Un village en ruine... [RPFB - 1 an]

Je traversais la porte du village déchu et m’écroulai lamentablement. Je me relevai non sans mal, mais réussit à atteindre une maison en ruine avant de m'écrouler de nouveau. Je me sentais faiblir et j'avais surtout peur de périr. Je le savais. Je n'aurai jamais du quitter le village de Konoha. Ma vie était à présent en danger.

Je parcourrais le pays depuis maintenant une semaine. J'avais décidé de quitter konoha sur un coup de tête, car j'avais croisé un ninja avec lequel j'étais fortement lié, Qazea. Je ne pouvais pas vivre dans le même village que lui. Ma conscience me rongerait, et il aurai finit par me tuer.

Depuis lors, j'avais choisis ma destination : Le village en ruine de Iwa. Vieux village ninja à présent détruit et sans présence, il était tout ce qu'un nunekenin voulait : une cachette avec des vivres, ou personne de réside.

Mais j'étais épuisé. Le voyage avait été long et je me suis fait attaqué par de féroces animaux. Ma tête n'était apparemment pas encore dans le bingo book, pour mon plus grand bohneur. Quelle idée de partir sans aucune connaissance en combat et sans techniques connues ! Je sentis mes dernières forces s'évanouir, puis je tombis dans l'inconscience.

Heiiinnn !?? Enfoiré, c'est mon jour de repos ! Bref, pas le choix. Je dois rembourser cette "réparation". Mon bras récupère mais, je suis toujours incapable de l'utiliser mais, les antibiotiques et les calmants font que la douleur semble bien moins grande.



Ainsi, en traînant les pieds, la femme prit la direction du nord du village. Cette partie est peu habitée comme une majorité de ces ruines. Quelques minutes après, l'homme fut enfin devant moi... Enfin, c'est plutôt un gosse ce type. Tout en souriant, je pris connaissance :



Mon bras gauche était effectivement sous les diverses couches de bandage. Ce Uzumaki doit bien cherche quelque chose, de l'aide peut-être. Malgré tout, je le garde à l'oeil, je ne veux plus faire confiance.

Je me réveillais difficilement de ma petite inconscience. Mes armes ninjas étaient toujours là, et visiblement, on ne l'avais pas fouillé. Je me relevais avec joie. Puis je remarquai enfin qu'une jeune femme était devant moi. Enfin, jeune... Toujours plus vielle que moi ! Elle devait avoir entre vingts et trente ans. Elle se présenta et me demanda ce que je faisais ici, puis me demanda d'aller prévenir le kage qu'elle ne pourrait pas revenir rapidement.

Je m'approcha afin de poser mon index sur le nez du petit homme.



Franchement, j'vais devoir m'occuper de ce gosse. Il semble pas dangereux, un peu niai mais, pas dangereux. Evidemment, j'aurais pu l'tuer comme un charognard. Mais, j'suis certaine que sa raison est bonne. Il veut sûrement bien faire... J'le regarde pour reprendre :



Je fis un clin d’œil. Prendre au sérieux un homme de cet âge avec une motivation quelque peu ridicule n'est pas simple... Mais bon, il reste troppp cutttteee !!! Les Hokage seront sûrement cléments malgré la bêtise de son acte.. Il a de la chance d'être encore en vie...

La jeune femme vint prêt de moi et posa son index sur mon nez. Je ne pus m'empêcher de rougir. Malgré mon jeune âge, je ne pouvais m'empêcher de la trouver magnifique. Elle m'expliqua qu'elle était ma supérieure et qu'on retournerait ensemble à Konoha pour nous expliquer. Je ne pus m'empêcher de rire. J'allais jouez de mes charmes de gosses. Je regardais la jeune femme d'un air mignon.



Elle me demanda pourquoi mon copain voulait me tuer. Je rigolais une nouvelle fois.



Et voilà, la bombe était lancé. J'étais sûr que Qazea me tuerait si je revenais. Et cette femme ne pouvait pas lutter contre la folie de la vengeance.

Bien qu'intéressant, cette discussion frôlait le ridicule. J'n'en revenais pas, ce type avait pu déserter le village pour une raison aussi stupide et survivre aussi longtemps ? Chance du débutant. J'l'observe avec un air maternel. Malgré tout, j'peux pas trop lui en vouloir quoi... À son âge, les bêtises sont anodines.



Malgré tout, il était incroyable de voir que ce gosse n'accusait pas son père. J'pouvais pas le laisser seul. Franchement, il allait se faire bouffer en quelques jours... Les criminels sont partout!



Je souriais avec idiotie. J'l'aimais bien ce p'tit. J'ai toujours aimé être avec les gosses mais voilà, je suis une ninja, ma destinée est de me battre et non de m'occuper des enfants.

La belle femme de demanda si mon papa était en prison, puis se présenta en me disant qu'elle était enchanté.



Elle se remit à beaucoup parler beaucoup. Elle me promit de m'entraîner, d'en parler aux kage. Elle me dit également que je pouvais venir chez elle sije n'étais pas rassuré. Je la remercia de vive voix.



Je lui lançais un nouveau sourire mignon. Mais cette fois-ci, ce ne fut pas exprès. J'étais vraiment heureux.

Après ce petit discours, je pointa du doigt (du bras droit) le chemin se trouvant à ma droite. Par là, la plupart des Iwajins se cachaient. Ils ne sont pas trouillards, juste méfiants. Ils ne savent pas se battre et l'armée de la terre n'a jamais pu exister. Bien que désireuse de lever mon bras gauche, ceci fut impossible.



Par chance, sa jeunesse l'empêchait sûrement de développer les hormones dégueulasses des gros pervers. Pour tout dire, j'attendais ma rencontre avec son ami un peu débile sur les bords, il m'semble bien plus enfantin que ce p'tit.

La belle jeune femme parlait décidément beaucoup.Elle m'expliqua qu'elle c'était fait mal au bras en affrontant un autre homme. Elle me montra un chemin, me disant qu'elle voulait prendre un kidnappeur de femme sur le coup. Je souris quand elle me demanda de lui faire la promesse de la suivre jusqu'à Konoha.



Je sais, mentir, c'était mal. Mais je n'avais pas le choix. J'avais, pour le moment, besoin d'allié pour me protéger.

Quelques minutes plus tard...








Je baissa mon bras droit et je fis une mine à faire pâlir un Uzumaki... Ah non, ils le sont déjà. Ce vieux était type était vraiment un profiteur. Le temps me laissait même penser qu'il aurait pu être un ancien ninja, ils semblent en connaître beaucoup sur la politique et il possède quelques réflexes..



Bien que douteuse, la vanne n'était pas là pour ridiculiser le jeune homme mais, pour affirmer cette différence. Deux amis doivent s'accepter, ils doivent apprendre de l'autre. Si tu veux ma confiance, il faudra que tu me montres qui tu es.
Alors, p'tit homme, es-tu aussi mignon que tu sembles l'être ?

J'avais tranquilement suivi ma jeune camarade dans le village en ruine qu'est Iwa. Je retins le trajet nécéssaire à ma survie : il suffisait d'aller tout droit et de tourner à droite. Par la suite, il suffisait d'entrer dans une nouvelle maison en ruine. Décidément, le village d'Iwa était triste et morose. Arrivé à destination, les deux êtres échangèrent quelques phrases, la jeune femme me présentant. La jeune femme me dit qu'elle allait frapper l'homme qui kidnappai des femmes, et me proposa de venir. La petite mimique ne me dérangeait pas, je trouvais au contraire que cette phrase marquait mes origines. J'en étais fier.

Ainsi, Hinae fit un signe bien rapide au vieil ami pour ensuite partir en marchant lentement. Quelques minutes plus tard, le terrible homme était en train de sévir. La femme beuglant, les autres observant.



Sortant de sa cachette (derrière un mur), elle approchait du type louche. Elle n'avait pas peur de lui. Elle craignait plus pour la vie de cette femme. Elle se mettait à déclarer :



Il se mettait à rire pour ensuite lâcher la femme. Elle repartait en courant. Suite à cela, le regard du taré sembla obnubilé par sa nouvelle victime ; Hinae. Il lançait déjà des Shurikens. Il était bien ninja.