En quête d’informateurs.

Ce personnage était très intéressant. Il avait une manière de faire et d’agir peu commune et son élocution était bien juste. Il me plaisait mais il était un acteur pas si anodin à mon idée. Il était à surveiller.



Un peu te flatterie pour faire crotte l’ego n’est jamais anodin et peu bénéficier d’une certaine sympathie même faussée. Ta connaissance de son maître avait l’air d’avoir un effet que tu voulais provoqué, une légère défensive de sa part qui en disait long, il devait se doutait à ce moment même que tu étais là pour récolter des informations diverses ou que tu étais simplement un curieux qui avait entendu certaines rumeurs sur celui s’il servait. Ça réponse était très vague, il voulait se protéger à ce moment précis.



Il faisait une fixette sur le liquide de son verre. Comme hypnotisé, son maître semblait se préoccuper beaucoup de lui. Était-xd alors une relation comme il te la décrivait ou alors elle était beaucoup plus complexe que ça. Il était prêt à trahir son propre sang pour servir l’empereur, si il était réellement sincère, il sera supprimé de la liste... mais il te restait un léger doute.

Il se relaxait et tu n’étais pas trop d’accord avec ce qu’il disait.



Tu faisais signes au serveur et tu lui demandais de ramener du saké.

Tu n'avais pas l'occasion d'avoir ton ego aussi gonflé de la part d'étrangers. De part ton statut de Miwaku, c'était bien l'inverse qui se passait d'ordinaire. Mais tu savais que sa curiosité avait un but précis. Les détails qu'il venait de donner sur Yuhei n'étaient pas anodins puisque l'annonce de son titre de main n'a pas été révélée encore. Il cherchait à tester quelque chose chez toi, c'est une certitude. Mais il valait mieux éviter de faire un faux pas qui puisse faire pâtir les plans de ton maître.



Tu décides de reprendre ton attitude de bon vivant et de rire un bon coup en sachant que ton compagnon de table n'allait probablement pas réagir. Quelque chose chez lui n'était pas humaine. Mais en le regardant, tu décides d'entrer davantage dans son jeu. Tu n'avais pas vraiment eu de conversations aussi intéressante depuis bien longtemps et il aurait été bête de perdre cela aussi rapidement.


Tu attendais de voir sa réaction et de savoir si son unique but était de s'assurer que l'empereur soit entouré de personne fiable, mais tu viens à réagir sur le sujet du Hattori ayant sorti les deux jeunes femmes de leur quartier.

-

Tu t'arrêtes un instant pour réfléchir.



Tu le vois lever le bras pour commander deux verres de sakés. Tu es ravi de cette offre et lèves ton verre quand celui-ci arrive sur la table afin de trinquer avec ton interlocuteur. Tu souris de nouveau en le regardant droit dans les yeux.



Sans attendre, tu bois d'un coup sans en laisser une goutte et fais une grimace en sentant ce liquide te couler dans le fond de la gorge. Décidément pas le meilleur que tu es bu, mais il allait au moins avoir le mérite de te rendre un peu saoul au vu du degré d'alcool de ce breuvage. Tu décides cependant de briser le semblant de doute qui règne autour de vous et tente d'évincer les soupçons du Miwaku.


Ton regard n'était pas accusateur, mais ta confiance n'était pas totale pour autant.

Il me parlait du poison comme d’une drogue aux vertus bien étranges. Tu n’avais pas entendu les mêmes choses à ce sujet. Il est vrai qu’il est certainement possible de rendre ce poison presque inoffensif pour le dériver en d’autres produits. Ça pouvait être réellement intéressant de s’attarder un moment sur les Hattori et les étudier aussi. Ce n’était pas ta mission, d’autres sont sur le coup. Tout est question de trafic à Kumo sur beaucoup de chose. Nobuhisa redevenait jovial. Il incarnait une attitude heureuse et cela malgré sa situation. Tu étais sûr que son maître lke traitait presque comme son égal. Tu vas éviter de revenir sur le sujet, tu en sais assez comme ça. Il était sage pour son jeune âge. Les connaître étaient là meilleure solution pour les comprendre et s’assimiler à eux. Tu lui laissais le loir sur de continuer son élocution sans l’interrompre. Il trouvait cela banal qu’un Hattori vienne s’occuper d’emmener deux des notre sûrement pour le pouvoir qui réside dans des visions. Ces visions pouvaient s’avérer dangereuse mis en effet. C’était quelque chose à prendre en compte dans l’équation d’une éventuelle rébellion et qui aurait des coups d’avances sur nous grâce aux visions. Il acceptait ton verre et il le boit d’une traite. Tu faisais de nouveau signe au serveur en lui demandant de ramener la bouteille. L’alcool délie souvent les langues et il semblait apprécier cette boisson. Voyons où cela va nous mener.



Tu nous sers de nouveau un verre. Tu souriais intérieurement à ces paroles.





Il te restait subtilement pour en apprendre plus sur toi.



Tu déposais ton verre sur la table.



Tu voulais un peu recueillir les impressions le concernant.

Tu n'avais pas envie te t'étendre concernant les poisons Hattori, t'es connaissances étaient on ne peut plus bonnes, mais si leurs pouvoirs venaient à trop s'étendre cela pourrait bien poser problème au clan. Tu bois sans attendre le deuxième verre en une gorgée, celle-ci passait mieux que la précédente. Il faut croire que ton œsophage était déjà anesthésié par le degré d'alcool qui avait déjà ravagé ton corps de l'intérieur. Tu reprends cette attitude désinvolte et joviale qui te plaît tant pour faire face aux gens.


Tu sentais que la personne assise en face de toi n'allait pas te poser soucis, mais tu n'arrivais tout de même pas à cerner le personnage et cela te frustrais un peu. Mais tu prenais ça comme un défi et l'acceptais avec un grand plaisir. Tu lèves la main et demandes à ce qu'une bouteille soit amenée sur la table. Une fois le breuvage apporté, tu saisis la bouteille et commences à servir ton compagnon de discussion.



Tu te sers un nouveau verre, mais tu te contentes de le siroter ce coup-ci, le tout en affichant un sourire des plus brillant.



Après une gorgée, tu reposes ton verre et reprends un plus sérieux le temps d'une seconde en entendant le nom de Miwaku Raiko. Tu poses ton coude sur la table et fixes un point invisible, tu semblais en pleine réflexion.



Tu reprends sens de la réalité et te recules sur ta chaise adoptant une position des plus relaxée. Tu croises les jambes et lèves la tête avec assurance pour faire comprendre que c'est un sujet que tu avais déjà travaillé dans ton coin.



Tu te rapproches et fais signe à ta nouvelle connaissance de s'approcher à son tour pour ne pas parler trop fort pour une fois.



Tu te recules en lui faisant un clin d'œil.

Tu admirais ton verre de Saké. Ce n’était pas le meilleur que tu avais bu dans tes vagues souvenir, mais il se laisser boire. Tu n’avais plus eu l’occasion de boire ça depuis si longtemps. Tu voulais te tester et voir si tu allais ressentir un effet euphorique du à l’alcool. Ce n’était pas le cas et tu étais légèrement déçu, ton corps est devenu une arme, les substances de base n’ont plus aucun effet sur toi. Cette transformation ou cette mise en condition est du que tu devais garder tes idées clairs dans n’importe quelle situation. C’était efficace, tu n’avais plus besoin d’aucun désir aussi petit soit il car tu étais comme le noir infini qui engloutit toute la lumière. Les ténèbres, le sombre chaos de ton âme était une perfection. Tu pouvais changer de masque comme bon te semblait. Tantôt être cohérent, tantôt fou, tantôt exécrable, manipulateur, suiveur, ect. Tant de choses et rien à la fois. Pas de famille, pas d’amis. Tu n’avais rien pour te faire violence. Tu aimais ce principe, simple et efficace. Tu reprenais ton attention envers Nobuhisa, tes moments d’absences pouvaient être très mal prit par tes interlocuteurs.



Une autre bouteille suivait. Il tenait bien l’alcool apparement. Tu n’allais pas refuser cela, tu étais là pour te socialiser. Il ne croyait pas au hasard des choses. Il avait raison pour cette rencontre voulu. Tu tenais à lui parler car il était le serviteur d’un Hattori important de l’empire.



Nous étions sans doute dans le même clan. C’est pour cela que tu ne répondais pas à cette affirmation ou non. Autant zapper et passer à autre chose afin d’éviter une altercation verbale inutile. Le moment intéressant arrivait, son avis sur ce Raiko. Dans sa réponse, tu le sentais mitigé. Tu finissais ton verre avant de lui répondre.



Tu avais de gros doutes sur le honni du clan et tu comptais bien le surveiller de très prêt via un tiers. Nobuhisa prenait cela à la rigolade. Vrai qu’un bordel de luxe n’était pas commun.



Nobuhisa faisait une déduction des plus perspicace.



Tu te redressais un peu et tu nous servais un nouveau verre.



Tu revenais alors sur un sujet que l’on avait abordé sur cette rencontre hasardeuse.

La discussion continuait et devenait encore plus intéressante, tu n'avais pas réellement profité de ce ce genre d'interaction depuis un bon moment. Il montre les doutes qu'il exerce au sujet de Raiko et tu rigoles de bon cœur en l'entendant, car tu étais tout à fait d'accord avec ce qu'il venait de dire et tu hoches la tête pour le montrer.



Tu prends un air faussement choqué.



Tu prends ton verre et rigole amèrement à tes propres dires.



Tu t'affales de nouveau sur la table et le regarde en souriant.



Tes mœurs étaient légères, mais pas au point de t'abandonner pour de l'argent. Plutôt drôle quand tu repenses à ton statut d'esclave. Mais tu te disais simplement que ce sacrifice pouvait bien être fait si au final, tu arrivais à tirer des informations au sujet des complots de Kumo qui pouvaient contrecarrer les plans du Raikage. Il te ressert un verre et tu te redresses pour le boire après l'avoir remercié d'un signe de tête. Tu t'arrêtes cependant juste au moment ou l'alcool touche tes lèvres.



Tu restes pensif pendant facilement une dizaine de seconde avant de boire ton verre d'une traite.



Tu poses ton verre et essaies d'imaginer à quoi aller bien pouvoir ressembler à la conversation de ces deux individus taciturnes. Allaient-ils communiquer en se regardant dans les yeux et en haussant leurs sourcils ? L'idée te fait rire et tu manques de t'étouffer avec une goutte de saké perdue dans ton œsophage. Il fallait que tu sois dans le coin pour assister à ce spectacle.
Sa réflexion sur le hasard t'intrigue et le regarde sans vraiment te cacher. La politesse n'était pour toi qu'un moyen de ne pas attirer les foudres des Hattori que tu pouvais croiser dans ta vie quotidienne. Tu penches la tête sur le côté en te demandant ce qu'il pouvait bien vouloir dire par cette affirmation.



Tu restes le fixer et t'accoude de nouveau sans détacher ton regard.

Tu l’écoutais dire qu’il n’utilisait pas les femmes du clan. Il semblait légèrement sérieux mais la chute était qu’il utilisait des hommes aussi. Nobuhisa aura presque réussit à te faire rire. Pas une mince affaire, c’était une affaire des plus sérieuses car il avait totalement raison sur l’exploitation de Raiko sur le clan Miwaku. Il n’était qu’un paria à tes yeux, une menace pour notre clan, fait avéré mais aussi pour Kumo sur le moyen terme.



Il aimerait intégrer ce lieu de vice. Mais il avait raison qu’on ne pouvait y entrer et y travailler comme bon lui semble surtout son affinité avec un membre important du clan Hattori.



Tu étais heureux de savoir que tu pourrais y trouver un allié potentiel envers sa personne. Tu buvais alors ton verre pendant le moment d’absence de Nobuhisa qui dura quelque seconde avant de te dire qu’une rencontre serait possible mais qu’il se méfierait tout de même de cette demande particulière.



Il avait failli s’étouffer en riant. Tu te demandais ce qui pouvait bien se passer dans un personnage haut en couleur comme lui. Il était bizarre mais à la fois très intelligent. Sa manière de faire et d’agir n’était qu’un leurre pour laisser croire le contraire éventuellement. Il reste là à te fixer. Se posant des questions sur ton physique atypique. Tu déposais alors ton verre.



Tu reprenais un verre. La bouteille était presque vide.



L’apparence tout n’était qu’un leurre surtout quand tu pouvais avoir mille visages pour devenir n’importe qui au milieu de n’importe quoi.

Tu voyais qu'il comprenait la raison pour laquelle tu souhaitais qu'il passe par l'empereur pour pouvoir conversé avec ton frère, non pas que tu as un doute sur lui, mais de base, Yuhei n'aime pas les discussions et il se serait clairement montré réticent à rencontrer un espion dont il n'est pas certain à 100 % d'être fidèle au Raikage.
Tu écoutes avec une grande attention son histoire au sujet des ombres et du fait de perdre son identité pour n'être personne et tout le monde à la fois et trouve cela intéressant et astucieux.

Il est sur le point de finir la bouteille quand il mentionne le fait que ta fidélité ne soit pas discutable envers Yuhei. Il avait raison. S'il y a une personne en ce bas monde que tu écouterais sans réfléchir, il s'agit bien du taciturne qui t'avais recueillit quand personne d'autre ne souhaitait avoir à faire avec toi. Ton regard s'adoucit ainsi que ton sourire, mais on pouvait y lire une détermination sans faille derrière.

Ton regard se lève et se montre bien moins amical.

Tu fais un sourire et reprends cette attitude frivole que tu aimes tant afin de ne pas imaginer d'avantage de scénarios où ton maître serait en position de faiblesse.

Tu faisais tourner le contenu de ton verre tout doucement. Tu te demandais comment et qui avait inventé cette boisson. Quelle idée avait germé d’un homme pour concevoir un met qui allait devenir aussi savoureux et demandé. Tu adorais l’histoire, l’art, l’architecture. Énormément de choses te fascinaient. Pourtant, tu passais pour une carcasse vide de toute choses. La réalité était si facilement changeable que tu te demandais parfois si tu étais dans une de tes illusions ou dans un monde parfaitement réel. Contrôler le pouvoir de l’esprit avait ouvert le tien de manière à ce que peu de personnes puissent te comprendre et voir au-delà d’une vision qu’ils croyaient vraie, l’esprit n’a aucune limite, ce sont les hommes qui y mettent des barrières de peur, ce n’est que de la peur alors que c’est si merveilleux. Ils ne savent pas la chance de pouvoir acquérir une telle capacité qui y ouvre sur un monde nouveau et inconnu, parfois lumineux et parfois sombre. Tu es l’ombre de l’esprit, l’opposé de tous.



La bouteille se finissait et tu demandait au garçon d’en ramener une nouvelle. Nobuhisa est un être joyeux qui pourrait certainement subir ce nouveau monde sans le craindre de par sa réflexion et son ouverture d’esprit.



Une dévotion de la sorte, tu savais ce que c’était car tu l’avais envers l’empereur. Tu serais prêt à tout pour Kumo et lui. Ta fidélité n’a aucune limite tout comme ton esprit. La discussion me plaisait et son non verbal était des plus expressif. Il passait d’un ton jovial à un ton plus sérieux comme à cet instant précis. Tu prenais un ton tout aussi sérieux quand tu entendais ces paroles.



Ce moment sérieux de sa part et il retrouvait le sourire. Ce qui vient de dire serait bien dommage si ça devait se produire. C’était une éventualité comme une autre, rien n’était certain. Les actes et les paroles peuvent changer l’ambition d’un homme vers le bien ou vers le mal. Son entourage peut en devenir alors influençable et incontrôlable selon le chemin emprunté.



Tu servais Nobuhisa à nouveau et tu en faisais de même pour toi.



Tu te poses des questions auxquelles tu devras trouver une réponse. Avoir un avis était toujours bon à prendre. Tu ne connaissais pas tout et tu ne connaîtras jamais tout.

Tu étais plus qu'attentif à l'explication d'Azamuku au sujet de sa vision sur le fait d'être une ombre. Il est clair qu'être un homme capable d'oublier son visage et de faire oublier son visage était à craindre. S'il excelle dans ce domaine, il serait en possibilité de prendre la place d'un haut dirigeant et de semer le chaos. Mieux valait que cette personne soit dans nos rangs que lâcher dans la nature. Il devait y en avoir d'ailleurs, peut être utilisaient-ils se talent pour simplement être plus libre. Mais tu avais tout de même des doutes à ce sujet au vu de l'endroit ou tu vivais actuellement. Tant que Kumo sera dans cette atmosphère de complots, tu préférais voir le négatif pour mieux prévoir. Tu es plongé dans tes pensées quand il recommande une bouteille et qu'il mentionne ta dévotion pour Yuhei. Tu tiques sur la comparaison qu'il faisait sans le prendre mal pour autant. Tu penches la tête sur le côté et croises les bras pour y songer un instant avant d'éclater de rire.



Tu continues de rire et regagne ton calme et d'un air plus délicat, tu reprends.



Tu semblais sûr de toi, tu étais probablement la personne la plus proche de lui à Kumo avec Hanabi, votre gouvernante qui vous éduquait plus que vos parents biologiques. Il y avait des choses qui resteront à jamais gravé dans vos mémoires et pour toi il était plus de ta famille que ceux dont tu partageais le sang.



Tu le remercies d'un signe de tête pour le verre et commences à le siroter lentement. Le tout en tâchant de trouver la réponse aux questions qu'ils venait tout juste de te poser. Kumo était en perpétuel changement depuis quelque temps. Ni bons, ni mauvais. l'empereur tentait de trouver une harmonie qui ne plaisait pas à une partie de son clan. Il était compliqué de savoir ou Kumo se dirigeait.



Tu reprends une gorgée et hoches la tête pour appuyer les dires de ton interlocuteur.



Sa dernière question te perturbe, car tu ne sembles pas remettre un visage sur la personne en face de toi et tu as peur de paraître grossier pour une fois.

Une ombre, la description que tu faisais de toi pouvait paraître bien étrange. Tu étais même plus que ça mais tu ne pouvais l’expliquer pleinement. Tu es l’homme au mille visages. Tu es toi et tout le monde à la fois. Si tu avais su que le destin te ferait un tel don vu ton vécu, tu n’y aurais jamais cru. Souffrir amènerait à des cadeaux de la vie, c’est paradoxale comme concept. Il était bien présent. Tu étais une dualité dans son paroxysme. T’utilisant et utilisant les autres sans même qu’ils le sachent. C’était un grand pouvoir qui devait servir pour de nobles raison. Tu avais pu atteindre un tel niveau grâce à un entraînement extrême qui t’a été enseigné par un membre de notre clan vivant dans les laboratoires de la zone industrielle. Tu avais ce don en toi enfui et il l’a fait ressortir. Un homme respectable agissant dans l’ombre aussi alors qu’il aurait sa place comme représentant sérieux de notre clan mais il avait choisit une autre vie.

Revenons au sujet de notre conversation ma question avait eu son petit effet. Tu étais amusé intérieurement mais tu n’allais pas le relevais. Tu bois ton verre lentement pour sentir l’explosion de tes papilles gustatives tout en l’écoutant. Tu observais chaque gestes, chaque détails de son visage, la couleur de ses cheveux, une estimation de son poids, son style vestimentaires, sa manière de parler, rien ne t’échappait. Il allait devenir une image de plus dans ta mémoire à conserver précieusement.



Dans ces propos, il y a en effet le facteur à prendre en considération de l’intégration des Kaguya à Kumo. Tu n’avais pas d’avis à ce sujet pour le moment. Ce ne sont que des barbares qui amusent la population dans l’arène.



Tu reprenais.



L’avenir de Kumo reste incertain mais il est possible d’avoir des pistes.



5 années dans notre quartier il avait encore de la famille. Il était mieux la où il était. Ceux qui pouvait quitter notre quartier le faisait sans regarder derrière eux. Ça te fait penser aux 2 soeurs que tu avais rencontré quelques temps auparavant.



Il commençait à se faire tard, tu avais encore du travail à effectuer à travers les quartiers.



Tu allais vers le bar et tu payais la note. Tu regardais alors Nobuhisa que tu saluais.



Tu quittais le bar pour t’engouffrer dans les ténèbres de la nuit.

Tu images ce que le Miwaku en face de toi d'exposer et continue de siroter ton verre en silence pendant qu'il te donne ses projets futurs pour le bien de Kumo. Il est vrai que trouver une femme capable de vous donner les visions serait le mieux pour aider l'empire. Tu décidais cependant de laisser Azamuku se charger de cette tâche car ton objectif principal était les ordres directs de Yuhei et non pas ceux de l'empereur. Tu finis de boire ton verre et et hoche la tête face au serviteur en face de toi. Tu essayais de retenir un maximum son visage et son aura pour tenter de le reconnaître si jamais il venait se présenter devant toi sous une apparence différente.
Il t'annonce devoir partir et tu lèves ton verre pour le saluer.



Tu lances une dernière blague avant de le voir se diriger vers le bar, probablement pour payer. Tu te dis simplement que la prochaine sera pour toi. Tu restes assis encore quelques minutes avant en observant tout ce qui se passait autour de toi. Les regards restent nombreux, tu restes toujours hors de la norme ici après tout. Tu décides enfin de partir et laisses un pourboire sur la table avant de quitter le lieu. Sur le chemin du retour tu passes devant la maison de ton père et jettes un œil en passant devant la fenêtre. Tu vois simplement ton jeune frère en train de faire la cuisine et tu fais un sourire. Il semblait s'en sortir mine tranquillement dans la vie et plus tu avançais dans la vie moins tu ressentais le besoin de passer les voir malgré le lien filiale. Tu ne t'arrêtes pas et continues ta route. Tu avais simplement hâte de rentrer à la maison car Yuhei était là et tu voulais profiter de sa présence car tu ne savais pas quand sa prochaine mission tomberait. En pensant à cela, tu presses le pas vers les quartiers Hattori.