L’ennui des détenus

Je me réveille avec un gros mal de crâne et un hématome. J’avais pas mal saigné et cet idiot n’avait pas appelé de l’aide. Il lèche le sang au sol et il tente de se relever mais il voit une aiguille enfoncé dans son genou. Le petit chenapan, il avait donc profité de mon inconscience pour me faire mal. Un adore ça, sentir la souffrance qui intensifie mon désir intense. Je retires cette fougues aiguilles et je me met hors de portée un cours instant pour le laver le visage. Mon genou me faisait souffrir mais c’était jouissif. Il ne se rend pas compte qu’il me fait horriblement plaisir.



Je penses à toutes les souffrances que j’ai subis. C’était tellement bon que tu jouissais dans ton pantalon. Konton rit aux éclats et il va se nettoyer.



J’imagine plein de choses que je pourrais lui faire vivant ou non d’ailleurs.



Vu qu’il ne veut pas jouer le jeu, autant montrer mon vrai visage et lui cracher mon venin. C’est qu’un petit merdeux.

Cet homme était fou, jamais il ne devait être libéré dans la nature, jamais le Hokage n'allait l'aider, au contraire il comptait bien le faire disparaître de ce monde dès qu'il en aurait l'occasion. Il voulait montrer son vrai visage, il allait aussi voir celui de Kimino, pas le Hokage essayant de garder une bonne entente diplomatique, mais l'homme capable de mener un genin aux porte de la mort pour l'avoir bousculé.

Il dégoûtait Kimino, il venait reelement de se vider avec la douleur ? Le monde civil regorgeait de tellement de personne dangereuse et étrange, Kimino avait presque envie d'aider les villes lui-même face à cela, mais faudrait il encore qu'il soit libre pour ça.



Kimino attendit quelque seconde et repris.



L'ambiance était mauvaise entre les deux, et Kimino allait tenir sa promesse, même si cela devait ruiner les plans de la citadelle. Après tout, il en avait rien à foutre des plans de Tsuyo...

Mon petit jeu, il est sérieux lui ahaha. Il est la chose ici, il n’est rien qu’un prisonnier comme les autres qui ne peut utiliser son chakra. Nous sommes égales pour le moment et je compte bien que ça le reste comme ça.



Je vais l’épuiser mentalement et il me menaçait encore de me brûler, de me faire devenir cendre. Je rigoles encore plus fort.



Je prends alors un caillou et je le tape à intervalle régulier et fort sur l’évier de la cellule.

Avec son niveau en Taijutsu, Kimino pourrait rompre le cou de ce malade avec ou sans chakra. Il était puéril, il pensait réellement qu'un ninja d'élite comme le Hokage allait craquer face à du bruit et à quelques insultes ? Kimino se mis en position de méditation sur son lit, il gardait les yeux ouvert, souriait en pensant au moment où cet homme allait être devant lui sans cellule pour les séparer. La meilleure réponse à un malade de la sorte était de ne pas lui répondre, et Kimino était fort à ce jeux.

Il restait là laissant ce fou crier dans sa cellule sans rien dire, sans répondre à aucune insulte, le laissant simplement s'égosiller comme le malade qu'il était. Il pensait changer Kimino avec si peu ? Le Hokage n'était pas un esprit faible comme lui, ce Gaikotsu était un malade de la pire espèce, et sa mort enlèvera un fardeau de plus à l'humanité.

Plus un bruit ne venait de la cellule du Hokage. Il allait laisser ce pauvre fou suffoquer tout seul dans ses cries.

Il ne répondrais pas à mes provocations, il pensait que j’allais me fatiguer pour autant. Ça me faisait bien rire. Je continues mes bruits en tapant de plus en plus fort pour faire gronder ma cellule. Je ris sans cesse comme le pauvre fou et malade mental que je suis et j’allais continuer à le provoquer.



Je devenais fou, une vrai frénésie et j’en arrache le lavabo pour le claquer contre le mur alors que les autres détenus se mettaient aussi à hurler de mécontentement. J’allais garder tout le monde en éveil. Ces pauvres déchets ne méritent pas le repos !



Je continues à taper de manière incessante, j’étais totalement enragé.