Sieste post-méridienne

C’était un bel après-midi ensoleillé, le genre de temps rêvé pour se rendre au terrain d’entraînement et se dépenser jusqu’au soir. Mais il y avait un arbre, à l’ombre du soleil tapant sur la grand place, principale attraction du village, qui était l’endroit parfait pour glander, lézarder et taper un somme. Ichigo y était, perché — ou plutôt affalé — sur cet arbre, et non pas au terrain d’entraînement.


Il s’étirait, baillait, et puis sortait un sachet plein de confiseries d’un des étuis de son équipement censé accueillir un kunaï. Sa flemmardise n’avait d’égal que sa gourmandise. Il excellait dans les deux matières comme il le prouvait là, allongé sur une branche, s'empiffrant de friandises en ne semblant jamais avoir la bouche pleine ; il faut dire qu’elle était bien plus grande que sa réserve de chakra.


Rêvassait-il, sucette à la bouche, en regardant les passants.

Un après-midi ensoleillé durant le mois d'automne. Quelle joie après plusieurs jours de pluies gris. Une bonne journée pour s'entrainer un peu à l'arc. Alors que je me dirigeais vers le stade d'entrainements, j'apercevais au loin la foule qui s'y était précipitée. Et zut... De part ma timidité je n'oserais jamais aller toute seule jusque là-bas. Par chance, si je contournais par l'autre côté je pourrais atteindre l'arbre solitaire situé à l'ombre pour y tirer mes flèches. Qui dit nouvel objectif, dit changement de trajectoire. Après quelques minutes j'atteignais enfin mon objectif à l'abri des regards ou presque. Tout en accrochant ma cible sur le bel arbre, je tentais de m'encourager à voix haute.


Mais alors qu'elle s'apprêtait à marcher à quelques mètres dans le sens opposer de l'arbre, elle percevait une étrange ombre camouflée par les feuilles tombantes... Ne sachant pas à quoi s'attendre, elle espérait que cette chose ne la voyait pas et tentait de faire demi-tour. Qu'est-ce que ça pouvait être ? Elle priait intérieurement que cette chose n'était pas un animal sauvage prêt à bondir de sa tanière !

Évidemment, il fallait qu’on le dérange… Qui était-ce ? Son senseï qui venait le traîner de force au terrain d’entraînement ? Ou pire, son équipe qui venait le chercher pour partir en mission ?! Non… C’était une kunoichi qui voulait pratiquer le tir à l’arc. Quelle plaie… Si elle avait bandé son arc et tiré sa flèche, ça l’aurait sans doute réveillé, lui qui s’était assoupi.

Mais soudain, un fracas l’extirpa de son sommeil léger. Il venait de faire un faux mouvement, et ce pile au moment où la fille passait sous l’arbre, faisant tomber un sachet plein de bonbons sur celle-ci comme si elle venait d’exploser une piñata.


Ainsi, dans un mouvement agile caractéristique d’un shinobi, il se retrouvait à l’envers, tenant par la plante des pieds sur une branche, et la tête juste en face de celle de la Gaikotsu. Après s’être étiré, c’est avec un sourire débile et aucun tact qu’il lui demanda sans s’excuser.


Il regardait la sucette collée dans les cheveux de la demoiselle et se retint de la lui arracher.

La journée était banale pour Kotaro. Plus rien n’avait réellement de saveur véritablement pour Kotaro depuis son retour de mission et la douleur a son bras ne semblait pas s’estomper d’un pouce. Son avant-bras encore brûlé, mais cicatrisant le lançait encore malgré l’aide de Kanashisa. Il avait fait quelques missions de rang D en rentrant à Konoha pour passer le temps, mais la situation du village était bien trop délétère pour qu’il tente une mission de niveau supérieur et risquer encore une fois une situation difficile pour sa mère et sa sœur. Par réflexe, quand il était pensif, le jeune garçon allait au terrain d’entraînement pour frapper un peu les poteaux et se défouler en lacérant ce qui se trouvait dans le coin. Mais avant l’entraînement, il fallait s’acheter une nouvelle réserve de Kunai et donc forcément passer par la grande place pour aller à l’armurerie. Un petit raccourci pour éviter les rues bondées de konoha en pleine effervescence pour finalement assister à une scène étrange d’un garçon à l’envers et d’une fille recouvert de bonbon. Le jeune Kotaro resta bloqué, les yeux fixés sur cette scène digne d’un manga que son cousin lui avait prêté.



en effet, les deux jeunes ressemblaient à une scène de romance bien cringe des manga qu’Hikaru lui avait déjà prêter par le passé, le genre de lecture assez loin des goûts du Chikara mais suffisamment agréable à lire pour continuer de regarder la suite. Mais dans la vie réelle…. C’était différent et presque gênant pour lui d’être passé à ce moment. Il aurait pu être du rester dans ses pensées au final. Dommage que son esprit est capté cette scène ?



Il ne pouvait s’empêcher de sourire de façon légèrement moqueuse.

Je faisais comme si je n'avais rien vu et passais sous l'arbre le plus lentement possible avant de me prendre des noix sur la tête. En regardant de plus près, je me rendais compte alors qu'il s'agissait alors de bonbons et non de noix. Mais alors que je relevais la tête ne comprenant pas comment cela se faisait qu'il pleuvait des sucreries un jeune homme que je ne connaissais pas faisait son apparition nez à nez. Les joues rougies et encore pétrifiée de surprise celui-ci me demandait si je venais m'entrainer ici en me demandant de le couvrir et de faire comme si je ne l'avait pas vu. Pour couronner le tout et toujours dans l'incapacité de prononcer un mot depuis le début, un autre Konohajin arrivait au mauvais moment... Je reculais alors de deux, trois pas, ma main frappant le garçon suspendu par mauvais réflexe en lâchant un cri digne d'une fi-fille avant de me retourner vers le nouvel arrivant.


Il fallait vraiment que ce type d'incident se produisait maintenant ? Je n'arrivais pas réellement à faire face et de part ma timidité je me cachais, en courant, de l'autre côté de l'arbre. Le dos collé à celui-ci je tentais de reprendre mon calme tant cette scène était gênante sur le moment. Trifouillant ma chevelure pour essayer de me détendre en essayant une technique de méditation par la respiration, je remarquais qu'une sucette y était collée... Je me devais de la retirer avant que celle-ci ne se coinçait encore plus dans ma chevelure argentée. Les palpitations de mon cœur m'arrachaient la poitrine et j'espérais que le malentendu serait vite dissiper ! Pour une fois que j'essayais de me motiver à m'entrainer et de penser à autre que Ki et la musique !

Gênant ? Vraiment ? Lui aussi devient rouge, mais pas de honte. Non, c’était à cause de la douleur qui le prenait au visage après la claque “accidentelle” qu’il s’était reçue. Celle-ci le sonna et lui fit perdre l’équilibre, il s’écrasa au sol. Ridiculisé, il mit la faute sur le dos du nouvel arrivant ; un gus d’à peu près sa taille, basané, sourire aux lèvres.


Son ton était beaucoup moins sympathique, d’un coup. Il gueulait. Il se frottait la tête et les habits. Il était énervé par l’humiliation et la douleur de sa chute ridicule. Lui qui n’était venu que pour faire une sieste au calme… Et ce type, qui était-il ? Il n’avait pas l’air d’un villageois lambda, contrairement à la fille. Non, c’était un ninja lui aussi. Sûrement un Genin, ou alors un Chûnin ? Il n’avait guère l’air plus âgé que notre rouquin. Ichigo plissait des yeux pour deviner, et jugea par son apparence qu’il devait être un Kirishitan.


Voilà qu’il était devenu hostile et agressif envers l’individu moqueur. En se relevant, il avait attrapé une pierre qu’il serrait jusque là dans sa main pour faire passer la douleur de la grosse bosse sur sa tête. Furieux, il jeta cette pierre sur la tête de ce spectateur, dans l’espoir de lui enlever son insupportable sourire moqueur ou de le faire fuir.

Le vieux Kirishitan ramassait les bonbons au sol tel une poule picorant ces graines. Il esquivait le petit groupe de jeune Genin tout en les poussant de son arrière train afin de ramasser ce qui était tombé.



Le Kirishitan senti le regard se poser sur lui, mais il en avait rien à faire. Il scrutait de ces gros yeux les trois personnages et fit son petit coup du vieux sénile :



Jarre de sake à la main, le seul passage du vieux devait décoller les narines de ceux à proximité. Puis après avoir récupérer une bonne petite dizaine de bonbons, il finissait avec une bonne gorgée de sake et puis il dit :



Repartant en se dandinant l'arrière train, il avait pu faire chier quelques ninjas du village et il était très content ! Ce vieil homme était détestable. Il avait simplement traversé le groupe des jeunes, picoré les bonbons et reparti d'où il venait. Qui était-il vraiment ?

Aie. La demoiselle vira au rouge et mit une gifle au garçon la tête en bas avant de partir se cacher derrière l’arbre. Bon la réaction laisser à désirer, mais manifestement elle était plutôt timide. Cela rappelait un peu Kanashisa à vrai dire, et Kotaro ne put s’empêcher de sourire légèrement en ce disant que ce genre de fille était souvent les plus loyals et fortes qu’il n’y paraissait. Par contre pour ce qui était du garçon, son ton clairement agressif dénoté d’un niveau intellectuel plutôt bas voir même risible, mais aussi et surtout d’un tempérament dangereux. Dangereux pour lui évidemment, car provoquer ainsi des gens sans même savoir qui il était, était souvent la source de bien des ennuis dans ce village et la, il était clairement tombé sur la mauvaise personne. Kotaro était encore genin, mais pas n’importe quel genin non plus. Non seulement, il était certainement dans le top des genin de son âge, mais en plus, il était en liste pour passer son examen chunin sous peu avec recommandation de ses sensei.



La question n’en était évidemment pas vraiment une à ce moment. Il hallucinait totalement. Qui était ce pelo qui lui parlait ainsi ? Un rouquin donc évidemment un Uzumaki, mais… qui était ce noname de l’extrême qui venait lui manquer de respect directement à son presque retour au village ? Kotaro n’était pas de bonne humeur déjà de base, et il faisait généralement preuve d’un self-contrôle incroyable depuis son retour de mission pour ne pas littéralement tenter d’assassiner le premier boug qui le regardait de travers, mais là ? Non. Il était violent, fatigué, agressif et surtout, il n’avait pas l’envie de se retenir face à la mauvaise volonté du rouquin en face de lui. Le jeune Chikara serra le poing l’espace d’un instant pour s’empêcher de violenter le genin, mais les remarques racistes caractérisé pour les Kirishitan avec leur mokuton pour “ construire “ des choses pour le village fut une première goutte de trop qui fit que le jeune garçon commença à concentrer son chakra avant toute chose. Mais la seconde goutte de trop le fit vriller complétement et pour de bons. Un simple caillou lancé a son visage qu’il esquiva sans le moindre mal évidemment. Il était si omnibulé par l’idée de violenter ce connard, qu’il en effaça complétement la présence du kirishitan ivrogne, ce qui en temps normal l’aurait fait rire à s’en taper le cul par terre.



Les derniers mots étaient bien forts, prononcer comme une mise en garde, mais mettre en garde de quoi ? Il n’aurait pas le temps d’éviter quoi que ce soit, Kotaro serait certainement bien trop rapide pour lui pour esquiver ce qui allait lui arriver dans les dents. Son chakra était concentré et prêt à l’emploi, et son mouvement ne se fit pas attendre. Il disparut simplement de sa vision, comme une téléportation avant que son pied ne réapparaisse directement dans son vissage. Le coup serait terrible et clairement un débutant ne pourrait que subir le coup.

Tu devais simplement faire des courses pour ta sœur une fois de plus. Il est l’heure pour toi de faire la bonniche pendant qu’elle se la coule douce à la maison. Tu râles sans vraiment de raison pour changer, mais d’un côté, il fallait bien que quelqu’un aille faire les courses pour le repas, mais tu estimais simplement qu’elle pouvait s’en charger elle-même. Tu passes en trottinant sur la place centrale et aperçois ton cousin de l’autre côté. Il semble être dans son monde et tu décides de l’ignorer et d’aller prendre ce dont tu as besoin chez l’épicier. Tu n’en avais pas pour longtemps et tu voulais aller le voir en sortant de la boutique. Tu prends les quelques ingrédients demandés par la diva de la maison et sort en moins de temps qu’il faut pour le dire.



Tu agites la main pour lui montrer que tu es là, mais il semble ne pas faire attention à toi. Il n’a pas l’air de bonne humeur. Une chose que tu comprends au vu des dernières nouvelles que tu as eu de sa mission. Tu avances lentement, car tu ne veux pas perdre de temps et parler à Kotaro rapidement. Ton attention est perturbée par le vieil ivrogne qui a déjà manqué de te faire rater une mission. Tu le regardais partir avant d’entendre un bruit qui t’alerte. Tu vois un caillou tomber au sol et ton cousin réagir. Est-ce qu’il vient de lui jeter un caillou au visage ? Tu t’approches d’un pas rapide et entends les dernières paroles de l’Uzumaki. Tu n’en reviens pas et tu sens la rage qui bouillonne dans ton ventre.



Tu n’as pas le temps de finir ta phrase que Kotaro lui fonce dessus. Tu lâches tes affaires et ne réfléchis pas une seconde de plus. Tu le suis à la différence que tu contourne le genin à une vitesse faramineuse en activant des tonfas de chakra et frappe dans son dos de toutes tes forces en simultané de ton cousin. Tu n’avais pas l’intention de laisser passer cet affront.

La scène qui se déroulait devant moi devenait à la fois pathétique pour ce vieux monsieur un peu chelou, mais très tendue lorsque l'Uzumaki provoquait le garçon qui venait à peine de nous rejoindre... Je n'avais pas le choix de voir ce qui se tramait et depuis le début de l'action je regardais ce qui se passait. J'avalais ma salive dans un gloups lorsque le jeune garçon au teint basané me demandait de détourner le regard et de foncer sur le rouquin. Arrêtez... Ma petite voix intérieur ne jaugeais pas utile une telle bagarre pour des mots qui n'en valaient pas la peine. S'il vous plait, ne vous battez pas... Le cœur de Maï se serrait en voyant les premiers coups donnés, mais voilà qu'un autre individu à la chevelure bleu apparaissait derrière le jeune garçon impoli. Je ne supportait pas la violence et encore moins de voir une personne en détresse même si celle-ci le cherchait depuis le début. Les mains tremblantes, je saisissais mon arc pointant ma flèche en direction des trois garçons. Les larmes commençaient à couler, je n'aimais pas me battre et je n'aimais pas la violence Pitié que quelqu'un intervienne... Le regard vide, je bandais mon arc prête à décocher une flèche.


Plus fort Maï, sinon il ne t'entendront pas ! Les coups des deux garçons sur la petite tête rousse ne cessaient et voyant la détresse du jeune homme je me mettais à hurler.


Mes mots, ces mots qui résonnaient en boucle dans ma tête depuis le début de l'assaut "la violence ne résout rien !Par mégarde et les mains toujours tremblantes, je décochait ma flèche involontairement. Je savais que je ne faisais pertinemment pas le poids face aux deux garçons, mais si personne n'intervenait je ne donnais pas cher de sa peau. La flèche partait en direction des trois bagarreurs et j'espérais au fond de moi même que celle-ci ne blessait personne... Espérant au moins avoir attirer l'attention pour pouvoir être écouter !

En parlant du loup… Le vieux Kirishitan picoreur de bonbons éparpillés sur le sol ne faisait pas honneur à son clan, arrachant même, l’espace d’un instant, un regard de stupeur mêlé à la colère du rouquin. Mais quoi ? Un copain du Chikara était arrivé sur la scène de conflit, et l’insultait sans même avoir été témoin de l’origine du conflit. Il avait un brin celui-là. Le provocateur était donc un de ces voyous toujours accompagné de bras droits pour prendre les gens par le nombre ? C’était déshonorable, digne d’un ninja d’un autre village. D’ailleurs, ce dernier avait esquivé sa pierre, le menace et l’attaque ! Trop novice, son niveau de Taijutsu ne lui permit pas d’esquiver ou de se protéger à temps, son adversaire étant plus rapide et plus entraîné.

Un jour ou l’autre, sa fainéantise devait le rattraper…


Mais il n’eut malheureusement pas l’occasion de se rattraper en encaissant le coup de pied éclair car son comparse sorti de nulle part fondit dans son dos, et le frappa simultanément ; mais pas à mains nues, non, ce Chikara là avait usé d’un jutsu pour manifester une barre de chakra et le frapper à pleine puissance avec. Tout ça pour un caillou ? Étaient-ils fous ces deux-là ?! Se disait-il, alors que, surpassé de force et de vitesse, il finit plié en deux.

Il n’avait peut-être plus toutes ses côtes et, assommé par le choc, il distingua à peine la voix de la jeune fille qui tenta de faire cesser cette querelle incontrôlable. Si son cri de douleur n’avait pas attiré l’attention de tous les passants, plus rien — si ce n’est une flèche lancée dans le tas — ne le pourrait car il avait maintenant le souffle coupé par le coup qui l’avait mis à terre et lui faisait vomir ses tripes, du sang et peut-être même une dent.

Sa gourmandise aussi, il la payait.

Il n’en fallait pas plus pour toi et te faire perdre la raison. Tu te fichais éperdument de savoir le clan du genin que tu étais en train de frapper avec Kotaro, mais le simple fait de l’avoir entendu insulter ton cousin t’avait fait perdre ton self control déjà fragile ces derniers temps. Tu n’y es pas allé de main morte, mais tu avais relâché sur lui la frustration des dernières semaines. Il n'avait pas eu de chance. Mais tu ne peux t’empêcher de penser que ça lui fera les pieds. Tu n’avais pas fait attention à la jeune Gaikotsu qui se trouvait derrière l’arbre à vous demander d’arrêter de lui frapper dessus avec Kotaro. Mais tu n’entends rien et le regarde vomir de douleur à la place. Elle fait une complainte bien plus forte que les précédentes et tu tournes la tête et vois une flèche t’arriver dessus. Tu réagis au quart de tour et vas pour l’esquiver, mais tu te rappelles que vous êtes sur la place centrale et qu’il y a pas mal de monde. La flèche perdue pourrait être problématique. Tu saisis un kunai avec le bras n’ayant pas de tonfa et tu lances avec une vitesse fulgurante et une précision chirurgicale pour scinder la flèche en deux. Elle frôle ton visage et te cisaille les joues de manière légère. Tu vois ton kunai planté dans l’arbre juste à côté de la jeune fille en larme.



Ton regard traduisait un grand mécontentement, mais tu n’allais pas la voir, elle semblait bien plus sous le choc de voir son amis se faire remettre à sa place plutôt que de vouloir vous attaquer. Tu désactives simplement ton jutsu et te retournes pour voir ce que Kotaro était en train de faire du pauvre bougre. Tu avais redescendu en pression après l'intervention de la jeune Gaikotsu et réalisais lentement ce que tu venais de faire. Pas de remords pour autant mais tu comprenais que la situation n'était pas très bonne pour toi ou Kotaro.