Le plan se passait bien, un peu trop à ton goût même, mais il fallait bien s’attendre à ce que les guetteurs ne soient pas les plus aguerris des combattants. Ils ne l’étaient probablement pas même, encore des types qu’il à soudoyé pour faire les appâts et vous réserver une meilleurs surprise à l’intérieure. Tu te doutais que ça n’allait pas être une mince affaire que de vous charger de lui et que vous n’allez pas être au bout de vos surprise. Tu n’avais pas l’impression d’avoir loupé d’informations. Tu as omis l’idée qu’il puisse être accompagné d’un senseur en revanche et c’était probablement ton erreur de calcul. Avant d’être aux côtés de Soshi, tu avales une petite poignée d’aiguilles, ça sera toujours un moyen de gêner.
« Hidemi fait encore le ménage, je pense qu’on va y aller sans elle. C’est là que les choses commencent… Ils nous à juste fait perdre du temps avec ses petits pantins… Je ne suis pas vraiment un combattant hors paire, restes dans le coin quand on Raiko sera trouvé… Si mes capacités ne permettent pas de l’achever, il faudra que quelqu’un le fasse. »
Tu n’avais pas pour but d’être le responsable directe de sa mort et comptais plus sur les autres pour en terminer avec l’homme, mais tu rentrais plus dans la provocation de l’intendante que tu ne souhaitais le laisser croire et ne voulais. Tu gardes simplement cette pointe de frustration de te faire commander de côté, ce n’était pas le moment. Tu fais signe à Soshi de te suivre et lance une dernière vérification avant de rentrer. Ils vous attendaient, très clairement.
« L’accueil ne sera pas très chaleureux ! »
Tu pénètres dans le palais des vices qui se trouvait bien plus vide que d’ordinaire, il n’y avait pas la flopée de client ordinaire mais simplement des hommes prêts à vous trancher la gorge à la prochaine respiration. Tu ne perd pas de temps et rentre pour laisser la place à la femme qui t’accompagne de rentrer et lui lance un petit regard loin d’être anodin.
Tu avais lancer un jutsu sur la femme et lui laisses voir une scène un peu différente. Les hommes étaient bien là, mais sa mère et sa soeur aussi, dans un bien piteux état. Tu doutais qu’elle n’allait pas faire faux bon, mais tu t’assurais qu’elle se débarrasse d’un maximum d’entre eux en se donnant à fond. De ton côté, l’assaut se lance et tes bandelettes s’agitent. Tu manques à plusieurs reprise de te faire prendre par la vitesse, mais tu craches une salve d’aiguilles. Tu n’es pas dans ton terrain de jeu et cela se sens. Tu ne vois pas Raiko mais tu n’as pas la concentration nécessaire pour le trouver sur le moment.