HRP : Règles rapides :
- Une fois dans la course, interdiction de s'arrêter sauf épuisement total
- C'est une épreuve d'endurance, pas de rapidité, restez à aux alentours de Kazumori
- Libre à vous d'étayer, mais évitez les posts trop longs après votre premier (en cas de trop nombreux participants)
- Si vous avez loupez des tours avant de pouvoir répondre, prenez le temps de tout rattraper ;)
- 2 tours = 1h 30 . Une dizaine de tours sont à prévoir environ
- Rejoignez quand vous le sentez (1er, 5eme, 8eme tours, devant la porte ou non, peut importe )
- Les spectateurs sont la bienvenue de poster, même règles que pour les coureurs
- HAVE FUN ET LACHEZ RIEN !
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Second tour du village, 9h00
« ON EST NINJAS, ON SE CASSE PAS LES OS ! »
« ON EST NINJAS, ON SE CASSE PAS LES OS ! »
Je criais à plein poumon, alors que l’écho d’une cinquantaine de personne courant derrière moi suivait. Les bruits des pieds tapant le sol se faisait entendre dans tout les environs.
« ET ON A TOUT CE QU’IL NOUS FAUT ! »
« ET ON A TOUT CE QU’IL NOUS FAUT ! »
Encore une fois, l’écho suivait ma voix. J’étais content qu’une cinquantaine de personne avait bien voulu se réunir. Il y avait des gens de tout clans, et tout grade. Du petit genin de dix ans, au juunin experimenté de quarante ans. Ils avaient encore de la voix après le deuxième tour du village, c’est bien.
« NINJAS DE KONOHA ? MAIS QU’EST CE QU’IL Y A LA DEDANS ? »
« DU CHAKRA ET DE LA PASSION, CHEF ! »
Après une heure et demi de course, on arrivait bientôt pour la seconde fois au porte du village, le soleil s’était bien levé et un vent frais nous gardait à bonne température. Personne n’avait flanché pour le moment.
DEUX HEURES AUPARAVANT
J’avais fait distribué des flyers et accroché des affiches pour ma course d’endurance ninja quelques jours auparavant. L’idée mettait venu de faire une activité groupée, totalement libre d’accès. Une simple course d’endurance autour du village. Le départ avait eu lieu à la porte du village, à l’aurore. La fin quand à elle… Se ferait à la tombée du soleil. Autant dire que tout le monde n’y arriverait pas. On pouvait la rejoindre quand on voulait, mais interdiction de s’arrêter une fois dedans ! L’épreuve me paraissait basique mais avait plusieurs avantages. Elle mettait en place une compétition amicale, tout en encourageant l’esprit de cohésion du fait de devoir y rester une fois dedans. Je voulais surtout travailler le mental des participants, plus que leurs physiques, bien qu’il allait être mis à rude épreuve. Pour les encourager, je les avais prévenu d’une pause déjeuner. De quoi manger rapidement ainsi que s’hydrater. J’ai demandé du personnel pour distribuer des bouteilles d’eau à chaque tour, prêt de la porte ainsi que de surveiller sur les murs, pour d'éventuel blessé. Quelques anciens et enfants s’étaient réunis sur des bancs pour admirer le départ. Une vingtaine de personne s’était réunis pour ce matin, malgré le froid hivernal.
« Bien. Maintenant que tout le monde s’est échauffé, on va pouvoir y aller. J’espère que vous comprendrez qu’une fois démarré, je compte sur vous pour finir. On s’arrêtera lorsque le soleil se couchera, pas la peine d’aller plus vite que moi, c’est une épreuve d’endurance aujourd’hui. On donne tout ! »
Sur ces mots, j’engageais le début du marathon. Je rigolais, motivé comme jamais à y aller à fond.