Son seul et unique but était que tu l’impressionnes, c’était un objectif assez amusant. Raika avait toujours eu un grand besoin de sensation forte. Il est bien vrai que Kumo est des plus ennuyant et il fallait être imaginatif pour trouver de quoi s’occuper tout en innovant des situations des plus causasses. Tu avais pu lui en offrir une mais elle n’avait pas trop apprécié ta petite plaisanterie et tu aurais pu clairement avoir un retour de flamme que tu aurais méritais. Cependant, inutile de nous blesser entre nous pour des broutilles pareils. Tu dois réfléchir rapidement à comment l’impressionner pour qu’elle puisse s’amuser même une petite minute. Rien qu’un cours laps de temps pour lui donner du plaisir et le tiens par la même occasion.
« Tu es difficile ma belle. Dommage que tu n’es pas plus amatrice que ça de les drogues. »
Elle poussait la porte et comme tu t’en doutais, vu l’endroit isolé m, il n’y avait personne pour surveiller l’entrée. Tu sentais déjà la bonne odeur des champignons et des diverses produits qu’ils utilisaient pour donner la puissance hallucinogène. Tu laissais échapper un rire avec sa petite remarque.
« Tu n’aimes donc pas mes petites coquineries. J’en suis déçu. »
C’était ironique, tu n’étais en rien déçu car tu te moquais éperdument de ce que tu pouvais faire ou dire à tout moment. Elle se répétait à nouveau et au moment où tu allais entrer, tu sentais un vent glacial qui te pousser avec un léger tranchant qui te faisais diverses fines coupures et surtout elle avait saccagé ta tenue. Tu faisais alors un long soupire alors que tu regardais tes pauvres vêtements.
« Que tu me fasses saigner, ça ne me dérange pas mais saccager les vêtements, j’apprécie que trop peu... disons que nous sommes quittes. »
Tu avançais dans le couloir qui débouche sur une autre porte et tu pouvais entendre plusieurs hommes qui discutaient. Il devait sans doute discuter de leurs petites combines qui allaient cesser très rapidement. Tu entrais dans cette pièce et tu pouvais y voir une dizaine d’hommes environ. Il y avait sûrement d’autres personnes dans les pièces annexe. Le nombre qu’ils étaient déjà, ça les mets en confiance et tu vois les regards noir et la prudence sur leurs visages. Ils n’apprécient pas vraiment notre intrusion et cela te faisait grandement sourire.
« Messieurs, bonsoir! Cette sublime créature et moi-même, nous venons ici pour réquisitionner votre petite entreprise. »
Ils se mettaient à rire, la pénombre des lieux camoufle notre regard. Ils auraient sans doute eu une autre réaction mais c’était parfait. Un homme se diriges vers toi et il te prend par le col, te menaçant de dégager ou alors ils allient s’occuper de nous deux et surtout de Raika, tu imaginais ce qui pourraient lui faire et cela te faisait sourire. Tu posais ta main sur celle qui te tenait par le col.
« Tellement de brutalité et en plus tu pues. Je ne supporte pas les odeurs répugnantes comme la tienne. »
D’un geste ferme, tu lui brisais le poignet et d’un autre tu lui cause une belle fracture ouverte alors qu’il recule en hurlant. Il était aussi fragile que du verre. C’était pourtant qu’un geste des plus basique.
« Gros muscle et fin os. Tu te casses comme une brindille. »
Les autres hommes évitaient de se précipiter mais la tension se faisait ressentir..
« Vous devriez vous occuper de votre ami, il n’est peut être pas encore assez blessé? »
D’un déplacement rapide, tu portes un coup violent au niveau du genou de ce type qui se brise et se retrouve dans l’autre sens. Il s’effondre au sol de douleur. Ils se mettaient alors à se diriger vers nous deux. Tu crées alors plusieurs bulles qui se dirige st vers ces hommes et qui éclatent à leurs contacts. Certains étaient immobilisés et d’autre se collaient entre eux.
« Vous gardez vivant sera plus jouissif pour le moment. »
Tu te retournes vers Raika et tu lui lançais un Kunai.
« Ça te dit de les dépecer à vif? Tu pourrais te faire un beau sac en peau d’humain. J’en vois un qui a un beau teint. Il t’irait assez bien ? De mon côté, j’ai une joyeuse idée de souffrance que je me réserve dans quelques instants. »