Elle était partit aussi vite qu’elle était venu. Cette femme était des plus étranges et elle jouait beaucoup trop à ma chef à mon goût. Je ne prenais pas la peine de lui répondre, elle m’ennuyait déjà en fait. Je n’avais plus qu’à me remettre à méditer sur moi même comme je le fais depuis que je suis enfermé. C’était amusant, un jeu, j’avais tellement pu les berner sans aucun souci, dommage que je n’étais pas plus âgée. Je serais sans doute très loin de Konoha maintenant et j’aurai continué mes petites activités en toute impunité. Soit, elle devait revenir sous peu, je n’avais plus qu’à attendre, en même il n’y avait rien d’autre à faire ici. La prison de Konoha n’était pas vraiment fait pour un enfant comme moi enfin... j’entend à nouveau des sifflements, ça doit être la femme au gros seins. Les prisonniers d’ici, comme des animaux en avaient sans doute pour des besoins primaires comme les pervers qu’ils sont. J’aurai pu aider ici, en tuant les prisonniers et y faire des expériences avec les sceaux. Elle était de nouveau face à moi et elle me parlait d’une solution. Au vu de sa demande on dirait une mise à mort, je luis souris.
« Oui, dis leur que ce sont des ratés, des faibles et que j’aurai du m’occuper d’eux en premier. »
Je dis tout cela avec un grand sourire à la dame. La solution qu’elle proposait, elle était assez étrange. Elle voulait m’effacer la mémoire ou mon esprit. Hm, un fait plus acceptable que la mort. Je réfléchis quelques secondes.
« Tu veux effacer ce que je suis afin de pouvoir me réhabiliter à une vie normale au sein de Konoha? Ai-je seulement le choix? Je suppose que si je refuse, je reste dans ce trou à rat pour un long moment. »
Je fais quelques pas en me tenant le menton. Dans un sens, je ne me souviendrai de rien donc je ne serais pas horrifié de rester à Konoha. Pourrais je retrouver mes souvenirs ? Ça sera à voir ça, je la regardes en soupirant.
Je dis simplement ça avant de reprendre.
« Ma volonté est de ne pas être remit dans la famille ou un proche. Je ne veux plus rien avoir avec ces déchets. Pour le reste, je m’en fous, je ne me souviendrai de rien et je préfère ça à la mort. On doit appeler ça une sage décision non? »
Je souriais horriblement.
« Pas la peine de traîner. Fais ce que tu as à faire? Ah!! Tu pourrais peut être m’adopter après tout non? »
Je ne pouvais pas m’empêcher de rire à cette idée.