« Il serait surpris à n'en pas doutait. »
D'une bonne ou d'une mauvaise façon? Personne ne pouvait savoir comment leurs alter-égo d'un autre âge réagirais au à ce qu'il était devenue aujourd'hui. Serait-il déçus? Fiére? Dans le cas de l'illusionniste, il y aurait certainement une certaine peur. il n'était pas des plus courageux enfant, bien qu'il arrivait à "jouait les protecteurs" sans réellement le vouloir. Des valeurs qui lui avait été ancré dans l'esprit dés son plus jeune âge. Tout comme l'idée d'être un défenseur de la paix. Finalement, il n'avait pas tant changer que ça. il avait simplement d'agir d'une manière différente que par une observation presque passive de la situation. Il ne voulait plus attendre qu'un point de rupture soit atteint pour agir. La prêtresse avait agit ainsi, et Gekido avait mis à mal la paix de Konoha.
Si ce début faisait pensez à de simple retrouvaille d'ancien amis, un sentiment de nostalgie qu'il partaga quelque instant avec la femme qu'il observait. Ils revinrent bien vite à la raison de sa venue. Comprendre les choix de Kazami Uzumaki. Comprendre comme une femme qu'il respectait avait ainsi tourné. mais la question principal n'était pas pour elle. La véritable question était. "Que pense tu de Kazami, Kotaro?". L'illusionniste n'avait toujours pas trouver de réponse satisfaisante. il ressentait de la colère vis à vis des choix qu'elle avait fait, mais une part de lui souhaiter avant tout comprendre avant de juger.
Des excuses? Le Kitto cherchait t'il vraiment des excuse à Kazami? Au fond, il n'en savait rien lui-même. Il avait certainement envie d'en trouver. C'était normale pour une ancienne camarade. mais son devoir en tant que shinobi, en tant qu'habitant de Konoha passait avant les sentiment qu'il pouvait éprouver.
Les amants maudits, un triste surnom qui correspondait pourtant parfaitement au duo que représenter Gekido et kazami. Tout deux étant des membre émérite de leurs clan. leurs destin semblait les mener sur une voix bien sombre. Les ténèbres semblait d'ailleurs désireuse d'emporter Gekido toujours plus profondément dans une folie sans nom. lui qui fût Hokage, lui dont son rôle était de protéger Konoha. Comptait à présent venir marcher sur le village. Nul doute qu'il ne viendrait pas se rendre docilement.
Le chef de la police avait quelque information sur Gekido. Cette histoire de démon, d'une créature faite de chakra que les Uzumaki pouvait sceller dans un corps. C'était un étrange concept. Son père, qui avait quitté Konoha dans le but d'étudié le monde, lui avait raconter quelques bribes d'information sur ce sujet. Mais rien de bien utile finalement. De tel créature ressemblait plus à des légendes et, pourtant, Kazami semblait croire en cette chose. Il avait du mal à croire qu'une tel chose existe, et encore plus à remettre les agissement de Gekido sur la faute d'une entité irréaliste.
Le Kitto s'apprêtait à rappeler sa question à Kazami. Elle n'avait pas choisis de suivre immédiatement Gekido par amour. Ce n'était probablement pas l'amour qui l'avait pousser à participer au projet de génocide de Chikara. Il allait parler lorsqu'il se figea. Il n'était malheureusement pas insensible à la vision de son anciennes amie en larmes. La question attendrait.
il soupira, il n'y avait aucune vrai réponse à lui donner. Lui dire qu'elle avait commis des erreur était stupide. Le passé ne peut-être défait. L'être humain n'est qu'une faible créature. Bien que le chakra soit une force surprenante, elle ne pouvait pas grand chose. Un homme restait un homme, un shinobi restait un shinobi.
« As-tu hésiter lorsque tu a choisis de devenir Eisenin contre l'avis de ton père? Lorsque tu a choisis de fuir pour sauvez Gekido? Tu pense peut-être que oui... Mais je pense que non. Je pense que tu était certaine de tes choix. Comme lorsque tu a décider de te rendre... »
Même si c'était indirectement finalement, le Kitto avait eu la réponse à sa question. C'était l'amour qui l'avait poussait à suivre gekido. Un sentiment qui ne justifiait absolument pas les actes choisis et commis par les amant maudit. pourtant, n'y avait t'il que du noir et du blanc dans ce choix?
« Tu souhaite le sauvé? Tu peux peut-être encore... Tu sais ce que je veux dire? »