son rêve, décrétant sans grande conviction :



        Je changeais rapidement de sujet en lui proposant de me suivre :



        Je réglais l'addition et prenais la direction des portes du village. Arrivés au poste de police, je l'invitais à entrer dans mon bureau puis je refermais la porte derrière nous afin de conserver un peu d'intimité vis-à-vis de mes collègues. C'était bien l'un des avantages du rôle de chef. Ici, il serait plus simple d'aborder des sujets « sensibles ».



        Je marquais un silence, et lui signifiais que j'étais totalement ouverte à ses idées malgré le froid que j'avais pu lui jetter au restaurant.



        Je lui adressais un sourire amical.