C'était le matin... Et comme tout les matins la pauvre Yuko fermait la porte des toilettes. Que pouvait-il se passer ? Même moi narrateur je ne le sais et je ne veux pas le savoir. *Toussote toussote* Revenons en à nos biquettes... moutons ! Comme tout les matins Yuko, jeune maman de trente ans ne sachant pas que son mari est actuellement en prison, mais plutôt en "déplacement", se tapait de douloureuses nausées depuis bientôt plus de deux mois, voir plus encore ! D'humeur CHIENNE, elle était prête à éclater le moindre insecte qui l'agacerait au plus haut point !
Après un bref coup d'eau sur le visage, la jeune femme huileuse se couchait à nouveau pour se reposer. Mais alors qu'elle s'apprêtait à s'endormir, quelqu'un frappait à la porte... Se levant péniblement, elle entendait de l'autre côté.
« Ouvrez ! Police de Konoha ! »
La police ? Tient donc, qu'elle surprise après la visite des deux jeunes filles... Ne voulant pas trop d'histoire n'étant pas en état, après avoir somnoler, elle ouvrit la porte et à peine l'avait-elle fait que les individus se permettaient de rentrer. L'enduiseuse n'avait même pas encore placé un seul mot que la pétasse aux gros nibards ne passait pas par quatre chemin. L'abura n'allait pas se laisser faire ayant péniblement éplucher tout les bouquins de ses droits dans ce village "civilisé". Bon, sa colocataire lui avait lu puisqu'elle ne savait pas vraiment lire et ni écrire. Jugez pas ! L'apprentissage est beaucoup plus difficile pour un adulte !
« Nous avons quelques questions pour vous, veuillez vous asseoir... »
Mais Yuko n'obéissait pas. Elle n'avait aucun ordre à recevoir en plus d'être chez "elle".
« Je refuses de m'assoir. »
« Vous n'avez aucunement le droit de rentrer sans ma permission dans cette maison, vous venez de faire une violation de droit de vie privée à l'exception d'avoir un mandat. »
Croisant les bras en se plaçant de façon à être une garce.
« Surtout vous quoi. On va pas se mentir, depuis notre première rencontre vous nous juger en permanence sans nous connaitre réellement. »
« Mais ca vous devez bien l'ignorer qu'il existe une loi contre la discrimination au sein même de votre village puisque vous vous prenez des droits en permanence. »
Mettant les mains sur les hanches l'air furieux.
« Donc je ne m'assois pas et je vous prie de prendre la porte. Si je dois répondre à des questions c'est dehors, je ne vous ai pas invité... ! »
La jeune Abura était plus que déterminée à ne pas se laisser faire !