Retour en cellule

Une question d'honneur? N'était-ce pas ça, finalement, la véritable cause du problème Gekido. l'honneur des deux clan qui fût remis en cause mainte fois par le passé et crée la haine qui rongeait maintenant l'homme qu'aimait Kazami? Cette même haine qui entrainée le chaos au sein de Konoha par le passé? mettre ce fait en comparaison avec la neutralité des Kitto fît tiqué l'illusionniste. non, ce n'était pas à la neutralité qu'était attaché les Kitto mais à la paix. Il prônait la neutralité car elle permettait de résoudre les conflit par la discutions et non par la violence. C'était la paix, qu'il chérissait par dessus tout



Il se surprenait à penser ces mots. Si Konoha ne pouvait pas faire table de rase du passé et s'unir une fois pour tout en temps que village unis. S'affranchissant des barrière clanique établis depuis sa fondation. Alors il finirait inéluctablement par éclaté. On ne pouvait prônait des valeurs d'unification sans les impliqué. Cette situation pesait depuis bien trop longtemps. Les temps changes et les habitant de Konoha devrait s'adapter s'il voulait survivre en tant que tel.

Il se retourna sans rien dire, à la révélation de Kazami et la surprise était présente. Il était surpris et pourtant, tout cette annonce rendait le tout beaucoups plus cohérent. Ce revirement soudain de Kazami pour Konoha. Cette "rédemption". C'était celle d'une mère souhaitant voir son enfant. Gekido et elle avait donc une fille qui se trouvait entre les murs de Konoha. C'était une information invraisemblable et pourtant, il était certain qu'elle ne mentait pas. Shimazu avait donc caché cette information au village. En tant que ninja, c'était clairement un acte de trahison envers le village. Mais le chef de la police n'allait pas lui en tenir rigueur. Kazami était sa sœur, c'était une situation assez complexe et il n'était pas le plus a même de la juger. De plus, l'enfant n'avait clairement pas à payer pour les actes de ces parents. C'était sans doute le meilleurs moyen de la protéger de ce triste héritage.



Rappelait ce fait n'était sans doute pas nécessaire. Elle prenait également de gros risque en la côtoyant. Elle inspiré encore beaucoups de haine et nul doute que si ce secret était découvert, Hanabi serait la premiére concerné. Les enfant ne devait pas payer pour les crimes de leurs parents, pourtant, c'était souvent les premiers impacté.


Cette enfant était donc le moyen de pression que Kimino sur Kazami? Les sentiments d'une mère pour ces enfant est extrêmement fort. C'était quelque chose qu'il ne pouvait qu'imaginer pour l'instant. Gekido devait probablement ignorer ce fait. Ou alors, c'était la véritable raison de son retour?

Kazami avait peur de comprendre les intentions de Kotaro. Unifier les clans ? Etait-ce seulement ... possible ? Chacun avait ses traditions, sa culture, son histoire ... Balayer tout cela pour créer un unique clan, celui de Konoha ? Kazami connaissait beaucoup d'anciens qui seraient contre. Même Shimazu, chef actuel du clan Uzumaki, soutenait-il ce genre d'idéaux ? Konoha avait bien changé ...
Bien entendu, son ami était surpris de son annonce. Mais maintenant, comme elle s'y attendait, il comprenait mieux. Si cela ne mettait pas en danger sa fille, Kazami aurait bien fait une annonce publique ...



Elle haussa les épaules. Hanabi n'avait que 5 ans, ces débats étaient encore lointain.



Pendant sa grossesse, Gekido avait été le parfait amant. Le couple avaient chéri l'enfant à venir tous les jours.



Elle baissa les yeux, observant le sol humide de sa cellule. "Ses amis". Pouvait-elle encore les appeler comme cela ? Bien que dans son coeur ils l'étaient toujours, elle se doutait bien que Kotaro et les autres la détestaient. Elle leur avait causé un bien grand mal ... Mais Kazami était une battante, elle n'allait pas baisser aussi facilement les bras.



Pendant une fraction de seconde, Kazami se voyait brûler tout Konoha. Elle secoua la tête pour chasser ces horribles images.



Kazami se doutait bien que l'Hokage et ses conseillers ne prévoyaient pas de vacances pour la rouquine. Si son jugement allait en faveur de sa libération, ils allaient probablement lui donner des tâches d'une difficulté supérieure. Mais Kazami était prête. Tout ce qu'elle attendait, c'était qu'on lui ouvre la porte de cette maudite cellule.

Gekido venait donc pour récupérer sa fille, chose plus que logique. Il était surprenant que Kazami ai réussi à convaincre Gekido de confier son unique enfant à Shimazu. Tsubasa et lui avait réussi à caché une telle information et le Kitto n'avait aucun intérêt à révéler le secret. Cette information était néanmoins important car elle donner des carte pour affronter Gekido. Les enfants étaient une faiblesse exploitable et il ne comptait pas s'en priver. Ce n'était pas un acte qu'il apprécier, mais préserver Konoha était la priorité.



Il n'y avait aucune compassion. Il comprenait parfaitement ce désir de protéger sa progéniture. Pourtant, voir cette volonté chez les amants maudit était fortement dérangeante. Combien de ces "vies simples" avait-il brisé par leurs choix égoïste ? Par le choix de la haine ? Autant de souffrance pour quoi ? Il repensa aux mots de Seijuro et comprenait mieux le ressentit de ce dernier maintenant, ainsi que ce qui souhaiter voir la tête de cette femme rouler. Comment pouvait-elle espérer le bonheur après avoir brisé celui d'autrui ? Il poussa alors un long soupire.


Valeur essentielle de son clan, l'idée de pardonner Kazami était plutôt mal vue et ce pour des raison évidente. Kotaro savait maintenant ce qu'il en pensée. Il était impossible de pardonner les choix de Kazami et Gekido. Ils avaient provoqué bien trop de souffrance. Cependant, le village devait continuer d'avancer. Le jugement finirait par arriver tôt ou tard et son ancienne amie ne pourrais y échapper.


Se dirigeant vers la sortie de la cellule, il fît un signe afin qu'un des gardes vienne lui ouvrir. Il n'allais sans doute pas tarder.

Quoi que Kazami dise, la méfiance et le dégoût de Kotaro restait présent dans chacune de ses paroles. Chacune de ses phrases donnaient un coup au coeur de l'Eisenin, coup qu'elle encaissait car le jugeait mérité.



Il était facile de hisser Gekido et Kazami au rang de grand méchant loup. Bien plus difficile de se remettre en question. Un tel massacre n'aurait jamais pu arriver si chacun avait joué son rôle .. Mais depuis qu'elle était rentrée, Kazami n'avait parlé qu'à des personnes incapables de se remettre en question, l'accusant personnellement de tout leurs malheurs ... Elle était le bouc émissaire, elle l'avait bien compris. Mais qu'importe, pour elle seule sa fille était importante. La politique de Konoha était perdue depuis longtemps, et Kazami n'en avait que faire à présent.



La jeune femme d'assit sur son lit, dos à la pierre, regardant son ami partir. Elle ne savait que penser de cet échange plutôt unilatéral. Avait-elle bien fait de confier toutes ces informations à Kotaro ? Elles n'étaient pas sensibles ... Mais très personnelles. Qu'allait-il en faire ?
L'opinion de Kotaro sur son ancienne amie ne semblait pas vraiment avoir changé : il lui en voulait. Clairement, Kazami n'était pas sûre de pouvoir le compter comme un allier ... Quoi que ?

Il ne pouvait donner tord à Kazami. Gekido et elle était les bouc-émissaire du véritable coupable. L'inaction de beaucoups. Se laissant endormir par une paix s'en effort. Pensant que les chose coulait de source, alors que la haine gangréné toujours plus le village. Elle avait grandi jusqu'à en prendre le contrôle. Tout le monde avait pu en voir les conséquence. C'était sans doute quelque chose qui finirais par se reproduire. Au fond, c'est ce qu'il avait reprochait à son clan, alors que celui-ci avait choisis de partir. Les Kitto avait souhaiter la paix, mais n'avait pas réellement agis afin de la maintenir par le passé. Les Kitto en avait tiré une leçon et sembler changer en interne. Kotaro comptait en faire de même. Il ne pouvait pas se contenter d'observer le monde s'en agir. Il était un shinobi, il se devait également d'agir. Même si cela ne lui plaisait guère. Un des gardes vint ouvrir la cellule. Alors que la grille ce refermé, il jeta un dernier regard à la prisonnière.


Sans attendre de réponse, il se fît conduire à la sortie. Le pardon était effectivement difficile à obtenir. Il comprenais maintenant pourquoi certain souhaiter voir la tête de son ancienne amie loin de ces épaules. Pourtant, cela réglerais t'il le véritable problèmes? Sa mort soulagerait t'elle la conscience des victimes et de leurs proches? une question qui n'avait encore pas de réponse...