Récolte des denrées.

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Tu l’avais touché mais pas comme tu le désirais, c’est à dire mortellement. Sale petite traînée, elle cache bien son jeu avec ces aiguilles qui on bloquait provisoirement l’utilisation d’un de mes bras. Une véritable technique de lache, de faible. Comment as-tu vouloir protéger et intégrer cette femme qui nous méprise. Elle ne mérite pas d’être chef, elle ne mérite même pas de vivre, elle fait honte à notre clan et à nos traditions. Tu craquais tes os, elle est vicieuse mais elle n’a pas de puissance physique suffisante pour repousser les assauts éternellement et pour preuve elle recule alors que tu avances. On ne recule pas face à son adversaire, encore une preuve de sa faiblesse. Misérable, pitoyable, inconcevable ! Tu t’énervais de plus en plus et tes instincts reprenaient le dessus. De plus, elle nous injuriait, c’était finis pour elle et même si par chance elle te tue, les autres se chargeront d’elle et ils en profiteront jusqu’à ce que mort s’en suit, ils la feront souffrir comme jamais !

Dialogue de personnage
« Je me suis vraiment tombé sur ton compte. Tu n’as rien à faire ici. Tu n’es qu’une vermine de ce foutu continent. Tu n’es pas digne de nous diriger. Tu subiras le même sort que ces villageois en exemple pour quiconque agira comme toi et je prendrais ta tête qui ornera le mur de nos ennemis. Un trophée parmi tant d’autre. »


Tu allais en finir, il était temps pour elle de rejoindre les autres faibles du continent mais les pieds en avant. On empalera son corps sur une petite embarcation pour que ces restes aillent s’échouer là bas. Les autres kaguya étaient là et ils tapaient les lances au sol, il était tant de mettre fin à tout cela.

Dialogue de personnage
« Tu seras enfin heureuse! »


Tu fais sortir un os au niveau de ton épaule que tu tapes contre ton torse. Puissance et fierté. Tu n’étais pas un faible comme elle, tu courait à très grande vitesse vers elle et tu propulsais. Cornes sur le crâne et tu ne ressentais plus du tout la moindre chose. Tu savais que ta technique te laissait à découvert et de ton bras qui était inapte, tu l’utilisais comme un éventuel bouclier et de l’autre, sans réfléchir tu visais le torse pour lui fracasser le sternum tête la première, mais au dernier moment, tu la taclais, tu voulais lui briser les jambes!

Publié le 08 Décembre 2020 vers 18h

Le fantôme de Kiri

Les Kaguya de l'île était des brutes, puissante mais sans aucune intelligence, et encore une fois je profitais de cela pour prendre le dessus sur un combat soit disant perdu d'avance pour moi. Il serait resté calme, attaquant avec patience, il aurait sans doute pu prévoir le moindre de mes coups. Mais là, il avançait tête baissée, et je n'allais pas lui laisser le temps de s'approcher, j'étais fixé sur lui, sur le moindre de ses mouvements, et dès qu'il commençait à légèrement se pencher en arrière pour me tacler, je sautais en arrière effectuant des mundras, pour cracher une boule dos compressé sur son torce. Mais je connaissais le jutsu qu'il utilisait, pas question d'avancer.

Dialogue de personnage
« Le cerveau est une chose utile, dommage que tu en sois dénué ! »


Je continuais de reculer alors qu'il se relever au sol, il était temps d'utiliser mon arme secrète, celle qui m'avait permis de survivre jusque là, celle qui faisait de moi le fantôme de Kiri.

Dialogue de personnage
« Kirigakure no jutsu ! »


L'océan était partout autour de nous, une immense et épaisse brume se formais, et j'enchaînais en crachant des bulles explosive partout. Leur bruit me dirait où ce situé mon adversaire. Il avait pensé me tuer facilement, mais il venait de me laisser l'occasion de gérer le terrain. Les muscles ne peuvent rien contre le cerveau. Je faisais disparaître la douleur, attendant sur mes gardes, les bulles allait commencer à exploser, et j'allais commencer à faire des dégâts sur cette grosse brute.

Publié le 08 Décembre 2020 vers 20h

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Sale petite peste, elle combat comme une lache. Elle fait honte à notre clan et nos coutumes. Elle ne mérite pas le titre de chef de notre clan et de nous diriger. Nous irions droit à notre perte avec une saleté pareille qui est corrompue par le continent. Comment est-ce possible que des Kaguyas puissent dégénérer de la sorte. Elle t’esquivait en plus et t’attaquait avec une misérable boule d’eau qui t’a fait à peine reculé.

Dialogue de personnage
« Il va en falloir bien plus que ça pour m’abattre ma petite. Si je t’attrape je te broie le crâne entre mes mains et j’offre ton corps au plus détraqué d’entre nous. Ton sort sera pire que la mort, je te le promet! »


Elle continuait de reculer alors que tu avançais vers elle. Une épaisse brume se formait et tu ne la voyais plus alors que des bulles apparaissaient et chacune d’entre elles que tu touchais exploser en faisant un bruit assez fort. Un bon moyen de me repérer mais elle n’allait pas m’inquiéter avec une telle stratégie. Elle ne voulait pas que tu l’approches car elle savait que sa signerait sa mort. Les bulles te faisaient des dégâts mais tu faisais en sortes de tout les éclater le plus rapidement possible, tu ne sentais pas la douleur et tu te moquais bien de tes blessures. Tu en avais vu d’autre depuis ta longue existence, ton corps recouvert de cicatrices en étaient la plus belle preuve. Tu continuais avec acharnement à tours les exploser sur la zone qu’elles couvraient alors que tu y voyais pas à deux mètres. Tu utilisais alors la puissance de ton taijutsu pour tenter de dissiper le plus possible le brouillard.

Dialogue de personnage
« Tu n’es qu’une lâche qui ne fait que se cacher! Bats toi comme une vrai Kaguya, crève ou dégage d’ici! »

Publié le 19 Décembre 2020 vers 20h

Le fantôme de Kiri

Je ne sentais plus la douleur aux côtes j'allais maintenant m'armer de patience, contrairement à lui j'en avait à revendre. Je compris rapidement à quel genre de brut j'avais à faire, il ne tenait pas en place il explosait les bulles qui allait toutes lui faire des dégâts, mais surtout il allait recevoir mes projectile à chaque fois qu'une bulle explosait. Je commençais par un tir d'aiguille bien plus puissant, je ne savais pas ce que je touchais, mais chaque projectile allait le perforer et causer des dégâts internes. Les projectiles allait arriver avec plus de vitesse et de violence que ceux que j'avais craché, et pourtant cela avait déjà fait des dégâts.

L'avantage que j'avais il ne sentait rien, il ne voyait donc pas les aiguilles arriver. Il ne savait pas quand je frappais, quand je déchargeais mon arme. Je faisais toujours en sorte d'être loin de la source du bruit tout en rechargeant mon appareil. Puis je recommençais d'autres aiguilles à pleine vitesse. Encore et encore du moment où j'entendais exploser je faisais cela. Pas un bruit, pas un mot. J'avais envoyé une quinzaine d'aiguilles à grande vitesse. Et je n'étais pas folle, pas un mot, pas un bruit autre que les déplacements, mais le bruits des explosions devait le couvrir. Je continuais cette dance jusqu'à ce qu'il se décide soit à mourir, soit a faire autre chose.

On avait inversé les rôles en quelques instants, pour le moment il ne ressentait rien, mais ce jutsu n'était pas infini, et surtout il ne rendait pas invincible. Combien de temps avant que je touche les yeux, la gorge, les articulations des jambes ? Il devait trouver une autre solution s'il voulait gagner ce combat.

Publié le 19 Décembre 2020 vers 21h

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Tu continuais d’avancer sans relâche en éclatant toujours les bulles et tentant de dissiper ce brouillard de lâche. Tu n’arrivais cependant pas à le dissiper, tu n’en avais pas la réelle possibilité et tu décidais alors de courir droit devant toi en espérant voir une ombre pour te jeter dessus et l’accabler de coup. Tu avais alors une sensation bizarre, tu te sentais essoufflé voir même étouffé. Tu t’arrêtais en te tenant le torse et tu constater une multitude de petit trou sur une grande partie de celui-ci, laissant perler un peu de sang. Tu n’avais rien ressentis et à ce moment tu perds l’usage d’un œil.

Tu ne comprenais pas ce qui se passait, ce n’était peut être qu’une illusion mais ça n’en donnait pas l’ impression. Au fur et à mesure, que tu tentais d’avancer. Tu sentais tout d’un coup une douleur vive envahir tout ton corps et tu tenais l’œil. Ce n’était pas une illusion, elle avait usé de ces aiguilles pour te transpercer le corps et elle t’avait crever un œil par la même occasion. Tu déposais un genou au sol et de rage tu fracassais le sol de tes poings. Tu le confirmais, elle n’était qu’une lâche utilisant des subterfuges vicieux pour combattre ces ennemis. Alors que tu te redressais, trop fier de t’agenouiller, tu n’avais plus la force de bouger. Ton torse te faisant horriblement souffrir et ta respiration devenait saccadée.

Dialogue de personnage
« Tu n’es qu’une saloperie de petite garce. Tu n’as aucun mérite et je te maudis, le clan te maudit, tu es une honte, tu ne mérites pas de porter le nom de Kaguya! »


Tu étais à sa mercis, tu constatais d’autres trou au niveau de tes articulations et une autre douleur vive se déclenchait au niveau de tes jambes qui devenait comme noir. Elle avait dû toucher des artères. Tu rester fier, encore une fois malgré la douleur et tu n’allais pas mourrir agenouillé.

Dialogue de personnage
« Montres toi Inoiya, montre nous ton visage de lâcheté ! »


Tu réussissais à peine à respirer et ta vue se troublait de plus en plus.

Publié le 19 Décembre 2020 vers 22h

Le fantôme de Kiri

J'avais gagné, plus aucun doute possible. Il m'appelait, il hurlait tellement fort je pouvais deviner sa position sans aucune difficulté, mais je ne m'avancerai pas pour autant, je n'allais pas tomber dans son pièges, c'était les muscle face au cerveau, et le cerveau avait clairement gagné. Je prenais conscience, j'étais le fantôme de Kiri ! Une Kirijin ! Pas une Kaguya, je devais trouver un moyen d'aider les Kirijin encore sur le continent. Les Kaguya serait en sécurité sur l'île s'ils ne faisaient pas de vague. Mais il y avait encore des Gaikotsu, des Mitsuna, Nowaki, Kitaï, Kazumi ! Je devais aider mes amis, mon peuple !

Je déchargeait une dernière fois mon arme, et lancer la salve ultime en direction de la voix de l'homme. Il ne bougeait plus, il allait forcément en prendre quelque une dans la gorge. Sans un mot, sans rien de plus, sans même vérifier sa mort je partais sur cette île maudite, le brouillard caché ma fuite, je ressentait une immense douleur tout à coup, il l'avait fracturé quelques cotes mais rien d'insurmontable. Sur la berge d'un village abandonné, je trouvais une barque avec des rames j'avais appris à naviguer à trouver mon chemin en mer avec ces brute, j'allais regagner le continent.

Dialogue de personnage
« Jamais plus je ne m'eloignerais de qui je suis. Je dois retrouver Nowaki et Kitaï ! »


Je rame en souffrance, mais j'étais loin d'être à l'article de la mort. Une fois sur le continent je trouverais sans doute quelqu'un pour m'aider. Rien ne pouvais être pire que cette île, que ce peuple de baiseur de chèvre, je n'étais définitivement pas comme eux, et je ne le serais jamais !

Publié le 19 Décembre 2020 vers 22h

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Tu continuais jais de hurler pour le peu de force qu’il te restait mais Inoiya ne se montrait pas, elle n’avait même pas le courage de te regarder dans les yeux. A ce moment, tu sens des aiguilles te pénétrer au niveau de la gorge et tu n’arrives plus à parler. Tu aurais voulu plonger ton regard dans le sien une dernière fois pour lui montrer la honte que tu ressentais envers elle. La douleur commençait à ne plus se faire ressentir et tu tomber à genoux.

Le brouillard se dissipait peu à peu eut voyais des silhouettes se dessiner et s’approcher de toi. Cette lâche aurait eu l’aide d’autres personnes que ça ne t’aurait pas étonné, mais tu constatais que ce n’était pas ça. Tu voyais alors tes deux fils, ce n’était pas possible, ils étaient morts il y a plusieurs années dans un combat lors d’un conflit dans notre clan. Ils avaient perdu et ils avaient été exécuté, tu en avais ressenti de la tristesse mais ce sont les lois de notre clan mais ils étaient bien vivant face à toi, souriant et te tendant chacun une main pour t’aider à te relever.

Dialogue de personnage
« Shiku et Kuro... je... je ne comprends pas. »


Ils étaient paisible et j’avais ce même sentiments. Ils me disaient alors de les suivre, qu’il était temps pour moi de rendre les armes et de vivre une vie sans violence loin de nos terres. Tu te laissais porter par tes deux fils, tu avais retrouvé des êtres cher à ton cœur et tu ne voulais pas les perdre à nouveau. Tu regardais une dernières fois en arrière et tu voyais ton corps gisant au sol. C’était donc ça la mort, mais il y avait une vie après. Tu avais vécu beaucoup de combats et beaucoup d’aventures, tu n’avais pas de regret sur la vie que tu avais choisit mais il était maintenant temps pour toi de passer à autre chose.

Publié le 19 Décembre 2020 vers 22h