Une venue inattendue

Peut-être que nous pouvions déjà faire une mission pour lui, ou répondre à ses questions après toutes celles que nous lui posions depuis tout à l'heure. En tout cas, une chose nous intriguait, mais nous ne disions rien. Comment cet homme avait fait pour posséder une maison aussi immense que celle-ci, elle semblait immense autant de l'intérieur que de l'extérieur. Hum... Après les tests et une complicité un peu plus rapprochée de l'Uzumaki, peut-être qu'il nous en dira plus de sa personne ? En tout cas, l'endroit était magnifique et nous l'observions dans le moindre détail en attendant la réponse de l'homme mystérieux.

Et voila qu'elle continuait, elle lui demandait si elle pouvait déjà lui être utile. Bien sûr sa façon de demander était aussi étrange, qu'il n'était pas difficile non plus difficile de lire dans son regards, Elle observait les lieux avec attention, est-ce qu'elle aimait vraiment les lieux ? L'Uzumaki lui souriait et se leva de sa chaise lui demandant de la suivre. La serre était vraiment très grande et l'Uzumaki avait remarqué qu'elle aimait les lieux, donc autant dire qu'il fallait l'émerveiller pour essayer de voir une expression de ses sentiments.



L'Uzumaki poussa une branche et invita la jeune-femme à entrer au point central de la serre. Plusieurs arbres de Sakura, quelque noisetier et cerisier entourait un cercle d'herbe vert ou était tombé de nombreuses de ses feuilles, elle donnait une couleur magnifique a l'endroit environnant ou se diffusait un chant de nombreux instruments, le terrain était emplie de rose blanche ou de nombreuses créature tel que abeille ou des papillons effectuait des va et vient. Un tout petit ruisseaux minuscule se déversait dans un jardin Nippon au abord d'un petit bâtiments traditionnelle qui pouvait accueillir quelque personnes. Seul le bruit des Bambou qui s'entrechoquait avec la pierre rompait le silence musicale des lieux. L'Uzumaki souriant marchait jusqu'à à la cabane avant de s'assoir en tailleur sur une petite estrade du bâtiments, enfin assis regardant la jeune-femme il lui parlait enfin.

Etrange, il nous dévisageait lorsque nous inspections les lieux avec seulement notre regard. Il se levait et nous faisait signe de le suivre pour nous montrer sa cachette secrète en précisant que nous pouvions le retrouver assez souvent ici. A retenir, information utile. Son visage émettait l'expression de joie avec son sourire, mais pas le notre. Nous nous levions à notre tour et décidions de le suivre au centre de la serre. Beaucoup de plantes exotiques s'y trouvaient. Toutes plus magnifiques les unes que les autres, nous aimions les sentir, les analyses et prendre soin d'elles. Sans dire un mot nous observons absolument tout. Ce jardin semblant être secret se révélait d'être de toute beauté. Les cerisiers en fleurs lâchant leurs pétales tombantes sur le sol, de merveilleuses roses blanches ou abeille, papillons, coccinelles, chenilles et bien d'autres insectes vivaient en paix et harmonie entre eux. Un fond sonore se dégageait de la pièce couplé au son des bambous cognant dans la roche lorsque cela étaient emplit d'eau. Un jardin zen doté d'une mini cabane en forme de temple. L'Uzumaki prenait place en tailleur sur le mini balcon de bois, nous fixant de ses grands yeux bleus.




Malgré ce lieu magique notre apparence restait de marbre même si à l'intérieur nous débordons de joie de voir quelqu'un aimer autant la végétation que nous. Nous restons immobile quelques secondes avant d'enrichir nos propos.


Même si cela signifiait se salir les mains, il était important en ce bas monde quelqu'un qui aimait la faune et la flore tout en la respectant telle qu'elle était. Sous son apparence d'homme mystérieux, il nous semblait être quelqu'un de correct. Cela nous suffisait pour tenter de passer l'examen en question.

Souriant à la jeune-femme il absorba ses dernier dire sans lui couper la parole. Elle paraissait heureuse, sans vraiment le montrer en soie. Elle le remerciait et désirais se retirer, la Chikara qui l'avait accueillis était venue les voir et décida de la raccompagner à l'entrée. L'Uzumaki resta seul assis sur son estrades, se laissant bercer avec par la musique et les bourdonnement d'abeilles émis par ces petite créature. Alors que l'Uzumaki se laissait bercer, une voix venait casser cette harmonie, une voix qu'il connaissait que trop bien. Sa femme..



Disait-t 'il dans sa barbe en attendant de loin la jeune-femme qui devait surement être énervé. Que les dieux me protège de sa jalousie abrutis..

Alors qu'elle descendait les marches pour retrouver son amour, la jeune femme tombait nez à nez avec une autre femme beaucoup plus jeune qu'elle ! De part sa jalousie compulsive avant d'entendre les explications d'Amoritia, elle savait où trouver le coupable de cette situation étrange et peu commune pour l'Abura.


D'un pas pressé et furieux, elle se précipitait en direction de la serre aux fleurs merveilleuses pour y rejoindre l'autre trou du cul qui se permettait d'inviter n'importe quelle femelle.


A peine le percevait-elle, qu'elle avait la nette impression que celui-ci marmonnait quelques mots dans sa barbe imaginaire !


Ses yeux reflétant la rage et l'envie de passer un savon... Ah non, non. Plus de savon. L'envie de lui sauter à la gorge pour l'étriper était bien présente.


Ah... Mais elle ne lui avait pas laisser le temps de s'exprimer et par fierté, elle tournait les talons se mettant dos à lui, les bras croisés et s'asseyant en position tailleur.

La jeune femelle Abura commençait un sermon digne d'une grand-mère, mais qu'elle putin de jalouse. Même les personne avec qui il devait bosser, elle finissait par être rouge de jalousie. Il l'aimait beaucoup dans ces moment boudeur, elle était aussi mignon qu'un bébé tanuki. Elle se mettait en tailleur assis en mode boudage et l'Uzumak se retenue de rigoler. Elle le prévenait disait-elle de "ne pas être venue pour souffrir", mon dieu.. Universa comprenait maintenant le cauchemar de son meilleure amie, bon tant qu'il se prenait pas des tartine dans la gueule tant mieux.. Elle souhaitait des explication très bien.



Il espérait tout cela, après tout cela devait devenir une seconde famille. Une famille qui serait sur le toit du monde et qui s'imposerai comme des militaire hors pair et prêt pour le combat à tout moment. Il serait le père et eux serait ses enfants, et leur famille ne protégerais que le reste de leur famille et qui était Konoha.

Après l'explication donnée, la femme Abura était toujours sous tension, mais plus pour la même raison. Le poing fermé et les dents serrées, elle restait buter sur le mot "confiance". Elle savait mieux que quiconque que ce mot n'avait aucun sens et que bien vite les trahisons pouvaient venir de tout les côtés. De plus le projet que voulait construire son tendre n'était absolument pas sans risque, puisqu'il serait en première avec les autres qu'il nommait ses enfants. Dans un long silence de réflexion et de réflexion, l'emmerdeuse finissait par l'ouvrir.


Elle le fixait de ses yeux violets comme le lys, l'air plus que sérieux.


Yuko venait de trouver sa perle rare et comptait bien la garder le plus longtemps possible auprès d'elle. L'idée de se retrouver seule avec des enfants s'ils en avaient lui était insupportable.

La jeune-femme souhaita combattre, voila quelque chose qui ne changeait pas avec ses origines. Les Abura était bien connu pour leur méchanceté habituelle, et cela commençait à énerver l'homme assis. Elle estimait que étant sa femme elle avait le droit de s'opposer a la mort de l'Uzumaki, il se retenue de rire a cette évocation. Pour lui la mort serait comme une délivrance, il rejoindrait nombre de ses camarade tombé et retrouverait alors son père qu'il avait élève comme nulle autre. Universa ne sut quoi répondre, une partie de lui était prête à accepter la mort, sentir son cœur s'arrêter, respirer une dernière bouffée d'air avant de fermez les yeux une dernière fois sur ce monde dans lequel il se trouvait, tendit qu'une autre partie de lui l'obligeait à rester en vie. Car plus que tout il était tombé amoureux, la femme devant lui était ce dont il avait rêvé en partie et aujourd'hui son souhait était de créer une famille avec cette dernière, de les chérir et les aimer jusqu' au jour de la venue d'un shinigami. De ce jour fatidique dans la cité des sable son cœur n'avais cessée de battre à tout rompre, a chaque qu'il la voyait, le touchait, lui parlait, il avait découvert cette amour qu'il souhaitait tant et perdre sa femme comme elle disait cela serait insupportable.
Se levant de l'estrade les mains déjà jointes il préférait accepter la demande de la femme qu'il chérissais. Elle souhaitait s'opposer à cela très bien, il fallait donc pour lui combattre même si une certaine réticences l'empoissonnait, il ne voulait pas lui faire du mal et si elle devait se retrouver blessée il s'en voudrait à vie. Mais dans le cas présent il n'eu guère le choix.
C'est mains jointes il effectua un certain nombre de mudra avant de s'arrêter, laissant le froid s'emparer du monde autour de lui, laissant se déverser une certaine énergie dans cette technique, il souhaitait montrer à sa femme qui il était dans un combat comme elle le disais si souvent. Des flocons de neiges tombèrent dans la serre ouverte commençant à emplir le terrain. L'Uzumaki grimaçant regardait sa femme et accepta.



Disait l'Uzumaki soufflant de la buée à cause du grand froid qui s'installait petit à petit dans la serre magnifique.

La jeune femme le voyait réfléchir longuement avant que celui-ci ne se lève et commençait à effectuer des mudras... Elle comprenait alors et ne tardait pas à se lever non plus enlevant son vêtement pour être plus à l'aise pour se battre. Amoritia lui prêtait un haut noir court et un short plus tôt, mais face à l'intempérie créer par son tendre, le froid s'installait très rapidement. Elle le sentait, la mort rodait autour de lui et cette ambiance lui rappelait cette "nuit" ou sa vie basculait dans le néant. Se mettant face à son "adversaire" l'Abura s'enduisait d'huile.


C'était le cœur lourd que la femme prenait cette décision et pas à la légère. De ses yeux couleur Lys, inspirant et expirant longuement, elle l'observait brièvement avant de commencer à se précipiter sur lui entamant un combat au corps à corps.

Elle c'était rapproché rapidement de lui, essayant d'esquivez ses coup l'Uzumaki réfléchissais rapidement à la situation. Corp huileux malheureusement, le Taijutsu n'aurait aucun effet. La chance de l'Uzumaki était qu'il possédait toujours une arme sur lui.
Se donnant une impulsion avec ses jambes, il sautait en arrière et venait chercher rapidement un Kunai dans sa poche. La femme venait lui mettre un crochet que Universa esquiva en baissant la tête, avec son kunai il venait entailler la femme au niveau du poignet. Elle reculait rapidement le sang giclant de son poignet.
Le sourire au lèvres perdus l'Uzumaki joignait ses poignet et effectuais des mudras en s'arrêtant à celui du tigre.



Une dizaine de loup naissait de la neige qui tombait dans la serre, regardant l'Abura avec voracité. Le regards triste regardant sa femme maintenant enragée, il donna enfin l'ordre attendu par ses créatures.



Un mudras effectuée le regards fixée sur ces créatures, il fonçait sur la jeune femme de façon rapide et ordonnée. Ils serait prêt à tout arrêter si elle devait vraiment être blessée, mais par fierté il allait laisser la jeune-femme combattre.

Il esquivait les coups de la jeune femme en faisant un salto arrière, mais elle ne voyait pas celui-ci sortir un Kunaï de l'arrière de son Yukata. Il lui fallait que quelques secondes d'inattention pour que celle-ci se trouvait le poignet entaillé. C'était à son tour de faire marche arrirère pour gagner en distance. La douleur était bien présente et grimaçante, elle tentait de stopper le sang en continuant à couvrir son corps d'huile. A cela s'ajoutait également le froid... et de légers tremblements pouvaient être perçu au niveau de ses jambes. Mais là n'était pas le premier problème, car son amant effectuait des mudras et l'enduiseuse faisait de même pour l'attaquer. Quelques dizaines de serpents d'huiles sortaient des mains de la jeune femme les envoyant mordre son "adversaire". Au même moment celui-ci faisait apparaître une dizaine de loups... Des loups... Un flash back apparaissait dans les souvenirs de l'Abura.

Aïko... De douloureux souvenirs que la chieuse se promettait d'oublier et quelle jetait depuis déjà deux années aux oubliettes. Mais les loups de glaces lui rappelait beaucoup trop cette tragédie beaucoup trop fraiche encore pour elle... Elle se souvenait des cris de son enfant, de sa fille Aïko qui se débattait face à des loups du désert, elle qui était si petite, si douce, si fragile... Dévorée par ses bêtes ensablés ! La rage de la femme faisait à nouveau surface, se désir de vengeance en voyant ces maudits loups. Cette nuit là, il faisait froid comme à l'instant et le cri de son enfant... Et voilà que l'ordre de l'immobiliser était donné par celui qu'elle aimait. Il ne se battait donc pas sérieusement pour vouloir simplement l'immobiliser.


Les grosses bêtes lui fonçaient dessus toute ensemble. Pas le temps de rêvasser ! L'emmerdeuse effectuait le plus rapidement possible peu de mudras et en crachait des flemmes sur quelques loups. Seulement deux sur dix étaient hors d'état de nuire, les huit autre seraient sans aucun doute sans pitié. Le combat commençait et Yuko tentait tant bien que mal de se débattre de ses affreux. Toujours ce même froid lui gelant peu à peu son huile... FAIT CHIER ! Un loup venait de lui agripper son bras déjà blesser et un autre sa jambe opposée.


Elle foutait un kick dans la gueule, mais il ne lâchait pas prise. Cette position de faiblesse lui rappelait à nouveau ce souvenir... avant de sentir les crocs d'un autre la saisir à l'épaule et les pattes d'un quatrième la plaquer au sol, la gueule trop prêt de sa figure. C'était à ce même moment qu'elle entendait les pleurs et cris de sa fille âgée d'à peine quatre ans à cette époque... *Maman...*




Elle ne savait pas si elle s'en allait à cause de son entaille profonde du poignet ou si c'était les crocs des doberman des neiges qui la faisait saigner, mais elle entendait la voix de sa fille et ça elle en était certaine. Le combat ? Elle savait qu'elle venait de perdre et ne voyait même plus celui à qui elle donnait son cœur avec tout ces cauchemars l'encerclant. L'Abura gémissait seulement de douleurs, pleurant les yeux perdus dans le vide, le corps devenant froid avec toute cette glace et répétant le nom de sa défunte fille en continue pour s'excuser de sa faiblesse.

Quelque chose d'étrange avait lieu, le visage de la femme qu'il aimait tant avait changer. Il était emplie de peur, d'une peur effrayante que l'on ne pouvais voir que rarement. L'Uzumaki avait ordonnée a ses loup de l'immobilisé, deux d'entre eux fut détruit part le sort Katon utilisé par sa femme. Les serpent d'huile de la jeune-femme avait été gelée par le froid créer par ses nuages de neiges mais quelque chose n'allait pas. Les loups fonçant sur elle, l'Uzumaki entendit enfin des parole prononcée par sa femme.
Entendant ses parole qui glaçait le cœur de l'Uzumaki, Universa fit un nouveau mudras et désactiva sa technique. Les loups disparaissant dans un nuage de neige. Il s'élançait auprès de son être aimée et la prenait dans ses bras. Il inspectait le corp de sa femme est était rassurée de voir que son huile naturelle avait permis d'arrêter les hémorragie. Alors qu'elle était toujours couchée, la jeune-femme implorait son pardon à une fille, sa fille de surcroit en écoutant les parole de sa femme. Pourquoi elle ne lui en avait jamais parlé ? Il souhaitait plus que tout au monde fonder une famille avec elle, pourquoi garder un tel secret ? L'Uzumaki pris sa femme dans ses bras une larme coulant sur la joue de l'Uzumaki.



Les larmes ne cessait de couler de la part de la jeune-femme et l'Uzumaki ne supportait pas de voir sa femme dans un tel état. La portant dans ses bras, il se dirigea rapidement dans sa maison, le temps mis de la serre a la chambre de l'Uzumaki les plaie commençait a cicatriser du à l'huile que secrétait le corp de sa femme. Ouvrant la porte il coucha la jeune-femme sur le lit, s'asseyant à coté d'elle lui tenant la main. L'Uzumaki vint embrasser et la regarder dans les yeux.