Je pensais que cette soirée allait être des plus banale, je regardais danser les jeunes femmes Miwaku, elles étaient agréables à regarder, mon désir, mon amour si tenté que je pouvais le ressentir ne se limitait à aucun sexe, a aucun genre, et à aucun clan. Je pensais comme tout bon Hattori, que les non Hattori étaient des être inférieurs tout juste bon à lécher mes bottes, où tout autre endroit de mon corps, mais je n'éprouvais d'aversion physique pour aucun genre et aucun clan. Si on voulait me mettre dans une case comme les gens "normaux" aiment le faire, on pourrait me qualifier de pansexuelle. La soirée s'annonçait ennuyeuse pour le moment, j'étais déjà à mon troisième verres, mais mes yeux ambré et surtout ma réputation faisait fuir ceux qui me regardaient pourtant les yeux plein de perversité et de fantasmes.
Alors que je pensais ne plus avoir de surprise, mon cousin m'interpellait apportant avec lui une bouteille de vin. Il me demandait tout de suite si Reika n'était pas avec moi, bien sur nous étions habituellement difficilement séparables, mais ce soir je lui avait fait subir un traitement l'obligeant à rester dans sa chambre à inhalé ses herbes hallucinogènes.
« Non, elle ne viendra pas ce soir, elle panse ses plais... »
Nous étions connu pour nos penchant sadomasochistes, enfin je le faisais uniquement avec ma sœur, alors qu'elle allait se faire fouetter aux quatre coins de la ville. Moi je faisais mal, mais je n'avais besoin de le faire qu'à elle. Avec les autres j'aimais les rapports plus classique, même doux à l'occasion. Un homme téméraire s'approchait de moi, c'était tellement rare qu'il méritait mon attention. Je le regardais de haut en bas, et vint attraper son paquet entre mes mains, d'abord doucement, puis très fort faisant monter les larmes dans ces yeux avant de dire.
« Tu n'as pas le niveau pour moi, va plutôt baiser une de ces Miwaku ! »
Puis je me servais un verre de la bouteille de mon cousin avant de lui dire.
« Ton frère n'est pas là ? Il ta détaché de ta laisse ? »
Je savais que c'étais un sujet plus ou moins sensible, et j'étais du genre à pousser les personnes autour de moi au craquage psychologique juste par plaisir.