Un entrainement percutant

Il en avait dans le ventre au final pour un jeune homme plutôt faible en taijutsu. Bien plus déterminé qu’un bon nombre de genin qu’elle avait put voir avant lui, car évidemment, ce n’était pas le premier à qui elle apprenait. Le premier entraînement était toujours son petit teste pour voir un petit peu les caractères. Ceux qui ne voulaient rien faire, ceux qui n’avait pas la force ou l’intelligence ou encore ceux qui n’était là que par intérêt et donc les but n’était pas en cohérence avec sa façon de penser… Eux n’avaient en générale pas de second rendez-vous. De toute façon, de manière générale, il n’en voulait pas de toute façon étant donné comme la Uzumaki se montrait désagréable avec eux. Mais le petit Yuri avait les entrailles plus solide qu’il ne voulait bien le dire. Il avait réagi à l’impact de poing de la jonin dans le mur, mais cela ne semblait même pas le faire se questionner. LA peur n’était qu’une des dizaine d’émotion qui motivait la fuite et en générale son caractère trouvait écho dans les autres faisant fuir la majorité des gens. Elle souriait alors a la demande du genin.



Mais visiblement, ce n’était pas la seule question que le garçon avait. Son estomac se manifesta tirant un nouveau sourire à la Uzumaki qui se rendait vraiment compte a qu’elle point elle avait peut être un petit peu trop tirer sur la corde du jeune homme. Il avait faim et c’était normal, son corps avait subit un certain stress et avait littéralement dévoré des réserves d’énergie aussi bien spirituel que physiologique. À dire vrai, elle aussi commençait à avoir un petit peu faim, ce n’était pas son café qui allait lui servir pendant des heures encore. Elle tend alors la main au jeune garçon pour l’aider à se relever, lui proposant son aide si jamais il en avait besoin, faisant attention qu’il ne tombe pas et ne s’évanouisse pas.



Elle posait alors sa main sur la poitrine du jeune garçon, à l’endroit même ou elle avait posé le sceau pour le briser elle-même, lui rendant alors le quasi-contrôle de ses émotions. En générale ça revenait petit à petit car les effets du sceau n’étaient pas à cent pour-cent libérés. En générale ça revenait petit à petit car les effets du sceau n’étaient pas à cent pour-cent libérés.