Embauche moi, Sensei ~

Parcourant les rues des quartiers du plaisir, son doudou à la main, la fillette sautillait dans la boue, la pisse et le sang. Elle s'ennuyait et tentait de se faire remarquer par n'importe quel passant. Pourvu que ça la divertissait, le reste elle s'en fichait. Beaucoup d'adulte homme la regardait avec appétit, mais très osait s'en approcher. Kohana pouvait paraître mignonne, mais ce n'était qu'une apparence.


Elle s'approchait en sautillant, toute souriante.


La petite fille affichait une moue un peu plus triste usant de ses talents théâtrale pour se faire prendre en pitié. Elle ne savait pas à qui elle avait à faire et s'en moquait bien. Elle présentait alors son doudou "Bendy" à son futur interlocuteur.


Riant aux éclats, elle pensait faire fuir l'homme, comment allait-il réagir à cette drôle de gamine, qui n'avait peur de rien ou presque ?

Je déambulais comme à mon habitude de bar en bar toute la nuit pour voir si tout se passait bien et faire sortir les troubles fait par la même occasion. J’avais l’habitude de ce quartier et pourtant la puanteur omniprésente me donnait envie de gerber. Je menait quoi comme vie en fait ? Moi, Karuso du clan Hattori, je gâchais simplement mon talent dans de la merde, oui c’était le terme. J’avais bien une idée pour le sortir de là afin de mettre mon talent au service de Kumo ou ailleurs à qui voudrait le prendre car le Raikage semblait m’avoir totalement oublié, pour preuve, je rabaissais des gars chaque nuit et j’en tuais même de temps en temps, mais je ne subis plus aucune arrestation. Faisais-je le caprice d’un gamin pour se faire remarquer et avoir de l’attention ? C’était totalement ça et je me dégoûtais encore plus de devoir agir de la sorte pour sortir de ce bourbier. Jadis j’y trouvais du plaisir, maintenant je n’y trouve que de l’ennui. Il était grand temps’ pour moi de changer de cap.

Je passais par diverses ruelle totalement glauque où il ne faisait pas bon d’y traîner si on ne savait pas se défendre. J’entendais alors une voix d’enfant qui semblait m’interpeller. Je me retournais et je voyais une gamine qui ne devait pas avoir plus de 10 ans...Ayant portait mon attention sur elle, elle me demandait de jouer. Si j’étais superstitieux, trouver une gamine dans une ruelle sombre puant le sang et la pisse, j’aurai couru dans les jupes de ma mère. Situation peu commune qui me donnait tout de même un frisson. La gamine continuait de parler et elle me présentait son doudou? Bendy? Sérieux, j’en avais rien a foutre de sa vie et ce rire... limite diabolique, elle devait avoir un problème.



Je m’approchais d’elle en restant sur les gardes, il y avait vraiment un truc pas normal.

Amusée que l'homme prenait ses distances la petite s'approchait du grand gaillard et le tenait par la main.


Elle le regardait de ses yeux vairons et affichait une mine de petite peste pas contente.




La fillette affichait un grand sourire et exprimait son air satisfait d'être "une petite emmerdeuse" de service. Les adultes n'avaient qu'à bien se tenir ! Elle s'accrochait fermement aux vêtements que portait ce drôle de bonhomme.

Qui était cette gamine, elle doit être vraiment sur d’elle pour se balader ici... à mon avis elle cache bien son jeu sous ses airs de gamine innocente qui te crèverait les yeux une fois le dos tourné. Mais elle fait quoi là à venir me tenir la main ? Je me retirais. Si elle s’ennuyait, ce n’était pas mon problème. Elle n’avait qu’à aller dans une air de jeu ou jour avec des gamins de son âge.



Ses yeux? En y regardant de plus près, elle avait en effet une particularité peu commune. Mais je m’en foutais totalement, elle aurait encore été rousse avoir des yeux mauve, c’est le même pour moi.



Gagner ? C’est plutôt une plaie la... bordel je vais m’en débarrasser comment.



On avançait alors dans les ruelles sombres de ces quartiers pour arriver devant un de mes bars où la clientèle etait a éviter totalement... ils vont penser que je la ramène pour des trucs degueulasses. Le premier qui bouge, je l’éclaterai quand même

L'inconnu semblait désespérer de devoir se coltiner la fillette, mais acceptait tout de même que la chieuse l'accompagnait.


La petite suivait l'homme dans un drôle de bar, peu fréquentable. Il parlait d'une missive pour la renvoyer chez elle, mais cette dernière n'était pas d'accord avec lui. Des regards de vieux pervers se dirigeaient vers la choupette, elle avait une petit idée en tête et ne tarderait pas à la mettre en exécution. Son petit air malicieux ne présageait rien de bon.


Certains de es types étaient fortement alcooliser et le fait de les provoquer en leur parlant mal était un vrai jeu d'enfant. Deux types se levaient et rétorquaient d'un ton agressif qu'une gosse n'avait rien faire dans un endroit pareil.


Ni une, ni deux la petite frappait dans les bourses d'un des hommes, ce qui le pliait à terre. Attrapant de ses deux petites mains elle saisissait son visage et le regardait droit dans les yeux.


Quant à l'autre il n'osait plus rien dire et retournait sagement à sa place. Une fois l'embrouille prémédité terminée, l'enfant se tournait vers l'homme.

On arrivait presque à mon établissement, les rues étaient rempli d’alcooliques et toxicomanes en tout genre. On pouvait voir ici toute la décadence de Kumo qui ne faisait que s’empirer.



Deux cons la regardaient avec envie et voilà qu’elle s’adressait à eux... bordel, j’allais devoir m’en mêler et pour une fois ça ne serait pas de ma faute. J’allais intervenir mais la gamine répliqua direct avec un coup de pied bien placé, le gars s’écroulait au sol, plus tôt pas mal pour une gamine dont je avais reconnu le style. Elle les narguait mais bon, le problème était reglé et l’autre n’oserait pas broncher.



Elle me demandait alors quelque chose à boire.



Vu son niveau, elle devait faire parti d’un clan, j’en déduis les Miwaku, les autres étaient bien trop bizarre.

Elle piquait une crise dans le bar mécontente que l'Hattori voulait la renvoyer chez elle et attirait l'attention de plusieurs autres types louches qui ne l’avaient pas encore aperçu. Elle les dévisageait un à un et commençait à leur hurler dessus ce qui surprenaient la plus part d'entre eux.


Elle avait une grande gueule et beaucoup de mordant, elle frapperait le premier qui viendrait tenter quoi que ce soit.
La petite fille montait alors sur un tabouret pour se mettre à la hauteur du grand Hattori, le tirant par la manche et lui demandait la chose suivante.


Elle le regardait jusqu'à ce que celui-ci accepterait sa proposition.

Mais j’ai fait quoi pour mériter ça ! Elle piquait une crise, non mais sérieux... elle se croyait ou? A l’école et elle faisait un caprice du feu de Dieu... j’avais envie qu’elle se taise et j’allais chercher un jus de fruit.



Cette mixture contenait un alcool de 80 degré... au moins elle tombera peut être dans le coma et je pourrais continuer tranquillement mes affaires.



Je m’adressais à mes clients qui replongeait leurs regards dans leurs verres... j’étais obligé de temporiser à cause de cette gamine et je le payerai plus tard quand ils voudront tout casser par frustration .



Ç’était la première fois que j’avais ce genre de e proposition et je devais y réfléchir grandement surtout que c’était une euros

Elle le collait encore plus et le regardait avec beaucoup d'insistance.


Elle riait amusée que l'adulte pouvait penser qu'elle n'avait jamais assisté à des scènes de violences, de sexe et bien d'autres choses pas fait pour les enfants.


D'un regard plus sérieux, elle sautait du tabouret pour se situer en face dans l'immense Hattori.


Affichant son petit sourire de diablesse elle continuait de lui rétorquer.

Elle savait se battre et avait surtout d’autres talents intellectuelles intéressant malgré son jeune âge apparent. Mais le pire des trucs, elle ne me décollait pas alors que j étais un parfait inconnu encore une fois et elle a de la chance que je suis correcte avec les enfants. Je ne m’amusais pas tout le temps a parcourir les rues du quartier, mais apparement elle jouait souvent dans le coin... qu’elle drôle d’idée.



Enfin un peu de distance social, je n’aimais pas trop la proximité des enfants... mais j’écoutais ce qu’elle me racontait et j avais totalement compris...souvent, les miwaku sont traité comme des moins que rien. Mais de là à faire des actes ignobles sur des famines ou des gamins, si je vois ça un jour, je couperait leur couille que j’apporterai comme collier au Raikage pour qu’il bouge ses fesses à faire quelque chose dans nos quartiers.

Kohana écoutait les sages paroles de son nouveau Sensei.


Elle faisait mine d'être étonner et jouait sa petite comédie. Encore un coup du vilain doudou "Bendy", qui lui dictait sa mauvaise conduite. Après avoir assez jouer avec le monsieur la petite souriait de son air malicieuse et taquineuse.


Elle se dirigeait vers le bar et demandait au barman une boisson non alcoolisée, puis se mettait à nouveau à côté de son Sensei Kuraso.


Elle buvait sa boisson pétillante à l'aide de sa paille serrant son lapin en peluche contre elle.

Kohana écoutait les sages paroles de son nouveau Sensei.


Elle faisait mine d'être étonner et jouait sa petite comédie. Encore un coup du vilain doudou "Bendy", qui lui dictait sa mauvaise conduite. Après avoir assez jouer avec le monsieur la petite souriait de son air malicieuse et taquineuse.


Elle se dirigeait vers le bar et demandait au barman une boisson non alcoolisée, puis se mettait à nouveau à côté de son Sensei Kuraso.


Elle buvait sa boisson pétillante à l'aide de sa paille serrant son lapin en peluche contre elle.