Pas de doutes, son tracé est bien plus fluide que le miens, ça fait pas un plie... toutefois je trouve que ça manque... de précision. On dirait qu'il dessine... c'est étrange... personnellement quand je trace un fuinjutsu c'est plus... je sais pas... comme une formule mathématique. Un ensemble de données que je compile, j'organise, je structure... mais tracés ne laisse aucune place à la moindre fantaisie... en gros... il me manque se que papa appel la passion.
Seiji pratique la même technique que moi, nous avons certainement lue les mêmes ouvrages de référence et pourtant... c'est comme si je voyais un tout autre jutsu, un autre art.
« … C'est pas mal comme approche... Je crois que c'est mon tour de te montrer mon avancement. »
Bon, première étape, bien choisir le matériel, comme je risque de vouloir faire plusieurs essaie autant tous sortir. Et puis, on ne sait jamais mon camarade d’entraînement aura peut être envie de varier le matériel lui aussi.
Du coups, mon coffret à encres, elles sont pas encore toutes au point. Avec ça on vas prendre trois rouleaux de pinceaux, pas besoin de tout sortir je vais me contenter de ceux en martre, bambou et... pas ça... ça non plus à voilà ceux en soie de porc. Passons aux supports, pour le moment les bandes de tissus et les parchemins standards ça serras suffisant.
Et hop c'est partie on s'installe.
Alors, niveau ancre je dirais la version quatre, des huit que j'ai préparé, ça reste la plus grasse et la plus pigmenté. Du coup si je combine ça avec un pinceaux moyen en poils de martre, je réduis la friction sur le tissus et par la même occasion je gagne en vitesse de tracé. La combinaison risque de donner un résultat correct du coup c'est le moment de tracer.
On malaxe le chakra, puis on insuffle celui-ci dans le pinceau et on prélève juste ce qui faut d'encre, ni trop sinon le motifs dégorgera, ni trop peux, afin de ne surtout pas rompre le tracé en tombant à cours.
Enfin on visualise une dernière fois le motif du seaux et go.
Tracer le cercle central qui comporte la formule de scellement. Mince, les poils de martre sont beaucoup trop souple du coup c'est certes rapide mais bien trop épais, tempi je devrais faire avec.... C'est pas encore ça mais la formule devrait fonctionner. Du coup on écrit le kanji de l'arme dans le cercle, parfait, on peut passer à la dernière étape. Je pose mon kunai au centre, on malaxe le chakra... normalement, le ratio c'est trois fois la quantité de chakra utilisé pour le tracé... si je suis mes sensations ça devrais le faire... je dois avoir une marge d'erreur de trente pourcent, c'est pas l'idéal, mais j'ai déjà réussie avec un marge d’erreur plus grande.
Kuchiyose – Raikô kenka !
Yes ! C'est passé, l'arme est enfermé.
« Bon, j'ai eu un peu de mal pour faire le tracé, mais le scellement est passé. Par contre, je suis pas convaincu que l'arme puisse ressortir facilement. »
Une dernière grande inspiration, c'est le moment de vérité. Je malaxe environ deux cinquième de la dépense total du chakra consommé pour la conception du seau pour le rompre et … et... allez !
« Dommage... je peux pas l'ouvrir sans le forcer. Celui la non plus n'est pas utilisable au combat.
»