Réunion sensei et élèves

Mon plan avait été créé, je devais maintenant attendre que la boite au lettre se remplisse tranquillement. Sortant de mon bureau, j'attendais désormais dans une pièce ou beaucoup de mon se réunissait pour parler ou boire du thé etc. Cela me ferait un peu prendre l'air. J'avais désormais une mission à donner à mes élèves, une mission de la plus haute importance. J'allais également être de la partie. Je devais leur expliquer mon plan dans les détails afin de savoir s'ils me suivraient ou non dans cette démarche. J'avais déjà leur réponses en tête mais sait-on jamais.

Buvant un petit verre tranquillement posé devant une fenêtre donnant sur la cours et le gros arbre ou j'aimais me reposer, je regardais les gens passer. Puis je vis enfin arriver mes deux élèves au loin. Finissant mon thé d'une gorgée, je me positionnais non loin de la porte principale afin de les accueillir. Seika était certainement jamais venu a l'intérieur de la bâtisse du clan Chikara. Cela allait être une première pour lui. Alors que je les voyais arriver, je leur montrais alors la boite au lettre.



Mon ton était totalement sérieux et pour une fois je ne faisais aucune farce. Les deux en face de moi me connaissaient assez bien désormais. Quand j'utilisais cette voix, cela ne présageait rien de bon. Je parti alors dans mon bureau. Je les laissais alors seul un instant dans le couloir afin qu'il remplisse le bulletin correctement. Je m'asseyais sur le bureau afin de leur faire face. J'attendais que chacun pénètre dans la salle avant d'expliquer mon discours. Par où allais-je commencer ?

Hikaru avait déjà rejoint leur maître et le Kitto ne tardait pas à en faire de même. À l'intérieur d'une nouvelle pièce annexe, les mains dans les poches de son kimono et le regard remplit de sincérité, il s'adressait à son maître.



Le discours de Chikara Hinae résonnait à l'intérieur de lui. Un discours remplit de confusion, d'a priori et d'aucune réflexion. Elle était l'exemple parfait d'une shinobi ne prenant d'aucune manière l'ampleur des événements à venir. La patience n'était pas le chemin à suivre, il fallait agir et vite. Comment osait-elle assurer la tyrannie de son maître ? Comment croire que le but était de créer une liste pour déclencher une guerre contre des avis opposés ? Ce qui l'agaçait au plus haut point, c'était sa façon de couper court à toute discussion. Le débat était impossible et aucune réponse n'était permis. Comment pouvait-elle être aussi sûr de ses propos sans réellement connaître toute la teneur des intentions d'Oni ? Ce n'était en tout cas pas une alliée efficace et le Kitto n'avait aucune raison de faire confiance à cette femme. Il espérait que cette dernière soit l'exception et que la tendance irait contre la prise de pouvoir de Mako. Plus ils seront nombreux, plus ils seront entendus.



Le blondinet soupira un instant puis reprit.



La ligne qui séparait le bien et le mal était fine, surtout dans ce type de situation. Mako avait les mots, les gestes et elle savait comment agir pour décrédibiliser n'importe quel mouvement. Quoi que l'on pense, cette femme devait être craint et son pouvoir n'était pas à prendre à la légère.



Demanda-t-il en regardant alternativement son senseï et son équipier.

La tension est palpable, les avis divers et variés. Tu n'arrives plus à savoir où penser, tu veux suivre ton sensei et en même temps, tu veux rentrer chez toi t'assurer que ta famille est en sécurité. Tu savais que ton père n'approuverait pas ton choix, il avait trop perdu dans les derniers incidents de Konoha. Mais tu refusais de rester les bras croisés. Tu te refuses de vivre sous le joug d'une dictatrice et tu as de la peine pour le village dans lequel tu vis désormais. Tu ne le reconnaissais plus. Hinae était hors d'elle des actions d'Oni. Il est vrai qu'un bavard dans le clan et tout pouvait tourner au vinaigre, mais tu espérais que tout s'arrange pour de bons.

Seika arrive et te salue, tu le lui rend avec un signe de tête. Il se propose d'être le garde-fou d'Oni. Tu es d'accord avec ça, mais espère simplement ne pas à en avoir à utiliser ce rôle. Cela voudrait tout de même dire que la situation avait dérivée. Tu restes silencieux, les poings serrés, la mâchoire contractée, le souffle court. Tu n'étais pas stable, ton caractère de jeune impétueux et rebel était à double tranchant dans cette situation.

Cette femme d'une chevelure blonde me jeta les bulletins aux pieds devant mes élèves et me faisait la morale. Chaque personne ici présente ne pouvait savoir que j'avais eu la visite de Mako la nuit dernière. Je devais garder cela secret. Elle me faisait alors la moral et me demandais de faire cela dans le secret. Je n'avais pas réellement envie de me cacher. Je voulais faire face à tout cela, mais je compris où Shirona voulait en venir. Il y a avait beaucoup de monde derrière tout cela.

Cependant, je savais que cette femme était avec nous désormais. Je présentais alors cette femme devant mes élèves. Sortant mon éventail pour me cacher derrière gentiment je dis :



Je riais fortement, j'avais besoin de détendre l'atmosphère pour tout le monde. Je percevais chaque mouvement de mes élèves. La frustration et la colère pouvait se faire ressentir sur le corps et le visage d'Hikaru. Quant à Seika, il était si proche de moi et cette confiance et cette fidélité, il ne souhait pas me le montrait comme son camarades, mais il devait tout autant être affecté à la situation. J'étais également dans un climat intérieure assez particulier. J'avais réussi à faire changer d'avis cette nuit la dictatrice, mais je ne pouvais en parler.

J'espérais que cette petite boutade avait détendu l'atmosphère et j'espérais que l'intendante puisse comprendre mon intention face à ces jeunes shinobis. Puis je repris alors juste après :



Respirant tranquillement, je devais maintenant expliquer le pourquoi je les avais réunis ici. Je rangé mon éventail et repris un faciès plus sérieux :



Prenant une grande inspiration j'allais leur expliquer ce que je voulais faire :



Je laissais un petit blanc et je me repositionnais sur la table correctement pour continuer :



Puis je me rappelais alors des mots donné par Mako la nuit dernière et cela raisonnait en moi :



Ils devaient peut-être maintenant commencer à savoir où je voulais en venir.... Je dis alors :



La mission était tombée, maintenant il fallait savoir comment nous allions nous y prendre pour approcher les personnes. Me levant je sorti de la pièce pour récupérer la boite au lettre. Fermant de nouveau la porte, j'ouvris la boite afin de ramasser les quelques bulletins afin de lire les noms. A part Tensai, Hinae n'avait pas souhaité faire son choix et je comprenais. Tensai allai certainement pouvoir nous rejoindre. Il était Jonin et un allié de force. Je regardais ensuite Shirona et lui dis :



J'espérais que ce moment puisse apparaitre dans un avenir proche. Il fallait demander au peuple s'il souhaiter s'unir, devenir une seul et même entité afin qu'on puisse reconstruire Konoha selon des idéaux communs et non en suivant les idéaux d'une seule et même personne...

Décidément, c'était plus la fête de l'andouillette du village, qu'une réunion de rebelle voulant renverser le gouvernement. Oni était un peu lourd, et sa blague ne me faisais pas du tout rire. Oni comprenait il la gravité de la situation ? Ou était-il simplement encore un de ses quarantenaire à ide de pouvoir. Cette génération faisait décidément énormément de mal à Konoha. Et encore une fois c'est ma génération qui allait devoir payer les pots cassés.



Je reprenais mon air sérieux, regardant un petit peu chaque personne dans cette assemblée.



Oni était bien pour être chef de clan, mais certainement pas pour être Hokage, je précisais bien les choses pour être sûr qu'il ne se fasse pas de faux espoirs. De plus, il commençait à se prendre pour le Hokage à donner des "missions de rang B".

Tu n'avais pas la tête à rire en écoutant Oni parler de Shirona. Tu te contente de faire une courbette et de rester dans le silence de peur de dire une chose qui pourrait déplaire. Shirona marquait un point sur le fait que vos actions pouvait être considérées comme étant de la haute trahison auprès des autres membres du clan. Tu ne savais plus ou donner de la tête. Tu voulais réparation de la part de Mako, mais tu ne voulais pas plonger ton village dans une seconde confrontation meurtrière. C'était le risque de ce pari. Même si l'idée de pacifiquement contrer les idées de la dictatrice était là. Une oreille mal placée pouvait tout faire chambouler. Qui nous assure que l'entièreté du village allait accepter l'offre? Tu allais probablement devoir te montrer discret durant ta recherche de mécéna. Tu savais bien qu'une personne ou deux aller se montrer d'accord avec l'idée, mais que se passera-t-il si ça s'ébruite.



Tu es jeune et plein d'espoir, tu ne connais rien de la vie pour le moment mais tu souhaites le découvrir. Tu iras voir auprès des gens que tu sais de confiance et tentera de parler à ceux qui ne te poignarderont pas dans le dos. Tu ressentais une boule au fond de ton ventre, tu ne savais pas s'il s'agissait d'un stress intense, d'un ulcère ou simplement de la peur. Tu tenais à ton village, mais ta famille était ta priorité, il fallait que tu sois certain qu'ils soient tous en sécurité. Ton père ne pourra pas se battre pour vous protéger cette fois. Ce sera ton devoir si la situation tourne au vinaigre.

La tension était de plus en plus palpable et rendait mal à l'aise le jeune blondinet. La présence de Shirona n'arrangeait pas la situation. Son tempérament autoritaire ne ménageait pas son sensei. Le Kitto ne pouvait pas se mentir, il avait peur. Les choses sérieuses commençaient et par forcément de la bonne manière. Si les plans de son maître sont idéals pour contrer Mako, le vote public chez Chikara n'était peut-être pas ce qu'il y avait de mieux à faire. La discrétion n'était pas de mise. Pourtant, le blondinet s'efforçait de croire en son maître. Il l'avait suivis, il lui faisait confiance et n'avait pas cherché à le contredire. Néanmoins, l'évolution des choses et les multiples réactions autour du shinobi le poussait à réfléchir. Prenaient-ils la bonne direction ? N'agissaient-ils pas tête baissée de colère ?

C'est alors qu'Oni présentait la suite de son plan. Une mission simple sur le papier, mais presque insurmontable lorsque l'on prenait en compte tous les éléments. Il était nécessaire de trouver des alliés pour arriver à leur fin. Cependant, ce n'était pas de la discrétion qu'il leur faudrait, c'est encore plus. Les deux élèves étaient-il capable de remplir une telle mission ? La mort les guettait à la moindre erreur. Mako n'hésitera pas. Alors que Seika tentait d'imaginer des plans efficaces pour réussir la requête de son maître, il s'inquiéta des feuillets en sa possession.



Le Violet iridescent se sentait mal à l'aise de dire une telle chose face à Oni. Il avait le sentiment d'agir contre lui, pourtant, ce n'était qu'un simple avis, une proposition qui lui tenait à cœur. Peut-être était-ce la suite de ses pensées qui le rendait ainsi. Regardant simultanément son maître, son équipier et Shirona, il hésitait à prendre la parole. Shirona le prenait alors de court, insistant sur la place de Kimino.



Hikaru prenait la parole, remettant lui aussi en doute le bon déroulement de la mission. Non pas par manque de confiance, mais pour prévenir des risques encourus. Le Kitto le suivait dans cette démarche.



Continuant de regarder son maître, il lui faisait comprendre qu'il gardait foi en lui et qu'il faisait confiance en son jugement.



Puis le blondinet se tourna vers Shirona. Peut-être avait-elle une autre idée derrière la tête, une marche à suivre ou quelque chose d’autre.



Cette femme n’était pas une shinobi banale. Être l’intendante de l’Hokage était un honneur qui en disait long sur ses capacités. Elle sera sûrement de bon conseil. Le Violet iridescent termina sur un point.

J'écoutais les interventions de chacun de mes alliés. Chacun donnait son avis, et c'est ce que je voulais. Je leur répondais alors :



Puis regardant Shirona je la rassurai alors :



Je regardais le sol d'un air triste, avais-je perdu cette confiance que pouvait éprouver mes élèves envers moi. Mais chaque personne pouvait se tromper. J'avais admis ma faute sur cette idée. D'une part, il ne pouvait pas réellement comprendre la situation dans laquelle j'étais. Cette intervention cette nuit m'avait plus que chambouler. Je ne pouvais en plus rien leur dire... Désormais j'allais devoir trouver un autre plan.

Je regardais alors Seika dans les yeux suite à son intervention puis je dis :



Prenant la pile après avoir bien regardé les noms, je l'emmener proche du lavabo. Tirant le tiroir du meuble à ma droite, je sorti une allumette pour bruler les feuillets. A la suite de cela, je fis couler de l'eau afin d’arrêter les flammes. Le papier était complétement noirci et craquelé. Je les évacuais alors avec l'eau pour faire disparaitre leur trace. Revenant proche de mes camarades, une seule chose nous faisait défaut :



J'avais émis des hypothèses qui me passait par la tête, des idées avec lesquels ils seraient facile d'agir ? De ce chemin là, j'imaginais désormais d'autre alternative. Sans scrupule je me posais complétement sur le bureau en tailleur afin de fermer les yeux pour réfléchir. J'essayais de m'imaginais plein de situation. Une idée allait-elle en jaillir ? Mako nous avait mis dans une sale situation en terme de communication. Je ne voyais qu'une seule hypothèse pour l'instant. Ouvrant mes yeux je dis alors :



Ce n'était qu'un début de plan que j'essayais de travailler. Puis je rajoutais alors :



Je continuais alors à chercher des idées en énonçant ce que je pouvais trouver au cas ou. Nous devions partager nos idées afin de réussir à trouver quelque chose :



Je réfléchissais et je dis alors :



Je ne savais pas si j'avais trouvé la bonne idée, mais elle était sous mes yeux depuis le début, avant même que cette histoire naisse. Je voulais montrer au village avec mon équipe que l'union fort entre clan pouvait exister. L'image de la Team Rengo allait-elle sauver Konoha ?

J'écoutais attentivement chacun de mes interlocuteurs, les élèves étaient plus sages que leur maître. Il avait des idées, la plupart était saugrenu, et il semblait les mettre en exécution sans reelement réfléchir. Il cherchait compliqué là où les choses étaient simple. Et simple là où c'était compliqué. Je me demandais de plus en plus si j'avais misé sur le bon cheval.

Lorsqu'il parla de sonder les esprits, extirper les vérités. Je me reconnu, j'avais ces capacités, il ne connaissait pas mes capacités, je ne lui avais pas fait de démonstration. J'allais lui en parler quand il se mis à parler de Kazami. Il était totalement hors de question de mêler cette femme à nos affaire. Il voulait utiliser la génocidaires Uzumaki ? Il était devenu dingue ?



Après ces paroles, mes yeux se mirent à briller. Je fit des mundras et au yeux des trois hommes, la pièce changea. Elle se transformait en un Konoha en flamme, des cadavres jonchant les rues. Plus aucune âme qui vivent.



Je mettais fin à l'illusion, je voyais bien que j'avais capté l'attention des mâles de cette pièce.

La destruction de ces bulletins étais à ton sens une bonne idée et il était préférable de se débarrasser des preuves incriminantes. Tout était flou, tu avais le crâne plus que retourner par toutes les informations qui venaient de te tomber dessus. Quand Oni éprouve l'idée d'utiliser Kazami pour son plan, ton sang se glace. Tu le regardes, abasourdi par le propos qu'il vient de faire. Tu bouillonnes et écoutes Shirona avant de cracher le fond de ta penser sur cette idée.



Comment cette idée pouvait même être une possibilité? Rien n'allait plus désormais. Shirona vous mets tous dans une illusion vous montrant le désastre à venir si jamais la situation ne s'améliore pas. Les cris, les flammes et l'odeur du sang te revienne en mémoire et tu tentes fermer les yeux pour ne pas avoir à subir de nouveau une telle situation.



Des mots qui reflétaient ta rage et ton impuissance dans cette lutte politique. La tuer était probablement la meilleurs solution à tes yeux. Mais tu n'allais pas être d'une grande aide, tu n'es qu'un Genin. Tu ne voulais pas te mentir à toi même et prétendre une force que tu n'as pas. Si tu n'avais pas arrêter d'étudier pendant cette année en t'occupant de ton père, tu aurais pu être plus utile en passant ton diplôme de chunin. Mais le destin était plus capricieux.

Seika se sentait rassuré de savoir que les bulletins de vote allaient être détruit. Ils étaient une source d'information bien trop dangereuse et les personnes présentes dans cette pièce étaient les premiers concernés. Oni se posait la question sur l'existence d'un pouvoir capable de faire parler les gens, mais le Kitto ne croyait en cette possibilité. C'était un pouvoir bien trop ambitieux et même si les shinobis étaient capables de grandes prouesses, celui-ci était bien trop grand. Peut-être sous-estimait-il le pouvoir du chakra ?



Le blondinet était optimiste. Chacun d'entre eux finirait par faire des rencontres intéressantes pour faire grandir la rébellion. Construire cette alliance ne se fera pas du jour au lendemain. Subitement, son maître proposait une nouvelle solution. L'option Kazami. Il n'en revenait pas, mais n'était pas étonné d'une telle idée. D'après Oni, l'Eisenin serait malléable pour préserver sa liberté. Pourtant, le Kitto n'était pas aussi sûr que son maître. Pendant un instant, le blondinet avait envisagé ce plan. Kazami ne semblait pas si méchante au premier abord, mais à force de la rencontrer pour solutionner ses douleurs chroniques, il avait ressenti une haine grandissante en elle. Qui des deux nouveaux frères avaient raison ? Oni ou Seika ?



Il s'arrêta un instant puis fût interpellé par la réaction de son ami aux cheveux bleus. Oui, Kazami était un monstre.





Shirona n'avait pas tardé à régir non plus et elle se refusait à accepter la nouvelle idée d'Oni. Le Kitto se résignait, il fallait que le choix soit unanime. Brutalement, Oni, Hikaru et Seika avaient été emportés dans le passé et pas n'importe lequel. La vision n'était que feu et sang. Des corps fraîchement tués. Des enfants, des femmes, des hommes. On y voyait des habitations brûler et des cris de douleurs. Cette vision était insoutenable et des larmes apparaissaient sur les joues du blondinet. Non... Konoha ne devait pas revivre cet enfer. Ce n'est pas ce qu'il souhaitait et ce n'était pas la volonté d'Oni non plus. Il le savait. Il lui faisait confiance.



Le Violet iridescent sécha ses larmes puis interrogea l'intendante de l'Hokage.





Seika réfléchissait, mais rien ne lui venait en tête. Il n'était pas doué pour ces jeux politiques. Son inexpérience dans ce domaine se faisait ressentir. Puis, lui vient alors les noms cités par son maître.



Le débat stagnait. Oni proposait des solutions, mais elles comportaient des risques. Si le choix n'était pas unanime et que chacun agit de son côté alors Konoha sera perdu.

J'avais fais ce que j'avais à faire ici. Je ne pouvais plus laisser Oni gerer un tel plan. Il allait mourir, ainsi que les deux hommes avec lui. Aucune discrétion, des idées s'apparentant à de la haute trahison je devais agir autrement. Seule pour le moment. Je devais essayer d'éviter une guerre civile. Je venais de le décider, demain matin, j'irais parler avec Mako. Et je la tuerais si elle n'entendait pas raison. Je regardais les hommes présents ici une dernière fois et dit.



Sur ces paroles énigmatiques, je quittais l'endroit sans un mot de plus. Disparaissant comme la sirène que j'étais. Je devais agir, seule, sans risquer la vie de tout ces hommes qui n'étaient pas prêt pour un conflit d'envergure. Que faisait Kilino ? Il devait revenir, seul son retour pourrait éviter tout cela. Au niveau de la porte, je me retournais une dernière fois et dit.



J'avais pris ma décision, j'allais essayer de régler le problème seule. Si je n'y parvenais pas, ce serait la guerre !