La consultation et la tarte dans la gueule.

Le comateux se réveille en un éclair et ne prend même pas le temps de respirer avant d'attraper sa cigarette pour la fumer. Le médecin soupire et le regarde ensuite se faire réprimander de manière plus que houleuse. À coup de chaise et d'insultes, leur relation était vraiment des plus étranges. Mais cela amusait L'Eisenin qui reste tout de même à une certaine distance pour ne pas se prendre un coup perdu. L'Abura ne semblait pas vraiment des plus commodes. Il s'avance tout de même pour tenter de calmer le jeu.



Les sautes d'humeur de la jeune femme n'allaient pas être des plus simples à gérer et Universa était bizarrement coulant pour la situation, il allait finir par se faire marcher dessus avec le trio de princesses qu'il allait devoir prendre en main d'ici peu. Il s'avance vers son bureau et prend quelques notes le temps que les deux soient en train d'arrêter de se prendre la tête sans grande raison. Il allait devoir suivre le dossier de la Abura avec plus de détails. Il n'avait jamais vraiment travaillé avec et se demande s'il y avait des choses à savoir. Il lève la tête et l'appelle.



Il n'avait pas spécialement de dossier important à gérer et son prochain rendez-vous n'allait pas se présenter avant une petite demi-heure au moins. Autant en profiter pour faire le travail correctement en ce qui concerne la nouvelle arrivante au village. Il note tout de même Universa la clope au bec juste à côté de sa compagne.

Donc si il avait bien compris elle l'avais surement mis en P.L.S et avait du s'inquiéter, et elle le montrait en l'attaquant avec une chaise. Bon disons que ces un style d'amour particulier, et ben si il aurait su que la grossesse foutrait autant la merde.. Le médecin Chikara quand à lui c'était rapproché pour calmer le jeux, si tu savais quand ma femme est énervé vaut mieux s'enfuir ! Elle pouvait être pire qu'une femme Chikara, ne le prenez pas mal mais la plupart vous avez des caractère de cochon. Mais enfin les coup de chaises cessait, bon sang alléluia.. Elle se mettait à sa hauteur et son regards était assez étrange, elle s'en voulait ? Putin ces cool ces hormones au finale !



Disait-il pendant qu'il enlaçait sa chère et tendre. Une chose est sur rien ne lui enlèverait son petit bout de femme, il était tout deux des âmes sœurs et l'exprimait assez bien en soie. Malheureusement ce moment fut coupée par Takumi qui venait de hurlez contre lui, le petit détail casse-couille.



L'Uzumaki se maudissait avant d'éteindre sa cigarette dans le cendrier posé sur le bureaux, et oui les enfant clope et bébé ce n'est pas bon ! La cigarette éteinte Universa venait se rassoir avec Yuko face au médecin tout en lui tenant la main. Il était dans un état d'extase et de magnificences, il allait être père de deux filles qui serait aussi sexy que leur papa.

Il éteignait sa clope en s'insultant lui-même de con. Lui aussi avait les hormones qui changeaient ? Pourtant ce n'était pas lui qui portait deux enfants ! Yuko s'essayait le visage où les larmes coulaient avant de continuer l'échange avec Takumi.


Il était bien vrai qu'une grossesse jumelé devait être beaucoup plus surveiller qu'une simple grossesse, car le risque était double. L'Abura regardait ensuite son futur époux en souriant.


Elle se levait de sa chaise glissant une main dans les cheveux de son homme.

Il se retenait de rire pour la majorité des actions qui se passaient devant lui. Il se contente de simplement agir en professionnel et ne pas faire de remarque sur la situation qui était pour lui plus que comique. Il prenait simplement des notes en ignorant légèrement le couple avant qu’il y est question.


Il se lève et secoue la tête en signe de négation en voyant les deux commencer leur roucoulement de nouveau. Il s’avance lentement vers la porte.



Il fait un grand sourire et accompagne le couple vers la sortie et les salue avec un grand sourire avant de se rendre de nouveau à son bureau. Il enlève son bandeau en se posant dans son siège et s’étire avant de reprendre la lecture de ses documents dans un silence quasi monacal.