Le jour se levait de nouveau sur Konoha, comme chaque matin. À cette période de l'année les oiseaux chantait très tôt, et ce son ravissait la belle Shisuta qui se réveilla aux aurores comme tous les matins. Dans le plus simple appareil, elle sorti de son lit et marcha jusqu'à la salle de bain. C'était le même rituel tous les matins, douche froide puis maquillage. La jeune femme était coquette, et ont ne la prenait jamais au dépourvu, même si pour cela elle se levait avant la majorité des Konohajin. Du rouge sur ses lèvres, de la poudre sur ses joues, du crayon sur ses yeux, et la jeune femme était prête. De nouveau elle traversa la maison entièrement nue. La pudeur n'était quelque chose qu'elle connaissait, et encore moins en compagnie de sa colocataire et sœur jumelle. De plus le matin elle la croisé rarement, et quand bien même cela lui était égal. Les deux jeunes femmes était le portrait craché de l'autre, donc tout ce que sa sœur verrait, elle le voyait déjà dans le miroir tous les matins.
De retour dans sa chambre, la belle Chikara se décida enfin à mettre des habits sur son corp. Sous-vêtements, puis un kimono échancré de couleur jaune moutarde. Maintenant elle était prête pour être vue du reste du village. Mais avant cela un tour par la cuisine s'imposait. Alors que la belle blonde préparait le petit-déjeuner pour elle et pour sa sœur, celle ci ce décida à montrer le bout de son nez. Avec un énorme sourire comme à son habitude, Shisuta accueilli Miya.
« Salut, tu as bien dormis ? Je t'ai préparé le petit-déjeuner, il y a du thé sur le feu... »
Du thé d'un assortiment de fruit, tous les matin c'était la même chose. Les deux sœurs étaient incroyablement proche, et n'avait jamais était loin l'une de l'autre. Et grâce à ça elle s'était fait une sacrée réputation au sein du village. Jamais un échec en mission, jamais un survivant à leurs assassinats, jamais un témoins à leurs infiltrations. Ce n'était pas pour rien que les haute sphère du village avait souvent recours à leurs services...
« Je vais sortir dans le village, j'ai une course à faire, tu veux venir avec moi ? »
Pas question de sortir sans Miya, la question était par politesse, et la réponse était implicite, les jumelles étaient de sortie ce matin.