Cours de pole dance avec Gekido-Sama

Gekido lui souriait. Kazami se détendit donc. Posant le dos de sa tête contre le rebord, elle ferma les yeux pour profiter elle aussi de cet instant de calme. Mais finalement elle lâcha un :



Un petit gloussement sortit de la bouche de Kazami. Elle s'imaginait crier sur l'Hokage avec son visage aussi rouge que ses cheveux. La junin ouvrit alors les yeux pour regarder Gekido et fit en souriant :

Gekido fut pris de court par les dires de Kazami. Il n'aurait donc pas la possibilité de la voir s'énervé aujourd'hui. Dommage, pensa t il, j'aurais aimé savoir comment elle se comporte réellement lorsqu'elle est énervé . Cependant, intérieurement, Gekido savait que cela n'était que partie remise. Bientôt, la jeune femme rousse lui crierait dessus et il saurait enfin à quoi elle ressemblerait. Mais, peut être que ce jour là, Gekido aurait autre chose à faire que regarder le visage fin et gracieux de son bras droit.

Gekido imita alors Kazami et s'adossa contre le mur bordant le bassin. Celui-ci était chaud, presque plus chaud de l'eau des sources elle même. Cependant, lentement, Gekido senti son corps comme aspirer par une force étrange au niveau de ses pieds. Sans lutter, il se laissa happer et vit son corps s'enfoncer plus encore dans les eaux des sources. Une fois complètement immerger, et après cette assurer qu'aucune réelle force ne se trouvait au niveau de ses chevilles, le HoKage s'allongea sur le sol, chaud, des sources chaudes.

Il se trouvait à présent entouré par les eaux chaudes des sources, dans un monde de silence où se leur bruit de l'eau -et de mouvement de Kazami- arrivait à ses oreilles. Il était bien ainsi. Il était relaxé..

Mettre la tête sous l'eau dans un bain où une femme est nue, c'était plus que pervers. Kazami, un peu choquée du comportement du Hokage, voulut sortir du bain. Etait-il entrain de regarder son corps si pure ? Allait-il s'approcher d'elle sans sa volonté ? La rouquine voulut cacher ses parties intimes et s'encourir mais n'en fit rien.

La jeune femme attrapa une éponge et commença à se frotter les bras, nettoyant ainsi la poussière d'un dur combat. Elle lava également ses cheveux dans l'eau chaude. Elle ignora complètement le Hokage qui faisait mumuse sous l'eau. Puis finalement elle lâcha :

Ainsi allongé, Gekido se laissa bercé par cette environnement relaxant. Fermant les yeux afin de profiter encore plus de cette sensation, il semblait s'oublier. Mais, le manque d'air le ramena à la réalité. Et, tandis qu'il remontait doucement la tête à la surface, il vit que la jeune femme était entrain de commencer à se laver. Soudain, alors qu'elle se lavait les cheveux, la jeune s'adressa à lui. Et ses paroles n'était pas dénué de sens. Il y avait, encore une fois, beaucoup à faire aujourd'hui et ce bain aussi relaxant et plaisant était-il ne pouvait pas durer éternellement.

Gekido se leva alors et se dirigea doucement vers le bord du bassin. Puis, tout en montant les marches et en récupérant sa serviette il dit:



Puis, après avoir récupéré sa serviette, le Hokage se dirigea vers le coin droit des sources chaudes. En effet, c'était à cet endroit que des douches avaient été installé. Posant sa serviette non loin, il fit couler l'eau et se glissa sous le jet d'eau. Il devait faire vite, d'autres Konoha-jins pourraient arriver.

Lorsque Gekido sortit du bain, Kazami pu admirer ses muscles saillant. Quoi qu'elle puisse dire, il était un bel homme. Ses joues rosirent légèrement à la vue de sa nudité et elle détourna le regard. Puis elle imita le Kage en sortant également du bain et en se revêtant de sa serviette.

Il se dirigea alors vers les douches et la rouquine le suivit. Il commença à faire couler de l'eau et déposa sa serviette. Telle une enfant suivant son professeur, Kazami en fit de même. Elle se glissa sous le jet d'eau et laissa son visage s'immerger. A présent tout les deux dans leur plus simple appareil, proche de moins d'un mètre, Kage et bras droit n'avaient jamais été aussi proches.

La jeune femme présentait des courbes invisibles avec sa tenue. A présent, on pouvait voir la finesse de sa taille et ses hanches pulpeuses. Ses longs cheveux rouges tombaient en cascade jusqu'au milieu de son dos et couvrait à l'avant une partie de sa poitrine. Ses jambes, longues et fines, ne présumait pas de sa force.

Sentant la présence de Gekido prêt d'elle, elle ne put s'empêcher de le regarder. Il s'agissait d'un homme. Plus d'un adolescent ou d'un jeune ninja mais il avait une virilité bien plus avérée. Quelque chose qui l'attirait mais qui lui faisait également peur.

Une eau chaude sortait en continu de la pomme de douche. Agréablement surprit, Gekido ne mit pas longtemps à se glisser sous le jet d'eau. Et, alors que l'eau circulait sur ses muscles saillant, le jeune homme commença à inspecter ses quelques cicatrices. Bras, jambes, torse et même dos, aucune ne fut oublié. Il était important pour le ninja de vérifier ses cicatrices. Il ne voulait pas que l'une d'elle ne se ré-ouvre. Après tout, à l'époque, il ne connaissait pas encore de Ninja médecin. Une fois l'inspection de ces cicatrices terminé, il pus, tranquillement, profiter de cette douche. Kazami semblait même imiter le jeune homme. Elle aussi avait décidé de prendre une douche, sans doute afin de retirer toute cette sueur qui avait fait son apparition durant leur dur entrainement. Ce tenant aux côtés de son Kage, elle faisait couler l'eau sur ce corps que le jeune homme pouvais observer pour la première fois sans bout de tissu pour diminuer ses formes.

Pour la première fois, il put voir Kazami telle qu'elle était réellement. Une femme. C'était, réellement, une très belle femme. Du coin de l’œil, et tandis que la jeune femme le regardait allègrement, il observa les courbes gracieuse de la jeune femme. Une poitrine généreuse -sans pour autant être opulente- légèrement caché par quelques mèches de cheveux roux, une taille fine -pour ne pas dire de guêpe- au nombril parfaitement dessiné, des hanches rondes et sensuelle et de jolie fesses rebondit. D'ailleurs, il eut envie de lui claquer, doucement, les fesses mais n'en fît rien. Il connaissait suffisamment le caractère de Kazami pour savoir qu'elle n'aurait pas apprécié un tel geste.

Avançant vers la jeune, qui à présent lui tournait le dos, il déposa un sensuel et délicat baiser dans le bas du cou. Il avait envie d'enlacer la jeune mais ne le fit pas. Il ne voulait pas imposer à Kazami son corps nu si près du sien. Ainsi, après de doux et long baiser sur le cou, le jeune Kage s'en retourna au niveau de son jet d'eau. Cette pulsion, à la fois romantique et bestial, se devait de se terminer ainsi.

Kazami quitta Gekido des yeux pour se reconcentrer sur elle. Alors qu'elle lui tourna le dos, elle sentit ses lèvres se déposer dans son cou. Un baisé sensuel, délicat. Kazami frissonna. Figée, elle ne pouvait se retourner. Comme si ce baiser la clouait au sol. Mais alors qu'elle s'attendait à ce qu'il continue, qu'il la prenne dans ses bras voir bien plus encore, il n'en fit rien.

Elle ne savait pas trop si elle était déçue ou soulagée. Elle tourna la tête par dessus son épaule et vit un Kage qui n'avait pas bougé. Comme si son baisé n'était pas le sien. Elle l'observa un instant. Leur relation était bien étrange. Kazami ne pensait pas que cela était de l'amour. En tout cas, ce n'était pas les même sentiments qu'elle avait eut pour Nakatsu, ça elle en était certaine.

Finalement, elle arrêta le jet d'eau de la douche et se sécha. Puis sans rien dire, elle se dirigea vers les cabines où ses vêtements l'attendaient. Avec un léger regard par-dessus son épaule, elle fit d'une voix amusée :

Ce baiser sembla se figer dans le temps. Mais, lorsque les rouages de cette mécanique bien huilé reprirent leurs cours, Gekido décela dans le regard de la jeune une étrange lueur. Était-elle déçu que cet homme ne se soit pas montré plus entreprenant ? Il avait fait cela pour ne pas imposer son corps nu à la jeune mais aurait-il dû ? Gekido en doutais. Il savait que la jeune femme, la vraie Kazami, était plutôt réservé de ce côté là. Ainsi, ce regard devait exprimer autre chose. Quelque chose de plus profond sans doute.

Voyant la jeune femme partir, il comprit qu'il était temps pour lui aussi de partir. Terminant de se laver, il entra dans le vestiaire alors que la jeune femme devait être entrain de se changer et entra à son tour de sa cabine. Cependant, au lieu de se changer comme il aurait du le faire, il s'assied sur le banc, présent dans la cabine, dans le sens de la longueur et colla son dos -puis sa tête- à la parois froide de la cabine. Il resta ainsi durant un long moment...