Tenir parole

J'avait sans doute été trop impulsif et mon idée n'était pas mauvaise. je n'y avait sans doute juste pas mis assez de force. En forçant un peu plus, il aurait tout simplement perdu la prise de son arme. mais je m'était sans doute trop retenue par peur de lui faire mal. Même si c'était un entrainement, j'avait pas non plus envie de l’abîmer mon petit cousin. je le taquiner déjà bien assez. Sauf que du coup, il avait dut ce débrouiller pour ce débarrasser de sa lame et m'éviter ce qui aurait sans doute put être une vilaine blessure. La parade m'aurai été difficile et je doutait de la capacité de ma lame à encaisser le "coup spécial". Elle n'était pas aussi tranchante et résistante qu'une vrai lame après tout. Puis entre la fuite ou la lutte, je préféré la lutte. J'été bien trop téméraire et on me l'avait souvent répétait à l'académie. Ce n'était pas quelque chose qui avait changer avec les année.

Me retrouvant au-dessus de lui, j'avait envie de déclarer ma victoire quand je me rendis bien compte de ce que je venait de faire. Il semblait avoir eu la peur de sa vie là. Difficile de dire la gravité de la blessure que sa lame aurait pu provoquer, mais nul doute que j'avait un peu merde sur ce coup.



je devait bien me rendre à l'évidence que je venait de lui faire une sacré frayer vu qu'il vint carrément me prendre dans ces bras. J'en profita alors pour nous relever au passage, passant une main dans son dos et en tapotant.



Un peu c'était le cas de le dire, c'était lui le plus expérimenté et il tenter des folie lors d'un simple entrainement. Heureusement que ces ancien prof ou même sa soeur n'ai vu ça. il se serait pris un sacré sermon. Fin, sa sans doute été pire que ce que je pouvait imaginer.



Tentant un léger sourire, j'essayer de lui faire oublié ce mauvais moment. Ce n'était qu'un petit accident sans casse après tout. Je jeta un coup d’œil à son arme qu'il avait lancé plutôt loin d’ailleurs. il ne c'était pas ménager.

Au moins son cousin admettait ses torts et s'excusait. Dai ne sait pas s'il aurait supporté qu'on lui crie dessus, qu'on lui dise qu'il était le seul responsable.... Il aurait craqué, et il est vraiment reconnaissant à Seishiro de comprendre qu'il a eu très, très peur.

Motivé ? Surexcité oui ! Dangereux ! Il avait failli, il avait vraiment failli, blesser son cousin. Bon sang. En plus d'en ressentir encore l'horreur, il avait franchement honte. Il était beau le ninja, à se laisser ainsi emporter dans un simple entraînement. Le sourire de son cousin l'avait un peu réconforté. Un peu. Sans se soucier de cacher son trouble, de paraître mature - pas qu'il s'en soucie d’habitude-, Dai recommence à serrer son cousin, enfouissant son visage dans le ventre, ou torse, de Seishiro, ses réponses sont peu audibles.

Obéissant à son cousin, il sourit, un sourire bien pâle mais un sourire quand même, que Seishiro ne peut même pas voir puisque Dai n'est pas décidé à remontrer sa tête tout de suite, elle est très bien là où elle est. Il répète :

Une autre journée folle pour Ibuki. Ce matin, l‘accouchement ne s’est pas bien déroulé, difficile de garder le sourire après ça. Ibuki est restée auprès de la mère tout le temps que ses senpais s’occupaient du petit prématuré. Elles ont fini par le sauver, mais pas après des heures de soins attentifs.
Une fois la mère endormie, Ibuki sort de la chambre et pousse l’un de ces longs soupirs lourds de sens. On l’invite à se joindre pour un ramen, mais Ibuki refuse poliment.



On excuse son absence et Ibuki les remercie. Elle quitte.

Ses boîtes repas sous les bras, Ibuki traverse le village à la recherche de son frère et de son cousin. Elle arrive pile quand ils finissent leur accolade et attendrie par le geste, elle ne peut retenir ses larmes. Ce n’est pas toujours facile de garder le sourire.



Ses cris sont transformés par ses sanglots. Elle arrive au petit trot, se mouche dans sa manche et saute dans les bras de son frère.



Elle pose les boites repas à leurs pieds.



Elle gonfle le bicep, fière.


Elle pousse son monologue. La suivre dans ses propos est un entraînement en soit.

Je me sentais vraiment mal là. Ma gaffe semblait vraiment l'avoir blesser. Ne réalisant pas quelle gravité la blessure que mon impulsivité aurais provoquer, mais il était clair que mon jeune cousin se rejetait entièrement sa faute. C'était moi qui l'avait simplement trop provoqué. Et encore, ce n'était pas si grave, c'est moi qui m'étais mis délibérément en danger. Se blottissant contre moi, je ne pouvais même pas savoir s'il souriait ou pas. Il manquer plus que je l'ai fait pleurer. C'était presque le pire scénario possible. Dai se faisait du souci pour moi et ça me touché énormément. Mais je ne pouvais pas non plus lui promettre de ne jamais être blessé. La vie d'un ninja était dangereuse.



Lui caressant les cheveux, je l'écartai un peu de moi après quelque minute afin de le regarder dans les yeux cette fois.


Je souhaitais vraiment arranger la situation, n'étant pas vraiment très doué avec les mots. Espérant au moins lui redonner le sourire, un vrai. J'essayais même d'avoir l'air cool là ! Même si, de toute façon, il était plus que probable que si je n'y arriver pas, ELLE s'en chargerais. Son timing d'apparition était quasiment parfait. D'ailleurs, elle faisait quoi ici ? Voilà qu'une Ibuki en sanglots qui débarque pour me sauter dans les bras. Je n'avais pas trop le choix de la réceptionner. Dai devait être content de ne pas avoir été sa cible.


J'étais content de la voir, mais elle en faisait toujours un peu trop. Maintenant, on allait m'accuser de faire pleurer ma sœur. En plus, c'était elle l'ainé, je vous rappelle.


Pas question de reprendre tant maintenant. Il était préférable de penser à autre chose, et dans ce domaine, personne ne peut rivaliser avec notre Ibuki national. Elle ne manqua d'ailleurs pas de remarquer la mine de notre petit cousin.


Trop tard, elle était partie dans l'un de ces monologue inarrêtable. Il ne fallait pas espérer en placé une. Même si cette dernière dévoilé des choses inavouable.


Ah bas voilà, adieu l'image du cousin ninja cool que j'essayais de construire auprès de Dai. Il n'y avait qu'elle pour raconter ce genre d'anecdote horriblement gênante. J'avais une soudaine envie de partir en mission là…


J'essayais encore de la convaincre d'arrêter de me traiter comme un enfant, mais c'était un combat perdu d'avance. Récupérant les boites repas, j'en tendis une à Dai. Tu comptes te joindre à nous, j'espère ?

Petit sourire au visage lorsque son cousin lorsque son cousin l'écarte un peu et croise son regard, Dai marmonne une courte réponse.

Ibuki arrive soudainement en pleurs et saute dans les bras de son cousin, qui la réceptionne tant bien que mal. Bon et bien au moins, il n'est pas à sa place. Il hocha mollement la tête, en complet accord avec Seishiro. Il n'aurait pas eu le cœur de reprendre l'entraînement tout de suite. Sa cousine remarqua son expression, encore marquée par les minutes précédents. Elle parle d’abord de lui et de l'entraînement, puis de Seishiro et son enfance ce qui l’intéresse beaucoup, beaucoup plus. Le meilleur étant que même Seishiro ne pouvait pas l'arrêter lorsqu'elle était au beau milieu d'un de ses célèbres ( et craints ) monologues.

Détournant la tête, regardant quelque part loin de son cousin - il va franchement éclater de rire s'il voit son expression -, il étouffe un fou rire en se mordant l'intérieur de la joue. Gentil, Dai, pas ridiculiser ton cousin préféré plus que nécessaire. Bon il doit au moins rassurer sa cousine, hein ?

Il ne parle pas de la virée en catastrophe de leur entraînement. Ibuki n'a pas besoin d'être embêtée avec ça.
Tout sourire, il prend la boîte repas que Seishiro lui tend., sans promettre de ne jamais rappeler à son cousin ce qu'il vient d'entendre.....

Les bentôs se passent. Ibuki est heureuse.



Tous craignent ses monologues, mais peu savent que pour l'arrêter, il faut la gaver. De son tablier, Ibuki sort sa propre boîte repas et tombe - littéralement - en tailleur. Elle sépare les baguettes dans les mains et d'un tour du poignet le couvercle saute. Itadakimass' !



Les repas qu'elle a préparé avec amour consistent à un riz collant aux trois saveurs ainsi qu'une brochette de poisson grillé. Tout ce qu'il faut au parfait petit ninja pour requinquer son corps endolori ! Elle sort également une bouteille de thé froid.
Ibuki a la bouche pleine.



Du riz lui colle autour des lèvres. Elle déglutit, presque difficilement tant sa bouchée est grosse. Il ne lui reste déjà que la moitié de son bentô.



Se complimenter aide toujours à remonter le moral, surtout après ce matin.



Elle sort une petite bouteille sombre, dont la consistance huileuse du liquide laisse flotter des piments broyés et... l'ingrédient secret. C'est la super-sauce-piquante-d'Ibuki, une recette transmise de mère en fille depuis des générations, dont Ibuki en aie la créatrice !



Toujours assise en tailleur, elle a ralenti son rythme mais mange fascinée d'avance. Elle aime bien savoir ce que les membres de sa famille font de leurs journées, ingénument intéressée. Puis, il n'a rien de mieux que de partager un repas en famille !

Ibuki ne le saurait sans doute jamais, mais son timing quasi-parfait aller certainement permettre de passer outre la mauvaise tournure de leurs entraînement. Je me rappelais encore l'époque ou je revenais blesser de mes entraînements. Elle faisait de ces bonds…
Profitant du moment de calme imposer par le repas. C'était sans nul doute les moments de la journée en compagnie d'Ibuki. On pourrait penser que la nuit également était calme que nenni ! Ma fidéèe grande soeur /mère de substituion parlé pendant son sommeil et à une cadence aussi soutenue quand journé. Donc oui, le moment le plus silencieux d'une journée d'Ibuki était les repas. Ou si Sora était là. La petite dernière avait un don pour l'interrompre. C'était peut-être une technique secrète de fille ?


Tête en l'air comme elle, c'était un miracle qu'elle n'est rien oublié. Oups j'ai parlé trop vite. Voilà qu'elle proposé du thé sans avoir ramener de tasse. Je vous jure, parfois, je me demande comment elle gèrent ces patients. Vous l'imaginez en pleine opération? Pas moi.


J'avais bien remarquer qu'il détourner le visage lorsque ibuki avait raconter des anecdote plus que douteuse à mon sujet. Je tenais là ma vengeance. Puis un peu de rigolade ne pouvait que nous faire du bien. Profitant du bento, je ne manger pas aussi vite qu'Ibuki. Elle n'avait pas de temps à perdre et la moitié de la boite était partie aussi vite que l'éclair.

Dai plante avidement ses baguettes dans sa nourriture et commence à manger. Il n'avait pu goûter la cuisine d'Ibuki que quelque rares fois et est aussitôt rendu ravi par le goût.

Sa cousine, ses gamineries involontaires et le bon repas lui change vraiment les idées et il n'a plus du tout à se forcer pour sourire à présent.
Il s'étouffe à moitié avec sa nourriture et se tourne, l'air horrifié, vers son cousin. Traître ! Faux-jeton ! Lâche ! Sadique ! Il étaient sensés rester unis, solidaires, pas se mettre des bâtons dans les roues ! Parce que, honnêtement, il n'était vraiment pas tenté d'approcher la boisson ultra méga giga épicée. Mais alors pas du tout.
Et qu'est-ce ce qu'on fait quand on ne peut plus refuser sous peine de blesser sa cousine ? Et bah on entraîne son cousin dans nos ennuis ! C'était lui le responsable après tout.
Alors avec un grand sourire plâtré au visage, il joue le poli :


Lorsque vint la question sur l'entraînement, il essaie une réponse vague :

D'une manière bien téméraire, mais qu'importe ? Il rajoute une pique à son cousin, qui l'a bien cherché :

Le pichet au bout des bras tendue d'abord vers Dai, puis ensuite vers son frère, Ibuki ne sait pas à qui verser en premier. Elle prend finalement une bonne gorgée, avant de poser le thé froid au centre. Qu'ils se versent eux-mêmes, d'abord.



Baguettes à ses doigts, elle les fait tournoyer un moment, passive, avant d'enchaîner.



Elle mange. Goulument.



Elle mange. Il ne reste que quelques grains de riz dans le fond de sa boîte repas, qu'elle rationne en les bousculant dans les coins.



Du bout de ses baguettes, Ibuki s'amuse à dessiner des formes dans la sauce épicée qui imbibe ses dernières bouchées. Elle pousse un soupir.



Seichan pourra y comprendre la référence.

Sérieusement ? J'avalas de travers quand mon cousin osa dire que je ne souhaitait pas lui transmettre de techniques? J'aurais jamais refusé. Bon, ça m'aurait quand même fait chier, car il m'aurai fallut à temps assez long pour lui faire comprendre le principe à mon petit radis de cousin. Puis, il y aurait fallu qu'une de mes techniques l'intéresse. On a jamais réellement parlé de ces domaines de prédilection. Il semblait quand même se débrouiller dans le kenjutsu.


Pensait-il s'en montrer digne ? Peut-être s'il était sage et que j'en maîtrisais une qui pourrais lui être utile. Peut-être que je pourrais, lui enseigne la technique de clonage? C'était un jutsu plutôt pratique en soit. L'astuce ultime étant de s'en servir pour écouter les longs discours d'Ibuki. L'idée m'avait traversé l'esprit, mais n'avait encore jamais été réalisée. Je l'adore ma sœur quand même.


Avalant une bonne partie du repas préparer par Ibuki, je surveillais également l'avancée de Dai. Il lui en restait suffisamment pour ce que je lui réservais. Je fît ensuite ung rand sourire accompagner d'un signe de la victoire.



Habillement, j'attrapée la mixture épicée d'Ibuki pour en déverser une portion dans ce qui restait de repas à Dai et moi. Entrainement numéro deux du jour. Tolérance à la douleur... Je veux dire à la sauce épicée spécial Ibuki! Qui a la plus grosse tolérance au piment entre une asperge et un radis ?


Mélangeant la mixture épicée avec ce qu'il restait de riz dans mon bento, j'avalai ce qu'il me restait rapidement. La langue en feu n'était pas une réelle blessure. La première fois que je m'étais blessé lors d'un entraînement m'avait laissé un souvenir mémorable de ma grande sœur. Non seulement la blessure était totalement couverte d’antiseptique et de bandages. Mais vous étiez dans l'impossibilité de vous étiez également traiter pour d'autres blessures potentielles. C'était totalement excessif.

Bento fini, je fît à sourire à Dai. Moi, j'avais la chance d'y avoir goûter plus d'une fois. Cette dernière était largement capable d'apprendre le Katon au palais non habitué au plats épicée.

À la réponse de son cousin, Dai gonfla les joues et fit ses petits yeux de chiots, plus pour "attendrir" son cousin, ou au moins voir Ibuki rejoindre sa cause et harceler Seishiro, que par réel dépit.

pas facile de faire ses preuves quand on sort de l'académie et que notre cousin nous dépasse en tout, même quand vous lui sautez dessus pour le chatouiller avec un semblant d'effet de surprise et qu'il arrive à vous ridiculiser en beauté. D'ailleurs..., il s'arrête de manger alors que la pensée lui vient, est ce qu'Ibuki l'aiderait à lui faire une farce ? Si il arrive à la convaincre que ce n'est rien de bien méchant et que Seishiro ne lui en voudra pas jusqu'à la fin de ses jours si elle participe "Ma propre sœur !", ça pourrait être jouable....

Il n'en veut pas à Seishiro de ne pas lui apprendre de techniques puisque, pour lui, c'est déjà énorme que son cousin sacrifie un peu de son temps pour passer du temps avec lui. De toute façon, il n'avait pas vraiment envie de décevoir son cousin en n'arrivant pas à apprendre une technique, ce qui pouvait tout à fait arriver.
Il écoute sa cousine, imaginant avec amusement une copie réduite de l'asperge courir les bras en arrière et étouffe un rire. Penser à Seishiro jouant au ninja a quelque chose de comique pour lui. D'aussi loin qu'il s'en souvienne, il n'a aucun souvenir de son cousin avant l'académie. Il porte une attention identique aux réponses de la dite asperge aussi, jusqu'à ce que....

Seishiro vient d'asperger de sauce ultra épicée le reste de sa nourriture. Il le fixe la bouche entrouverte, figé. Il y aura une vengeance pour ça. Son cousin le paierait très, très cher. Ses baguettes restent figées, suspendues au dessus de sa boîte repas, alors qu'il doit serre les doigts dessus pour ne pas les planter dans la narine de Seishiro. Ce ne serait vraiment pas hygiénique.
La provocation de son cousin le fait plisser les yeux. Petit filou, s'il croit s'en tirer en utilisant son envie de l'impressionner.... il a raison. Il plonge ses baguettes dans la nourriture et mange, vite.

Petit sourire sadique en coin. Avec un peu de chance, Ibuki adoptera le surnom. C'est déjà un peu plus ridicule que "Seichan".
Il constate avec déception que même là, Seishiro le bat sans difficultés. Alors que l'asperge a fini son repas et ose sourire comme si de rien n'était, lui doit faire de gros efforts pour faire un petit sourire crispé, entrouvrant légèrement la bouche comme pour ventiler et se retenant de tousser.

Il y aura vraiment une vengeance. Sa langue lui brûle, contrairement aux deux autres, il n'est pas habitué aux plats épicés, mais c'est surtout le fait que ce soit son cousin le responsable de ce petit duel qui l'agace. Il ne faut plus qu'il le laisse choisir les domaines d'affrontement, l'asperge est sadique, et triche en choisissant des terrains où elle est sûre de gagner.

Pour Ibuki, tout s'arrose avec des épices. Ça réchauffe les arômes, ça grille les aliments, ça brûle le palais. Étonnée de voir son cousin mangé une dose digne de Sora, qui, comparée à ses frangins, n'était qu'une amatrice, mais qui surpassait déjà la majorité des jeunes gens, Ibuki ne manqua pas de féliciter Daikon d'un grand rire lorsqu'il termina enfin son riz de feu.




Parfois, celui qui ne connait pas Ibuki peut se questionner sur la santé mentale de la jeune femme, qui semble se provoquer seule ses changements soudains d'état d'esprit. Elle sème comme elle récolte les sujets de conversations, prenant bien soin de varier les semences pour ne jamais laisser le terreau fertile de son imagination perdre en nutriments... En gros, parfois elle apparaît névrosée, c'est vrai.



Ce qu'on disait : une autre idée qui germe sans préavis.



Ibuki s'est adressée au vent, laissant son rêve se faire porter par la bourrasque.




Et à ces dires, Ibuki a prit la pose du ninja, ou plutôt une imitation grossière d'un shinobi.