Izumo était resté silencieux lors des soins prodigué par la jeune femme, si mentalement, il prenait note des étape à suivre. Le Shinobi n’avait pas vraiment porté attention à la Chikara, jusqu'à ce que cette dernière lui sert brutalement le bras. Heureusement pour lui, de nature musclé en raison de ses entraînements physiques, il encaissa sans mal la force de sa camarade.
Izumo, qui suivait attentivement la situation, leva enfin les yeux sur Kana une nouvelle fois. Un bref moment, il fixa la jeune demoiselle, sans savoir quoi dire, après tout, il s’était retrouvé dans cette situation par curiosité. L’eisenin avait une histoire plus tôt étrange et en sa position de chunin, et bon membre du clan, il s’en était senti responsable. Elle avait une histoire plutôt triste, avouons le.
« Il y a une autre chose, si tu me permets, j’aimerais beaucoup passer à l’occasion, j’ai quelques souvenirs dans le jardin. Si tu le désires cela pourrait peut-être t’aider à te souvenir. »
L’histoire d’amnésie était elle aussi connue, une Uzumaki qui ne se souvenait pas de beaucoup de choses. Forcément, la jeune femme se retrouvait dans les messes basses.
Décidément, elle ne lâcherait pas le morceau, elle aura droit à sa revanche, mais il aura toujours l’avantage sur elle. Il fit un sourire faussement timide avant de répondre à la Chikara.
« J’aurais toujours le dessus. »
Sans plus, il se tourna vers Kana et lui fit une autre petite révérence avant de rejoindre la porte. Sur le chemin vers la sortie l’Uzumaki, insista un peu plus sur ses futur visite.
« Lorsque je te rendrai visite Kana, je te parlerai de la première fois que je t’ai croisé. Tu étais timide à l’époque, encore plus qu’aujourd’hui ! »
Une fois à l’extérieur de la maison de Kana, il regrettait presque son geste, pourquoi voulait-il parler de ses souvenirs avec elle ? Il aurait tout le temps d’y réfléchir le lendemain, sur les terrains comme il faisait toujours. Pour le moment, la demoiselle en détresse semblait un peu sous le charme, à son désespoir. Lui qui rebutait tout relations personnelle depuis quelques années. Il soupira un peu a la demande de la jeune demoiselle.
Voilà, bientôt elle lui demanderait la lune pour se faire pardonner. Les femmes, toujours, ont jouer le mélodrame pour avoir l’attention. Il ne releva pas la remarque et après avoir remercié Kana de façons plus convenable, il invita la Chikara à lui montrer le chemin vers son domicile.
« Au plaisir de sa seigneurie. »
Il espérait secrètement que cette remarque toucherait l'orgueil de Mîya