Entraînement à 3

Sortant de la petite échoppe, un plat de ramen dans les mains, tu prends la direction des terrains d’entraînement. Engloutissant tes pâtes encore chaudes, tu as tôt fait de rejoindre l’endroit auquel Kyoko, Kazuto et toi, vous vous étiez donné rendez-vous. Marchant dans l’allée dont le bruit des feuilles accompagne celui de ta bouche, tu remarques que tes deux futurs coéquipiers sont déjà présents. Pff…tu es encore en retard…Décidément, cela ne changera jamais….

Entrant sur le terrain, tu lâches un petit sourire gêné.



Puis serrant la main de Kyoko tu espères qu’elle ne t’en voudra pas. Vous ne vous voyez pas souvent et lorsque c’était le cas, vous ne vous contentez que d’échanger de brèves paroles. C’est pourquoi qu’en l’invitant venir s’entraîner en ta compagnie, tu pensais aller avoir affaire à un refus. Mais surpris, tu avais assisté à son acquiescement et maintenant, elle était devant toi, en chair et en os.


Puis te tournant vers Kazuto, tu te dis qu’il est temps de faire les présentations. Tu ne sais pas si ces deux-là se connaissent, mais tu n’en prends pas le risque.





Préférant ne pas t’attarder dessus, tu te dis qu’ils auront tout le temps pour se connaître s’il le souhaite. Mais pour l’instant, c’est l’heure de l’entraînement !

Quelques temps plus tôt tu avais à nouveau rencontré Seiji. Tu avais un plutôt mauvais souvenir de ce type. Bien qu’à l’époque tu ne comprenais pas vraiment ce qu’il te voulait, tu l’avais bien compris désormais. Tu n’avais pas manqué d’entendre parler de lui entre temps, il était… ingérable, lorsqu’il s’agissait de personnes du sexe opposé. M’enfin, il avait déjà bien dû comprendre qu’avec toi il n’avait aucune chance que ses projets arrivent à leur terme. Celui-ci t’avait donc proposé un entraînement avec lui et un autre shinobi que tu ne connaissais pas, tu ne voyais pas de réelles raisons de refuser, cela faisait deux partenaires d’entraînements qui avaient plus ou moins le même âge que toi, c’était toujours bon à prendre. Tu n’étais pas très rancunière de toute façon.
Tu t’étais préparée à la va-vite, il n’était question que d’entraînement, tu n’emmenas rien d’autre que ton sabre, par habitude car celui-ci ne te servirait pas. Tu arrivas finalement à peu près en même temps qu’un autre jeune homme. L’apercevant tu t’approches de lui avant de t’incliner rapidement en signe de salutation.



Ce dernier n’était même pas encore arrivé, il aurait au moins pu faire l’effort d’arriver avant vous deux…



Tu posas les fesses par terre en soupirant, tandis que vous attendiez l’arrivée de votre connaissance mutuelle. Il arriva finalement après plusieurs minutes de retard. Ton regard en disait déjà long, nul besoin d’ouvrir la bouche pour qu’il voit que tu n’étais pas hyper contente qu’il mette autant de temps à arriver mais passons… Il fit rapidement les présentations. Une fois terminée tu enchaînes tout de suite.

Lors de leur rencontre à la bibliothèque, Kazuto avait accepté de s’entraîner avec son nouvel ami Seiji. Faisant d’une pierre deux coups, le Chikara avait également invité l’une de ses connaissances à l’entraînement. Il s’agissait d’une kunoichi, pour sûr. Mais certainement pas le genre à avoir peur de se casser un ongle. Évidemment, elle était très jolie avec sa coiffe tenue par une pince papillon, ce qui fit presque rougir le Genin. Cependant, son haori et son sabre montraient qu’elle savait très bien se battre, c’est ce qu’il allait découvrir aujourd’hui.


C’était un art qu’il ne maîtrisait pas, alors il était tout simplement impressionné. Cette fille devait être plus expérimentée que lui, c’était certain. Il n’allait définitivement pas la sous-estimer ! Mais quelque chose clochait. La sabreuse semblait froide, notamment quand elle exprima son exaspération quant au retard de l’autre Genin. Elle semblait le mépriser, peut-être était-ce elle la Tokine dont il lui avait parlé, celle qui avait failli réduire ses burnes en purée, ce qui expliquerait qu’elle le déteste, mais pourquoi aurait-elle accepté de venir alors ?!


C’était un peu gênant d’essayer de l’excuser, mais il fallait bien qu’il défende son bon ami. Chose qu’il regretta rapidement, le voyant arriver tout sourire avec un plat de ramen tout chaud acheté tranquillement sur le chemin pendant qu’ils l’attendaient. Cela le fit soupirer, ça lui rappelait son imbécile de cousin Ichigo qui ne prenait rien au sérieux et lui attirait toujours des problèmes. Il fit les présentations, et c’était finalement perdu. Ce n’était pas aujourd’hui qu’il ferait la connaissance de cette Tokine, mais il n’en était pas moins ravi de faire celle de cette Kyoko. Si elle savait bien se battre comme prévu, cet entraînement allait être prometteur !


Pour prouver ses dires, il fit tourner un kunaï autour de son doigt, de nombreux autres étaient plantés dans le tronc d’arbre derrière lui. Puis, il se mit en garde.

Déposant tes affaires à même le sol, tu enlèves ton yukata pour enfiler un simple débardeur blanc. Libre de mouvements, tu rejoins de nouveau Kyoko qui s'impatientant te demande le but de cette rencontre. La dévisageant, tu te dis qu'elle n'a pas changé : toujours aussi droite, jolie et naïve. Tu aurais eu de l'attirance pour cette adolescente si les événements d'il y a 2 ans n'avaient pas eu lieu. Or, maintenant, tu n'éprouves plus rien envers elle...nada....néant....vide.... Et tu t'en portes d'ailleurs très bien.



Puis, d'un coup de menton vers Kazuto, tu continues :


Étant le plus jeune ici, tu crois bon de rajouter :


Resserrant ton bandeau, tu pars faire quelques tours de pistes laissant Kyoko et Kazuto en tête-à-tête.

Si il y avait bien une personne envers qui tu n’avais aucune empathie c’était bien lui. Tu l’avais rencontré deux ans plus tôt, à cette même saison d’ailleurs. A l’époque tu ne voyais pas vraiment le mal, mais avec l’âge, et grâce à lui indirectement, tu avais compris de quoi il en retournait. Il était passé de garçon plutôt charmant et courtois à un pervers voyeur. Autant dire que tu ne le tenais pas en haute estime. Si bien qu’aujourd’hui tu restais assez froide envers lui, vos discussions se faisaient aussi brèves que possible. C’était d’ailleurs étonnant que tu ai acceptée de venir aujourd’hui. Qui plus est, ça n’était pas spécialement son genre de s’entraîner, ce n’était pas lui que tu croisais le plus fréquemment ici, manger une glace et se balader au parc… Vous n’aviez pas la même vision de la vie de shinobi, mais bon, chacun sa vision du monde n’est-ce pas ?
Tu poussas simplement un soupir, tu n’étais pas des plus enthousiastes aujourd’hui et ça se ressentait bien, on était loin de la Kyoko souriante habituelle.



Tu regardes Seiji partir s’échauffer, tu hausses les épaules, tu avais couru pour venir jusqu’ici, c’était bien suffisant. Tu retournas ton regard sur Kazuto.



Avant d’entreprendre quoi que ce soit, il était bon de connaître ses compétences, à voir si ça n’allait être qu’une perte de temps ou non. Tu étais d’ailleurs loin de te douter qu’il était un Uzumaki, qui habituellement étaient roux, m’enfin tout le monde ne pouvait pas avoir une lignée pure après tout, il y avait des exceptions.

Apparemment, Kyoko détestait les dragueurs. Peut-être que Seiji avait été un peu trop lourd avec elle, alors qu’elle ne s’intéresse pas à ces choses-là. C’était plausible, à en juger à son allure de samouraï, peut-être même qu’elle suivait la voie du bushido. De son côté, Kazuto n’aimait pas les fainéants, il fronça donc les sourcils lorsque Seiji parla de glace et de flânerie au parc.


Se dit-il dans sa tête. Enfin, Seiji remarqua tout de même l’enthousiasme de Kazuto, et il n’allait pas le décevoir. La course, ce n’était pas très intéressant. Courir, il pouvait le faire seul aussi, et il le faisait déjà lorsqu’il coursait son paresseux de cousin. Affronter de vrais adversaires, ça, par contre, c’était une idée géniale ! À ce sujet, la Kitto le questionna durement sur ses capacités à lui. L’Uzumaki fut un peu surpris par le ton sévère avec lequel elle s’adressa à lui, mais sa question était quand même légitime : avec son sabre, elle donnait clairement un indice sur son style de combat. S’ils devaient s’affronter, ce n’était pas juste qu’elle ne sache rien sur lui.

Attendant que Seiji finisse son échauffement, il la regarda en souriant. Cela l’amusait toujours qu’on ne devine jamais à quel clan il appartient. Cependant, il n’était pas fan des devinettes indécelables, raison pour laquelle il mit immédiatement fin au mystère.


Une information certes importante, mais sûrement pas capitale étant donné son faible niveau. En revanche, cela l’amusait moins de devoir expliquer qu’il était de sang mêlé, il estimait que Kyoka était assez intelligente pour le deviner. Enfin, la sentant particulièrement tendue voire hostile, il l’interrogea sur sa relation avec leur connaissance commune.


Lui demanda-t-il en croisant les bras avant que celui-ci ne finisse sa course.

Tu savais qu'en parlant de flânerie, tu n'aurais pas un consentement général, mais de là à te comparer à un inconnu….


Soucieux de rétablir ton image et de ne pas passer pour un feignant qui se vautre dans la nonchalance, tu crois bon de continuer.


Te tournant vers Kyoko, tu ne peux t'empêcher de lui lancer une petite pique.


Tu avais toujours du mal à accepter l'humiliation que tu avais subie. Même après deux ans, tu ne pouvais te résoudre à oublier tout ce qu'elle t'avait fait endurer. Te balancer par terre, être sourd à tes conseils et pire : refuser ton dessin était pour toi un affront. Si tu l'avais invité à cet entraînement, c'était aussi pour qu'elle puisse voir ce qu'elle avait manqué en te rejetant vulgairement. Même en t'entraînant rarement, tu avais réussi à atteindre un haut niveau en Taijutsu. Certes, tu avais beaucoup de mal à maîtriser cette force, mais tu comptais bien montrer à Kyoko de quoi tu étais capable. Ce serait une sorte de vengeance en quelques sortes...oui c'est ça…


Pour l'instant, faisans tes tours de terrain, tu voyais au loin Kazuto et Kyoko discuter. Tu espérais tout de même que cette dernière ne monte pas ton disciple lecteur contre toi, car son visage froid en disait long sur sa relation avec toi.

Finissant ton dernier tour, tu entends Kazuto demander à ta rivale si elle avait un quelconque problème avec toi. Désireux d'entendre la réponse de Kyoko, tu t'arrêtes à sa hauteur et rajoutes ironiquement :


Ne sachant pas si tu as dépassé les bornes, tu restes vigilant à sa réaction. On est jamais trop sûr avec elle...

Tandis que Seiji était encore en train de courir, tu poursuivis la discussion avec le jeune homme. Il s’avérait être un Uzumaki, comme quoi les apparences pouvaient être trompeuses. Il te fit une remarque à propos de ton sabre, tu esquisses un léger sourire devant son inquiétude.



Voulant détendre un peu l’atmosphère qui était rendu tendu rien que par la présence de Seiji près de toi, tu poursuis sur le ton de l’humour.



Humour ou surdose de confiance en toi ? Allez savoir ce qui se trame dans ta petite tête. Il te demanda ensuite, probablement suite à tes remarques, si tu avais un problème avec Seiji. Ce dernier s’arrêta alors près de toi au même moment, ironisant la question de Kazuto. Tu ne le regardes même pas et tu te contentes de soupire en haussant les épaules.



Dis-tu a Kazuko tout en faisant un signe de tête en direction de Seiji. Tu te retournes alors vers ce dernier, les bras croisés.



Bon, au moins tu avais été très claire à son sujet. Il faut dire que son éducation et la tienne étaient à des années lumières toutes les deux. Tu étais disciplinée et concentrée dans le fait d’accomplir ton devoir, tandis que lui, il ne valait pas grand-chose à tes yeux. Peut-être avait-il du talent au combat, sans quoi il ne serait peut-être pas shinobi, mais l’on t’avait appris qu’un shinobi savait se distinguer au combat tout autant que dans l’esprit des gens.
Tu poussas à nouveau un long soupir, la situation ne t’enchantait guère, mais loin de toi l’idée d’être venue ici pour rien. Tu poursuis alors sans attendre qu’il ne réagisse, tu n’étais pas venue pour te chamailler avec lui de toute façon.



Tu n’étais pas si douée pour pouvoir prétendre leur apprendre quelque chose, néanmoins tu savais que les entraînements dont tu te servais pour toi même leur serait utile eux aussi. Ce premier round déterminerais quelles sont les aptitudes des deux shinobis, ce qui influerais grandement sur la suite de l’exercice.

Oups. Visiblement il avait pensé à voix haute. Confus et gêné, Kazuto paniqua et se confondit en excuses, agitant nerveusement ses mains partout autour de lui.


Bon, il s’enfonçait clairement là. Il valait mieux se taire et sourire nerveusement en se frottant la tête en attendant que ça passe. L’Uzumaki ne comprenait toujours pas le goût pour l’art de son camarade, mais il ne pouvait pas lui enlever le fait qu’il était cultivé ; sûrement plus que lui, d’ailleurs. Et voilà qu’il apprenait qu’en plus de la littérature, Seiji était aussi doué en dessin, apparemment. C’était un peu bizarre de l’imaginer dessiner Kyoko, et d’après les dires du Chikara, il n’avait pas encore réussi à charmer une kunoichi. Une tentative ratée, certainement.

Enfin, d’un autre côté, ce n’étaient pas ses affaires et ça ne l’intéressait plus puisque sa touche d’humour avait fait sourire la ninja. Elle tenta également le même genre d’humour, mais ce fut moins réussi vu qu’elle était passée d’un sourire amusé à un rictus menaçant et clairement flippant. Ensuite, vint le cataclysme lorsqu’elle répondit à sa question innocente à l’origine. Il avait déclenché le feu aux poudres. Double oups. De l’alcool ? S’était-il trompé sur le compte de Chikara Seiji ? Peut-être trop habitué à entendre des horreurs sur son cousin Ichigo, il n’était pas au courant de ces ragots, ou alors ils lui filaient entre les oreilles.

L’atmosphère était tendue, ce qui gênait vraiment Kazuto qui ne savait plus où se mettre. Mais, finalement, Kyoko fut rationnelle et raisonnable et prit les devants. En voilà une qui les dépasserait rapidement, elle avait déjà l’esprit d’un Chûnin. Elle se plaça en arbitre d’un combat entre les deux Genin, une idée qui remonta instantanément le moral de Kazuto. Il ne demandait qu’à s’entraîner, car il savait qu’il avait beaucoup de progrès à faire.


Il déposa une tape amicale sur l’épaule du Chikara et lui adressa un sourire de défi avant d’aller se mettre en position, puis il resserra son bandeau sur son front et se mit en garde.


Une fois le départ annoncé, il se rua sur son adversaire pour engager le combat et tenter de porter le premier coup avec un enchaînement de coups de pieds et du tranchant de la main de bas niveau. Il était très curieux de voir ce dont était capable son ami avide de livres.

Ainsi, Kazuto avait un cousin…. Il n'avait pas l'air de le porter dans son cœur et les relations qu'ils entretenaient ne devaient pas être des plus joyeuses. Mais bon peut importer… Tu n'avais que faire de lui et te comparer à lui était comme il disait si bien : stupide. Tu ne connaissais que peu de personnes dans ce village à avoir un goût et un doigté aussi précis pour le dessin et cet Ichigo n'en faisait sûrement pas parti.

Ainsi laissant Kazuto se confondre d'excuses, tu écoutes par la suite la réponse de Kyoko. Tu étais curieux de savoir ce qu'elle avait à te reprocher.

"ragots", "rumeur", "nuire à son image". Voilà les mots qu'elle prononce. Des mots qui ne te font pas plaisir, mais surtout qui te permettent de mieux discerner la personne que tu as en face de toi. Tu constates, que cette même personne que tu avais rencontré il y a deux ans avait bien changé. On était loin de la Kyoko innocente de l'époque. Non. Aujourd'hui, on se rapprochait plus du terme pimbêche. Hautaine qu'elle était, elle disait ne pas écouter les ragots, mais avait quand bien même l'air de s'y fier. Même si ces rumeurs étaient vraies, qu'y avait-il de mal à profiter de la vie de quiétude que nos anciens nous avaient laissée ?
Et puis que sous-entendait elle par "nuire à son image" ? Vivait-elle que par intérêt ? Ne pas rentrer dans les cases de la société Konohanienne faisait tu de toi une crasse à son image ? Pff… cette Kyoko te dégoûtait… Hypocrite qu'elle était !

Préférant garder le silence, tu lâches un petit rictus. Tu espérais que Kazuto se fasse son propre avis. Il était loin d'être stupide et c'était à lui-même de comprendre à qui il avait affaire.

Ainsi, toujours dans cette atmosphère orageuse, tu entends la proposition de Kyoko. Tout de suite suivi, par Kazuto, qui s'impatiente à l'idée de se battre, tu en conclues que la course ne sera pas pour aujourd'hui. Dommage…

Soupirant, tu te mets en position de combat, prêt à découvrir ce que vaut ta récente rencontre. Tu étais curieux de savoir quel jutsu allait-il utiliser contre toi. Alors, resserrant son bandeau tu le vois s'élancer vers toi déterminée à gagner le premier point. Du Taijutsu …. voilà ce qu'il avait à te proposer ? En guise de réponse, il effectue un enchaînement de coup de pieds et de mains dans le but de te toucher. Ne voulant pas contre-attaquer par peur de te faire toucher, tu préfères prendre tes distances. D'un salto arrière tu effectues une courte série de mudra en l'air. Ainsi, dans l'objectif qu'il ne s'approche pas et aussi pour le toucher, tu lui envois plusieurs boules de feu.

Pas de cadeaux, il avait dit !

Seiji avait pris ses distances pour éviter son attaque de front au Taijutsu, puis avait enchaîné avec un jutsu de type Katon pour lui envoyer plusieurs boules de feu. Il était donc spécialisé dans les attaques à distance, cela expliquait pourquoi il avait creusé de l’écart entre eux. Kazuto, lui, connaissait encore très peu de techniques, sa spécialité était le combat au corps-à-corps ou avec des armes. Il devait se rapprocher, il l’avait compris. Alors, voyant que les pétales de feu ne sont pas très gros, il tente de faire une pirouette aérienne sur le côté pour les esquiver.


Alors qu’il se retrouvait la tête en bas pendant son salto costal d’esquive, sa main s’arme de trois shurikens qu’il lance sur son adversaire.


Une fois à nouveau au sol, l’Uzumaki s’arme d’un kunaï puis charge à nouveau sur Seiji, son but étant de ne pas lui laisser de répit et de le surprendre avec une attaque frontale au corps-à-corps. Trop concentré dans l’action, il ne se rend même pas compte de la douleur qui a pu être provoquée par une potentielle blessure au cas où une des boules de feu l’a touché.

Pourquoi s'obstinait-il à vouloir t'attaquer de front ? Atterrissant, tu commences à effectuer d'autres mudras pour ta prochaine attaque, mais une valve de shuriken t'en empêche. Les esquivant sans grande difficulté, tu comprends sa stratégie : t'empêcher d'effectuer des mudras pour te confronter au corps-à-corps....pas bête le Kazuto.... Te relevant de ta dernière esquive, tu le vois s'approcher un kunai à la main. Il ne te laissera donc pas le temps de respirer ?!
Peut-être qu'en t'ayant vu fuir, il pensait que tu avais des lacunes dans ce domaine…. Hélas, si c'était le cas, il faisait fausse route...



Prenant une posture défensive, tu attends le moment fatidique. Enfin, à ta porté, tu bloques son kunai de ta main droite et tente de le désarmer de ton index droit. Te pensant enfin à l'abri de son arme, tu te baisses au niveau de sa ceinture pour lui porter un coup de coude rapide mais peu puissant dans le ventre.

Taijutsu pour Taijutsu !