Mission en terre hostile

Gokoro n'appréciait pas du tout la façon dont se conduisait Kuma. Il eu envie de l'écraser comme le moustique qu'il était. Il croyait avec son jeune âge avoir vu plus d'horreur que Gokoro. Cependant il devait réfléchir, si lui à son jeune âge avait vu tant de chose, Gokoro était sur cette terre depuis presque un demi siècle, et en plus il avait traversé le Yukan plusieurs fois. Les horreurs du monde il ne les connaissait que trop bien malheureusement. Il se contenta de pousser un petit rire, puis il vint éteindre le feu de Seishiro avec son pied.



Oui, Kuma venait de parler à un mur. Gokoro était le chef d'équipe, et en dépit de son attitude nonchalante, il savait exactement ce qu'il faisait. Seishiro avait raison, arriver mort de fatigue dans les plaines c'était la mort assuré.



Gokoro avait fait disparaître la brute, et il venait de présenter le Sanin à Kuma. Il savait exactement ce qu'il faisait, même s'il parlait fort et qu'il picolait un peu trop. Et histoire de ponctuer tout ça, la légende lui dit.



Gokoro repris alors la marche, il n'avait pas envie de trainer ici non plus. Mais il n'avait pas peur pour autant.

Il avait calmé le jeu, mais je ne me calmais pas pour autant. Il ne répliquait encore une fois que par une piquante sans fondement. Ce type m’énervait profondément et j’étais pourtant très très calme à mon habitude et il serait grand temps que je le redevienne.

J’écoutais Gokoro, il avait donc bien ressenti quelque chose, je reprenais peu à peu mon calme, sûrement parce qu’il me parlait bien plus calmement, j’avais l’impression même de ne plus avoir la même personne en face de moi. Il avait une grande expérience et je n’y avais pas fait attention.



Je souriais légèrement à sa remarque suivante alors qu’on avait reprit la marche.



Je poser de nouveau la main au sol pour activer une seconde plante de vision pour avoir une meilleure vu sur nos arrières.

Wow; Le petit speech de Gokoro m'avait laisser sur le cul. moi qui pensez que ce n'était au final qu'un rustre abus de lui-même alcoolique et raciste. Il fallait croire qu'il cachait quand même de nombreuse qualité derrière ces défaut; Sur le coup, j'avait presque l'impression d'y reconnaitre mon ancienne sensei Taram. Le résultat semblait être concluant et je fît rapidement en sorte de cacher ma légère surprise à ce discourt improvisé.

Finalement on reprendrais donc la route avec une "chose" qui ne les suivait pas et ce trouvait être inquiétante? Moi une superstition sans doute mais je n'allais pas envenimer de nouveau la situation. Puis vu que la pause ne semblait plus d'actualité, on allait donc ce remettre en marche. Sauf que cette fois, j'était bien plus sur mes gardes. Faut dire que leurs histoire là, sa finissait quand même par mettre la pression.


Ainsi nous reprîmes de nouveau notre trajet.

La journée de marche se déroulait finalement sans encombre. La petite équipe ne s'adressait presque pas la parole durant toute la journée. La pression était relativement redescendue, et il était temps de faire une pause. Par chance ils avait trouvé une grotte pour s'abriter cette nuit. Gokoro jeta le prisonnier comme un vulgaire sac de patate sur le sol de la grotte.



Gokoro était une véritable force de la nature, il avait tout de même marché presque douze heures, sans pause, et avec un mec sur l'épaule. Il s'étirait un peu les bras, et alluma un feu. Cette nuit, il n'avait pas de cadavres de Tanuki à mettre au loin pour espérait éloigner les prédateurs. Pas question de faire boire Kuma, il allait falloir que tout le monde soit sur ses gardes. Lui cependant, n'était pas contre une petite bière, il la déboucha et commença à la boire en disant.



Le géant Uzumaki alla se poster à l'entrée de la grotte avec sa bouteille de bière. Son tour de garde se déroulait sans encombre, il n'y avait rien à dire, quelques hurlements de loups. Les bruits d'un renard. Quelque chose qui dévorait autre chose. Bref une nuit normal dans la forêt. Gokoro se leva, et se dirigea vers Kuma.



Gokoro alla ensuite se coucher, et débuta ses énormes ronflements, qui allait accompagner ses camarades le reste de la nuit.

Nous avions parcouru une belle distance, le calme était revenu même si le silence fut de taille. C’était mieux ainsi dans un premier temps et Gokoro nous trouvait une grotte pour nous reposer. Endroit parfait, n’ayant qu’une entrée normalement, il sera bien plus facile d’anticiper une quelconque attaque. Il balançait le prisonnier au sol... il bougeait encore... ça va. Il allait prendre le premier tour de garde. Je mangeais les quelques herbes et insectes que j’avais amené avec moi, il ne me fallait rien de plus et je tentais d’avoir un peu de repos.

Une grosse voix me réveillait avec le doux mot de princesse... sérieux, ce type était irrécupérable, je me levais en m’étirant un peu. Il n’avait pas fallut longtemps pour qu’il s’endort comme le gros cochon qu’il était. J’activais mon pouvoir et je me concentrais pendant une minute sur la zone face à nous. Une plante carnivore poussait sous terre, au moindre os sur la zone, celle ci se refermera sur l’ennemi ou autre et ça nous fera gagner du temps.

La nuit était assez calme, surprenant vu l’endroit, à croire qu’on nous fuyait ou alors la chose que je pensais nous suivre, devait être horrible pour faire fuir les autres. J’allais alors vers Seishiro et je le réveillais délicatement.



Je me fichais sur le sol, c’était plus un moment de repos, je ne saurais pas dormir avec l’autre qui ronfle comme un porc.

Finalement, j'était plus chanceux que Kuma. profitant de mon temps de repos. Le kirishitant aller maintenant devoir se reposer sur le tumulte des ronflement du géant Uzumaki. Finalement, c'était peut-être même eux le véritable danger de la forêt. Il ne devait pas être innocent dans le fait que la faune locale ne nous ai pas encore embêter. Surtout qu'il devait être modifier par les paroi de la grotte.


je fît un petit clin d'œil au kirishitan. même si je pense qu'il finirait par trouver le sommeil dans les ronflement du géant Uzumaki. je me posta alors à l'entré de notre abri du jour. Faisant bien attention à ne pas marcher dans la zone piégé du Kirishitan. J'avait pas l'envie de servir de repas à une plante géante. Fin surtout pas l'envie de servir de repas tout court.

C'était étonnamment calme. C'était même perturbant. Seul les ronflement de Gokoro venait briser le silence environnent. C'était vraiment particulier et je commençais réellement à croire également que Kuma n'avait pas tord. Quelque chose clochait dans cette forêt. Mais nous n'avions pas le temps d'enquêter là-dessus. Il ne semblait cependant rien ce produire jusqu'au petit matin. L'heure du départ.

Tout les matin c'était la même chose, les souvenirs des batailles passées venait visiter Gokoro dans ses rêves. Et les pire batailles il les avait vécu avec Azukiyo. C'est Gokoro qui lui avait coupé le bras et fait perdre sa famille. Le passif entre le Sanin et le Hokage était immense. Gokoro se réveilla, et il fit profiter toute la grotte de l'énorme flatulence qu'il lâcha de bon matin avant d'aller se soulager la vessie un peu plus loin. Et c'est en faisant cela qu'il remarquait quelque chose d'inquiétant.

Un ours, mort non loin de la grotte, éventré, les viscères déchiquetés, des marques de dent partout sur le corps. Quelque chose avait tué cet ours. Quelque chose de monstrueux. La bête morte devait déjà peser pas loin d'une tonne. Qu'est-ce qui pouvait bien tuer une telle chose. Gokoro revint à la grotte et dit.



C'était donc ça les bruits que le géant Uzumaki avait entendu, une chose en dévorant une autre. Mais il était loin d'imaginer la corpulence de ce qui se faisait dévorer. Il fit boire un peu d'eau au prisonnier, l'emmena se soulager et le repris sur son épaule avant de reprendre la marche, une fois que tout le monde fût réveillé.

Je me réveillais en sursaut quand l’autre ours se mit à crier le nom du hokage... je ne préférais pas imaginer les saloperies qu’ils pouvaient faire avec lui... ces jouissances nocturnes, ils n’avaient qu’à les garder pour lui. Le charme de se type n’était plus à prouver. Il lâchait une flatulence digne des plus gros sanglier et il en profitait pour aller se soulager... heureusement que Seishiro était quelqu’un de civiliser, ça faisait un certain équilibre.

Il revenait alors en criant presque, un ours énorme s’était fait eventrer par quelque chose d’encore plus énorme, et on allait encore me dire que j’étais fous ! Ben non en voilà une preuve flagrante !



Il faisait pisser le prisonnier et il lui donnait un peu à boire. On pouvait maintenant se remettre en route et accélérer le pas rapidement et je donnais entièrement raison à Goroko, il ne fallait pas passer une nuit de plus ici, ça aurait était mieux d’éviter cette région, mais ventait de la faute après tout.



On continuait notre chemin à vive allure, si on continuait ainsi, on sera vite à l’abri.

Le mystère restait entier. il semblait y avoir une chose qui jouer avec nous. nous étions visiblement des proie et cette dernière attendez le bon moment pour frapper. Le problème, c'est que aucun de nous n'avions la moindre idée de ce qui semblait nous avoir pris en chasse. Preuve en ai le cadavre d'ours que Gokoro avait découvert. Quelque soit la chose qui l'avait mis dans cette état, cette bête semblait réellement dangereuse. hors, nous n'étions pas directement en mesure de nous en occupez. pas avec un prisonnier sur les bras.


Levant le camp une nouvelle fois, le groupe avait assurément accéléré la cadence du voyage. Je ne pouvais m'empêcher d'être curieux et inquiet vis à vis de cette chose. Son terrain de chasse semblait relativement loin des route commercial habituelle. Mais peut-être que ce n'était pas réellement le cas et qu'elle représenterai un danger dans un avenir proche.

Quoi qu'il se passe, l'équipe devait quitter cette forêt maudite. Les habitants lambda du Yukan craignait plus les plaines que la forêt du feu. Cependant, toutes les personnes aillant un minimum voyagé, savaient que la forêt était bien plus dangereuse, car il y avait beaucoup trop de chose inconnue en son sein. Et l'une de ces choses en avait après l'équipe de Gokoro, et c'était son devoir en temps que Shinobi et chef d'équipe de ramener tout le monde en vie. Il n'y avait que très peu de chance s'ils venaient à croiser cette bête.



Gokoro accélérait, Kuma n'allait plus tarder à dire qu'il les avait prévenu. Mais le plus dangereux dans ce genre d'endroit, c'était le stress et la paranoïa. Si l'équipe se mettait à délirer, il finirait par tous mourir et échouer dans la mission. Bordel, si ce putain de Tanuki n'avait pas tué les chevaux. Et dire qu'il allait falloir repasser par la forêt au retour. Même si ce serait par la route, le danger n'allait pas être moindre, surtout si une chose avait mis leurs odeurs en mémoire.



Des pas, des pas de mastodonte se faisait entendre derrière eux. Quelque chose... Quelque chose d'énorme les suivaient. Et Gokoro avait vu juste, courir l'avait fait accélérer.

J’allais éviter une quelconque remarque et on accélérait le pas et on commençait à courir. Comme quoi, il y avait bien des dangers bien plus terrible que des shinobis. Avec des ninjas, on avait une connaissance de l’ennemi mais sur ce qui nous poursuivait, on ne connaissait rien e ce monstre dont personne n’a certainement pas pu racontées une éventuelle rencontre car celle ci devait être morte.

On courait à vive allure et un bruit de plus en plus énorme se faisait entendre. On ne voyait rien et je n’avais pas le temps de faire mes jutsus pour avoir une vision. Il ne fallait pas perdre là moindre seconde. J’avais l’impression de ressentir le sol trembler face à moi mais alors que le groupe courrait à vive allure. Je réfléchissais à une chose... nous sommes des shinobis et notre devoir et de protéger konoha et ces habitants. Hors cette chose avait sûrement dû tuer plus d’un villageois. Était il respectable de fuir? En fait, on n’était pas sur du tout que cette chose nous laisse fuir et vu le bruit, elle ne mettrait pas longtemps à nous rattraper.



Courir et toujours courir, tel était le mot d’ordre de Goroko.

La chasse était lancer, le fait d'avoir accélérer le pas semblait avoir motiver la bête. Nous étions clairement devenue ces proies. La réel question était de savoir ce que nous allions faire maintenant. Nous savions que nous étions traquer. Mais aucune information sur la chose. Autre sa potentiel dangerosité. D'autre part, nous avions un prisonnier à transporter. Si nous nous défendions face à cette chose, nul doute qu'elle s'en prendrais à la proie la plus vulnérable. Le plus probable était qu'elle nous attaque par petit assaut pour nous avoir à l'usure. Nous étions quand même en supériorité numérique.


Je comprenais ce qu'il ressentait. Ce n'était pas vraiment agréable comme idée. Si nous nous échappions, rien n'empêcherais cette chose de s'en prendre à d'autre voyageurs.