Fouillez-nous si vous osez !

Ma sœur comme à son habitude en faisait trop, elle ne réfléchissait pas suffisamment, et elle avait à cause de cela était prête à finir la tête entre les cuisses d'une potentielle ennemie qui aurait pu la tuer à tous moment de cette position de faiblesse.



De l'amour ? Oui sans doute, cependant je venais de le montrer, cela n'était pas, mais alors vraiment pas dans mon habitude de faire cela, et j'espérais vraiment que Reika n'allait pas en faire tout un plat. Heureusement la situation fût rapidement balayée par ma vue de cet Uzumaki.



Ma sœur était là première à adresser la parole au Uzumaki, mais j'allais être la première à le faire parler par la force si jamais il venait à ne pas répondre. Je m'approchais de lui, je passes mes mains sur ses abdominaux à même la peau, et je disais avec un petit sourire.



Je n'hésiterais pas une seconde à entailler cet homme pour venir lui trifouiller les intestins, et j'espérais qu'il me pousse à le faire...

Universa en était quasiment sûr... Il était face à des Kumojins... Au fond de lui, il bouillonnait d'intéressement et de dégoût. Il ne souhaitait qu'une chose ; tuer les deux garces face à lui. Les femmes parlaient de Miwaku Kohana... Le Uzumaki se fichait bien de cette petite garce et il semblait enfin trouver midi à la porte en possédant le choix de lier Konoha et Kumo définitivement... Il se mit à sourire.


Soudainement, le visage de Yuko marqua l'esprit du roux aux notes charbonnées... Il déglutit. Ne pouvait-il vraiment pas se venger sans craindre pour sa propre femme ? Universa s'en voulait de ne pas pouvoir croire en ses idéaux et de ne pas pouvoir participer à la fin de Kumo.


Il ajouta quasi systématiquement :

Tu observais ta jumelle glisser sa main, probablement froide, sous les vêtements de l'Uzumaki. Tu savais que le bout de ses doigts devait effleurer les abdominaux de l'individu. Consciente qu'à la suite de ce geste, elle montrerait les dents en lui lançant ses meilleures invectives, tu esquissais un sourire. Bien que vous possédiez un visage d'ange, vous étiez en réalité de véritable démone.

L'homme dont la chevelure rougeâtre possédait des notes charbonnés prit la parole. Tu pris l'information de la trahison de Konoha à son égard avec un gloussement. Durant quelques instants, tu ne pus t'empêcher de te poser la question suivante : Kumo t'auraient-ils livré à tes ennemies ? Alors, ton rire étouffé se libéra entièrement, consciente que tu acceptais la situation, et te battrais jusqu'au dernier instant pour ton village natal. Vous n'étiez pas fait du même bois... Les Konohajin et les Kumjin étaient réellement différents...



Tu ne croirais jamais un prisonnier, tout du moins, jamais sa première réponse. Encore moins lorsque celles-ci étaient offertes sans le prix de la douleur. C'était un Konohajin, et la couleur de vos pupilles trahissaient votre appartenance à Kumo, et tu espérais, au fond de toi, que même trahit par son village, celui-ci possédait suffisamment de fierté pour tenter de le défendre, ou tout du moins, ne pas faciliter la vie à des ennemies.



Tu t'approchais de lui, d'un pas envoûtant avant de venir faire glisser le bout de ton index sur sa joue. Puis, tu fis à nouveau quelque pas en arrière.

Bien, les réjouissances allaient commencer, d'après ce que j'avais compris il ne devait pas mourir, et c'était parfait ! Mourir était trop facile, mourir ne provoquait pas suffisamment de souffrance, non j'allais m'occuper de lui correctement, lui faire cracher ce qu'il avait à cracher, et le laisser avec ses souffrances. Le simple fait de savoir qu'il allait autant souffrir me fit soupirer de bonheur... Reika devait savoir vu ma réaction que la suite n'allait pas être belle à regarder.



Je venais de mes doigts agiles défaire son pantalon, baisser ses vêtements pour l'exposer totalement, et je coupais les vêtements et une fois qu'il était nu je dis simplement.



Je faisais craquer mes doigts et venait lui coller un immense coup de poing dans les cotes, je n'étais pas spécialement doué en taijutsu, mais il ne pouvais pas tellement se protéger...



Des mundras, et je venais saisir ses partie intimes dans le but des les geler lentement, la douleur de se froid intense allait le faire parler... Enfin je n'avais pas toutes les inconnues en mains... Mais d'habitude cela fonctionnait pas.

L'homme se mit à cracher du sang et à rire malgré le froid.



L'homme ne souffrait que peu, il résistait au froid mieux que quiconque. Il se mit à souffler de l'air chaud.


Il observa ses menottes du coin de l'œil.


Et que ce jour-là, l'Empire se fasse enfin écraser par son manque d'efficacité. Universa ne croyait guère en la défaite de Konoha, tout au contraire... Il avait été élevé dans un environnement patriotique extrême et il haïssait Kumo plus que sa propre mère.

Un coup-de-poing dans les côtes. un sexe exposé et des bourses qui se glaçait : voilà tout l’œuvre de ma jumelle. Tu affichais un sourire satisfait tout en écrasant de ton pied la fin de ta cigarette. Tu glissas la main dans tes poches, afin d'en extraire une nouvelle clope que tu viens mettre au coin de tes lèvres. Tu craquas une allumette et vins tirer une lapée de fumée que tu laissas doucement échapper par tes narines.



Tu ne te détachais pas de ton sourire et ton intonation se montrait enjoué. Tu t'interrogeais sur le fait que Konoha puisse aussi posséder des utilisateur du Hyoton, mais ce genre de question, finalement bien existentielle, viendrait trouver réponse plus tard.



Tu inhalas une nouvelle bouffée de fumée. Tu profitas pleinement de la chaleur qui se diffusait dans ta gorge avant de recracher ce nuage au-dessus de ta tête.

Hum ça s'était intéressant, alors que j'avais les parties honteuse de l'homme fermement tenue dans mes mains il ne sembla pas du tout être atteint par ma glace. Quel était le pourcentage de chance que nous tombions sur un autre utilisateur du Hyoton, surtout dans un endroit perdu comme celui-là. C'est Reika qui prit la parole quand il proposa un accord. Les Konohajin... Nu, attaché à ma merci, il pense être en pouvoir de proposer des accords.



Je mettais ma main dans la poche de ma sœur pour lui prendre une cigarette que je venais allumer sur la sienne en approchant mon visage du sien, je tirais ensuite dessus avant de recracher la fumée au visage de cet Uzumaki.



Je tirais une nouvelle fois sur ma cigarette, les yeux rivés dans ce de Universa, puis je lui dit.

Universa était dans une situation bien problématique et il était certain que les Kumojins allaient finir par s'impatienter... Il n'allait pas pouvoir jouer au beau parleur bien longtemps. Au fond, pourquoi devait-il garder cette information ? Ce marché n'était qu'un leurre afin de tromper les deux Kumojins... Le Uzumaki ne souhaitait qu'une seule et unique chose ; détruire Kumo. Il en était sûr, ce village n'était pas si puissant... Il en était sûr, il n'avançait sûrement plus que par simple crainte... L'Empire n'était qu'une relique du passé et il était temps que celle-ci laisse la place à la stabilité de Konoha. Malgré la fumée, l'homme ne perdait pas le Nord et il comptait bien profiter de cette intimidation.


Pourquoi donner l'information de la sorte ? Le Uzumaki comptait se servir de la surprise de cet aveu pour embrumer l'esprit de la cible. Universa avait cette fâcheuse tendance de se croire plus malin que les autres sans estimer être celui étant manipulé... Cette requête n'était pas si idiote, mais les femmes ne se laisseraient surement pas berner aussi vite... Soudainement, des pas se firent entendre dans le couloir jonchant la pièce.

Miwaku Kohana. Le nom venait d'être dit, tout comme sa localisation... Konoha. Le reste ne t'intéressait guère, un accord passé avec un ennemi ne se voyait que trop rarement fructueux, cela, tu le savais pertinemment. Tu ne t’inquiétais nullement de la manière dont vous alliez réussir à récupérer cette petite peste qui avait déserté. Tu étais persuadé d'une chose: Konoha vous la rendrait afin d'éviter une guerre diplomatique. Et auquel cas, tu participerais à celle-ci avec un réel plaisir...



Tu profitas d'une dernière bouffée de fumé sur ta cigarette avant de la jeter par terre et de l'écraser avec ton pied. Bien que vous étiez deux jumelles, au tempérament différent, malgré une tendance à la folie bien trop similaire, tu étais celle des deux qui dirigeait. La raison était simple, tu étais plus puissante que Raika. Cela s'expliquait par les nombreuses heures d'entraînement que tu effectuais alors que ta sœur préférait se prélasser dans un fauteuil... Alors, telle la cheffe que tu représentais au sein de votre duo, tu lançais avec désinvolture :



Tu effectuas quelques rapides mudra, alors que tu entendais désormais des bruits de pas se rapprocher dans le couloir adjacent. Un loup fait de glace fit son apparition à tes côtés. Ses crocs luisaient, ils étaient prêts à déchiqueter la peau du Konohajin sous la simple impulsion d'un de tes doigts.



Tes doigts se mouvèrent avec une harmonie des plus parfaites. Le loup approcha doucement de ta cible: Universa. Dans un instant, celui-ci sauterait à la gorge de l'individu... Une punition des plus mortelles pour avoir injurié celle qui comptait le plus à tes yeux. Un prix fort, mais qui s'estimait nécessaire... Tu étais la seule qui disposait de tout les droits sur Raika. Tu la possédais, tout comme elle te possédait...

Shimazu était libre depuis déjà plusieurs semaines, lui permettant de déambuler à son bon vouloir au sein de la bastide. Bien étrangement, le Uzumaki n'avait jamais tenté de s'échapper... Tout au contraire, il s'était familiarisé avec le peuple et s'était rapidement rendu compte de l'injustice de ce monde. Konoha s'était enfermé dans un raciste si profond que les habitants ne réalisaient pas qu'ils se cachaient des autres familles au Chakra par crainte... Cette haine de l'énergie était un tabou interdit... Un tabou que Harumune pouvait parfaitement expliquer. L'homme à la coiffure de feu en savait dorénavant assez sur le monde et sur ses environs pour enfin réagir.

Il y a moins de dix minutes, un homme vint à la porte de sa demeure afin de lui signaler que Universa allait rencontrer des Kumojins et quasi instinctivement, Shimazu se mit à courir en direction du bâtiment concerné par cette rencontre. Il pénétra au sein de la demeure et se mit à marcher avec calme, parcourant les salles les unes après les autres... Pour finalement ouvrir la porte... Le regard choqué par la scène, l'homme réagit face à ce chien de glace en train de mordre son ami d'enfance.


Si Universa venait à être blessé, il était certain que l'homme n'allait pas se permettre d'offrir une chance de s'enfuir aux deux femmes...

Reika avait perdu son sang froid, je n'aurais jamais fais de mal à ce Uzumaki. Enfin pas pour ça, bien sûr j'avais l'intention de le tuer, mais pas là pas comme ça. Enfin bref, je n'allais pas priver ma soeur de se meurtre elle le faisait pour moi après tout. Mais un évènement pour le moins troublant arriva, un autre Uzumaki... Un autre Uzumaki ? Koya fait l'élevage ou quoi ? Il entra et nous demanda tout de suite ce que nous faisions.



Le loup s'arrêtait alors que les crocs de celui ci venait de pénétrer de manière infime le cou de Universa, lui laissa juste une petite coulé de sang dérisoire qui ne m'était pas sa vie en danger.



Je rigolais quelques instants, puis je le montrais du doigt avant de dire.



Universa était toujours là, attaché et totalement nue, totalement à ma merci également. Reika était là, je savais qu'elle me protegerais en cas d'attaque de ce nouveau venu. Je saisi un kunai et le mis sous la gorge de Universa avant de dire.



Je me montrais un peu plus pressente sur la lame de mon kunai afin de montrer à Shimazu que j'étais sérieuse dans mes menaces...

Le loup de glace avait avancé gracieusement jusqu'au pied de l'Uzumaki. Doucement, il posa ses pâtes froides sur les cuisses de sa cible. La gueule ouverte, il apposa ses dents aiguisées contre son cou. Tu apercevais la blancheur éclatante de la glace se rougir très légèrement au contact d'une perle de sang. Il ne te restait plus qu'un seul mouvement de doigt à effectuer et alors, la gorge d'Universa se verrait déchiqueter. Mais la voix de ta sœur t'interrompit dans ton élan. Tu relevas les yeux pour voir dans l'encadrement de la porte, une nouvelle tête rousse. Deux Uzumaki ici. Tu ne cachais pas ton étonnement, tout comme ta jumelle, qui verbalisa ton ressenti. Alors que Raika sombra dans un rire de quelques instants, ton loup relâcha sa prise et vint se poser juste au côté d'Universa. Ton regard se posa donc sur le nouveau convive. Mais tes paroles ne s'adressèrent pas à lui, mais à ta jumelle.



Ton regard passa doucement du nouveau Uzumaki à Universa qui se trouvait désormais avec un kunai pressé sous la gorge. Ta sœur était comme toi... Vous aimiez user de vos armes, sous n'importe quel prétexte.



Tu ne savais pas réellement quel était le statut de la femme que vous aviez rencontré au début. Cheffe, Kage, tu ne savais guère, mais surtout, tu ne connaissais pas pour sous quelle hiérarchie répondait une tête rousse au sein de ce village.