Le sable, toujours le sable et les dunes, cela faisait bien plus d'une heure que Sayuri marchait dans la fournaise aride du désert. Une oasis, c'est ce que la belle Uzumaki etait en train de rechercher au milieu de ce désert l'oasis que le Abura lui avait promis. Au début elle fût dans le déni total, pensant qu'elle s'était perdu, trompé de chemin, ne voulant pas s'imaginer que son amour venait de l'abandonner à la mort dans l'endroit le plus hostile du monde connu. Le soleil tapait fort, il était haut dans le ciel et brûlant comme jamais.
Des heures et des heures l'utilisatrice du Kamiton marcha dans le désert. Le sable était brûlant, le vent était brûlant, et le vent transportait les grain de sable, venant brûler la peau de la belle Sayuri. Plus le temps passait, plus elle commençait à comprendre, plus elle réalisait que Nagisa l'avait trahi, qu'elle l'avait éloigné pour la punir. Mais maintenant, la belle Uzumaki n'avait plus aucune idée de sa position, elle ne connaissait pas cette partie du désert. La température était haute, même les animaux ne s'aventuraient pas dans ce coin reculé, les quelques squelette de lézard, et de ce qui semblait être un fennec prouvait cela.
La mort arrivait à grand pas, la soif, la fatigue, il n'y avait plus aucune chance pour Sayuri de survivre, en tout cas c'est ce qu'elle pensait à ce moment précis, a cet instant fatidique. La vision de la belle rousse était en train de se brouiller quand elle aperçu quelque chose. Une sorte de relief non loin d'elle. Un entré, tel une grotte dans le sable, un abri ! Un mirage ? Elle devait en avoir le cœur net, l'instinct de survie était trop fort, un peu d'ombre, c'est ce dont elle avait besoin à cet instant. Arrivant devant l'entrée, Sayuri compris qu'il ne s'agissait pas d'un mirage.
Pénétrant dans l'endroit, elle enflammait un de ses sabres pour se faire une source de lumière. Une fois fait, elle compris rapidement qu'il ne s'agissait pas d'une grotte naturelle, les murs étaient en pierre, le sol, le plafond étaient en pierre. Des hiéroglyphes incompréhensible orné les murs. Ce fût sa dernière vision, la flamme de l'épée disparu, puis la belle Uzumaki fit un malaise dû à la chaleur et à la fatigue.
« Miko... Pourquoi ?... »
Sayuri ferma les yeux, elle n'était pas morte, mais venait de perdre connaissance dans un lieu étrange et mystérieux.