La petite troupe semblait se porter plutôt bien pour le coup. Pas de blesser, mis à part Akiko qui était trempée de la tête a pied. Testuko s'adressait à l'un des loubards encore à peu près conscient pour en savoir plus sur ce qui se passait au sein de cette boutique !
« Pitié ne nous frapper plus, on se rend ! Je vais tout vous dire, absolument tout... »
Mais une ombre surgissait mettant le grand gaillard hors d'état de parler et très vite cette même petite ombre se mettait debout devant nous. Je restais un moment intriguer et plutôt choquée de voir qui tirait les ficelles jusqu'à présent.
« On ne l'entendra plus celui là. »
C'était l'adorable chat gris de la dernière fois, celui qui accompagnait les loubards lors de cette fausse déclaration de chat disparu durant notre bataille épique de chi-fu-mi avec Daiki ! Mais que signifiait donc tout ça ?
« Parle cette fois-ci, sinon je ne me priverais pas pour te mouiller le pelage. »
Après que ma pauvre petite cousine se débattait plus tôt dans l'eau par ma faute... Je me sentais plutôt agaçée par la situation et voulais une réponse au plus vite.
« Très bien, très bien. Je vais vous expliquer ce qui se passe ici... »
Se grattant la gorge à l'aide de l'une ses griffes et tenant debout sur ses pattes arrière le matou commençait à faire les cents pas en entamant son récit:
« Cela remonte déjà à un an précisemment. Avec Caramel mon meilleur ami nous décidions jadis de partir pour ouvrir notre propre petit commerce. Par chez nous, nous étions certains de ne pas faire fortune alors que dans le monde des hommes... »
« Nous pouvos nous faire un bénéfice des plus rentables. »
Disait-il en faisant son entrée aussi.
« Nous les chats sommes connus pour être des pique sous. Oui, bon, d'accord. Nous appartenons au monde des chats ninjas et nous ne sommes pas fière de la manière dont nous avons utiliser ses humains... »
« Revenons à nos moutons. »
Je commençais fortement à m'impatienter de leur petite histoire qui s'avérait être longue, très longue.
« Excusez moi, mais nous n'avons pas toute la journée non plus. »
Le pauvre chat soupirait avant de faire un petit résumé.
« Bon en gros, on est venu ici pour ouvrir notre commerce et pour être tranquille nous avons fait un appel à l'aide à Micheru. De son grand coeur elle nous a accueilli et laissé démarer notre buisness sans jamais rien nous demander. Pour brouiller plusieurs pistes vis à vis des voisins nous avons du mettre en place des mises en scènes pour être un minimum crédible et être considérer comme les chats de la mère Micheru. Nous faisons des cake à l'herbe à chat et les vendons à prix d'or au propriétaire de chat qui en raffole ! Le problème c'est que les maitres ne pouvaient plus payer et nous demandaient sans arrêt de payer plus tard quand ils en avaient les moyens. »
« Sauf que nous nous sommes rendus compte de la supercherie et pour punir ses vauriens nous avons "kidnapper" leur précieuses boules de poils. En échange d'une rançon, mais surtout des frais qu'ils nous devaient nous leur rendons leur petit compagnon. Mais certains humains avides de thunes ont eu le culot de faire appel à vous pour résoudre cette affaire où nous ne sommes que les pauvres victimes de notre apparece animal. »
Il fallait que je leur demande:
« Pourquoi vous n'avez pas prévenu les autorités ? »
« Et qu'est-ce que tu penses que nous avons fait ? Mais jamais aucun d'entre eux ne nous ont écouté... »
D'ailleurs cette même police ne tardait pas à entrer en scène.
HRP : Mettez le paquet les enfants ! Je vous laisse imaginez la suite !