Excusez nous, nous voulons passer.

Nous nous rendions en direction de la résidence des Gaikotsu pour y retrouver une amie que nous connaissions depuis peu maintenant. Cela faisait un moment que nous l'avions vu et nous proftitions de cette journée de repos bien mérité pour lui faire un "coucou" de notre part. Le chemin nous semblait long et ennuyeux comme toujours. Sur ce même chemin nous croisions le regard de plusieurs individus qui n'étaient pas à l'aise en notre présence pour ceux qui nous connaissaient. Peu importe. La neige fondait à vu d'oeil, laissant place à ce magnifique soleil qui nous réchauffait la peau du visage. Notre saison printanière allait bientôt commencer, ce qui signifiait que de magnifiques fleurs pousseraient prochainement. Malgré nos pensées postives notre visage inspirait la dépression. Notre démarche silencieuse reflétait notre personnalité entière: la plupart des personnes nous qualifiaient de morte. Pourtant nous respirons et vivons notre vie comme il se doit.

Après plusieurs milliers de secondes de marche, un individu nous bloquait notre route sans s'en apercevoir. D'un ton vide de vie et monotone nous l'interpellions.




Toujours aussi cache et sans aucune diplomatie. Nous n'étions pas faite pour ça et malgré une bonne volonté de notre part, les mots sortaient toujours sur le même timbre de voix.

Perdu dans ces pensée, le Kitto roux n'avait pas vu qu'il était sur le chemin d'un groupe d'individu. Perdu dans ces pensée, ce dernier réfléchissait à une nouvelle théorie que Chikara Eri lui avait proposer. L'ancien chef de la police avait bien quitté sont poste, mais la Chikara avait insisté pour en discuté avec lui. Ce dernier était au sujet de la mort d'Uzumaki Bokyoku et la disparation mystérieuse d'Uzumaki Sayuri et Chikara Nagisa. Après tout, le temps de cette dernière avait pris feu et aucun reste des corps n'avait été retrouver. L'hypothèse la plus probable était qu'il soit morte également l'incendie. Mais cette dernière n'était pas de cette avis d'ailleurs.

Quittant des yeux le document qu'il lisait, il reporta son attention sur le groupe, ou plutôt sur la Kirishitan qui s'adressait à lui. Ce qui le perturba également. Pourquoi utilisait t'elle le therme "nous" pour ce définir elle-même? En tout cas, elle ne mâchait visiblement pas ces mots, contrairement au Kitto.


Un peu gêner, le Kitto continua d'aborder cette dernière. Il n'avait que peu de connaissance sur les Kirishitan et c'était l'occasion de s'améliorer dans ce domaine.

Etrange comme première question. Habituellement les gens commencent par "comment vous appelez-vous" ou bien ils se présentaient dans la théorie la plus simple. Cet homme attirait notre curiosité, peut-être qu'en discutant avec lui nous en apprendrions plus sur le comportement et la manière de penser des Konohajins ?


Notre regard se posait sur la couleur de ses cheveux. Un Uzumaki ? Nous ne demandions pas la permission de lui toucher ses cheveux pour inspecter la jolie couleur qui en émanait.


Ajoutions-nous en restant obséder par la couleur de ses cheveux le regard vide, le reste du corps droit comme un piquet hormis les doigts attrapant une mèche de cheveux et le ton de la voix toujours aussi neutre et sans vie.

Le Kitto roux était perplexe. Sa réaction était tout à fait inhabituelle,. Il en convenait sans problèmes. mais la curiosité l'avait emporté sur la bienséance malheureusement.


"Peu commun" passait mieux qu'inhabituelle ou totalement pas utiliser. Du moin, dans ce contexte-ci. A moin que la peau d'ébène ne soit pas tout à fait seul dans sa tête ? Le kitto roux n'était pas un spécialiste du domaine mais c'était une hypothèse plausible? Bien que surement irréaliste. Ce genre d'individu ne vagabondait pas librement dans les rue du village sous les yeux de tous ci ?

Gardant son calme, il ne réagis pas lorsque cette dernières se permit de toucher sa chevelure. L'hypothèse de la folie était maintenant bien plus plausible dans son esprit. il valait mieu être sur ces gardes.


Gardant son calme, il dévisagea la peau d'ébènes. Son attitude neutre, presque froide, ne l'aidait pas à effacer l'hypothèse de la folie. Bien qu'elle pouvait tout simplement être aussi peu doué que lui pour la relation sociale. Il nota cependant la présence d'une arme. Elle était donc bien du clan Kirishitan et vraisemblablement une guerrière.

D'un point de vue extérieur, la scène devait semblait bien étrange. Deux inconnue qui se croise et, quelque seconde plus tard. L'une toucher les cheveux de l'autre...

Continuant à fixer la chevelure rousse du Kitto, nous nous présentions à notre tour.


Retorquons-nous et laissant les cheveux de l'homme en paix. Puis, de façon non discrète nous baissions nos yeux sur les documents.


Mais même si les mots étaient là, nous ne pointions pas les feuilles du doigt. Bien au contraire nous restions statiques à fixer le faux Uzumaki de nos grands yeux verts.

Il n'y avaiot rien à faire. La façon de parler de la peau d'ébène le perturbé étrangement. Curieux de comprendre la raison à cela, il en oublias presque le vieux dossier qu'il avait récupérer. Chikara Eri était persuader que cette affaire n'était pas clos. Bien que Konoha n'avait aucune certitude quand à la survie ou non des deux Disparu. Uzumaki Sayuri et Chikara Nagisa manquait à l'appelle. Il était fort probable qu'elle ai fini comme Uzumaki Bokyoku. Même si son sort restait néanmoins suspect.


L'Uzumaki observa de nouveau la femme qu'il avait gêner. Soutenant le regard émeraude de cette dernière, une idée germa dans son esprit. Un regard nouveau ne pouvais pas faire de mal après tout.

Nous le regardions toujours du même air. Il nous demandait si nous connaissions le culte de la lumière, mais même le nom ne nous disait rien.


Peut-être que notre bloqueur de route avait un peu de temps devant lui pour nous expliquer la chose.


Peut-être avions une chance de pouvoir avoir une piste pour trouver le nouvel Eden et permettre au nôtre, du moins ceux qui le souhaitent, de pouvoir avoir notre propre chez nous et ainsi récupérer nos véritables valeurs qui se perdaient à force de rester à Konoha. Un "vieux dossier" précisait-il juste avant. Probablement plus de chance de tomber sur quelques éléments intéressants en prime ? Des informations qui nous intéressaient.

Derrière sa neutralité apparente, le Kitto roux s'efforcer de cacher la légère déception lorsque cette dernière dis ne pas connaitre ce culte. C'était à la fois dommage et peu étonnant. Le culte n'était pas si rependu à ce qu'il savait. par contre, il avait fait l'erreur de l'aborder ce qui attisait la curiosité de la curieuse peau d'ébène.


Honnêtement, c'était embêtant de rouvrir de vieille plaie. mais cette affaire n'avait pas de fin à ce jours. Du moins, pas une fin satisfaisante. Soupirant, le Kitto roux fît quelque pas en invitant la Kirishitan à le suivre. restait planter au milieu de la rue pour discuter n'était pas la meilleur idée. Après tout, c'est parce qu'il vagabondait dans ces pensée qu'ils c'étaient rencontrait.


En y repensant, c'était assez étrange d'avoir bâtit son lieu de culte en dehors de la protection du village. La preuve en était ce qui lui était arriver.


C'était plus proche d'une sectes et l'ancien chef de la police préférait éviter de parler de certaine disparition qui lui avait été associé.

Nous suivions l'homme à son invitation pour continuer notre route.


Il y avait quelque chose que nous ne comprenions pas vraiment. Quels lourds secrets cachaient ceux qui le créaient ? Il n'y avait aucune logique d'avoir une communauté et de la briser en arrière plan. Nous ne savions pas si c'était ironique d'entendre que le temple finissait en feu aux dernières paroles du rouquin.


Nous ne passions pas par quatre chemin. De notre point de vue, aucun individu vivant sur le Yuukan ne ressortait de vieilles histoires par plaisir. Nombreux étaient les gens qui possédaient leur jardin secret, et encore aujourd'hui notre nouvelle connaissance nous le confirmait de plus bel.

Le Kitto roux décida de ne plus se soucier de l'étrange façon de parler de la Kirishitan. Il c'était lancé dans une conversation qui semblait intéresser cette dernière. Bien plus que la raison de ces "nous" en tout cas.


Les disputent qui avait entrainer le début de l'enquête n'était pas vraiment lié au culte en lui-même. C'était plutôt certain habitant qui voyait d'un mauvais œil cette nouvelle religion.



Trouvant un banc libre, le Kitto roux invita Utsuro à s'assoir en sa compagnie.


Le Jonin n'était plus intéresser par la religion depuis plusieurs année déjà. S'il avait été un fervent défenseur de la parole de la prêtresse de Konoha dans sa jeunesse. Cette époque était maintenant révolue.


Il n'y avait que peu d'élément pour faire avancer l'enquête à cette époque. Surtout que les recherche n'avait rien donner.


Simple coïncidence, il n'en savait guère plus. Peut-être que c'était une fausse piste sur laquelle Eri l'orientait. Surtout qu'il n'avait plus vraiment à s'en occuper.

Nous répondions à la seconde invitation du Kitto et nous nous asseyions à côté de lui. Immobile, les jambes croisés et les mains posées sur nos cuisses.


Rétorquions nous de notre voix vide d'émotion. Si le roux ne comprenait un peu plus tôt notre manière d'être, il l'aurait pu très mal le prendre. Hors ce n'était pas le cas et il continuait à dévoiler toutes ces informations qui pouvaient être intéressantes. Kotaro enchainait sur la suspicion que cette fameuse Chikara était, en fait, toujours en vie.


Il est bien vrai qu'un autre détail nous sautait en pleine figure, depuis le début le Kitto insistait bien sur Nagisa. Même s'il était mis sur cette affaire, que pouvait représenter cette dernière pour lui ? Une meurtrière de son camarade ? Une femme qu'il a aimé ? Une simple criminel à enfermer ?

Le Kitto n'était pas vraiment triste du décés de l'Uzumaki. La mort faisait partie intégrante de la vie d'un shinobi. Même si ce dernier n'en n'était pas vraiment un.


Le Kitto ne cacha pas du tout ça surprise à cette question. La femme Chikara n'était qu'une femme impliquée dans une affaire qu'il penser ne pas pouvoir résoudre un jours malheureusement. C'était ce fait qui le dérangeait par dessus tout. Le fait qu'un crime reste impunis n'était pas vraiment une idée qui l'enchanté.


Accompagnant le tout d'un léger rire, c'est vrai qu'il n'avait sans doute plus à s'en soucier. Mais les rumeurs avait parfois un fond de vérité.


Tournant son regard vers le ciel. L'idée d'être motivé par la vengeance ne l'intéressais pas le moins du monde. L'illusionniste était fidèle au valeur de paix de son clan. Il comprenait également la nécessité de ce battre, mais il y avait d'autre recours possible que la violence à chaque problème. C'est ce qu'il pensait.


Il ne pouvait même pas dire qu'elle était coupable. Simplement que c'était une possibilité tout comme elle pouvait être une victime.