Plutôt inattendu...

Que c'était ennuyeux, tu allais devoir faire appel à un autre individu pour retrouver cette traitresse... Pour le moment tu observais simplement le Rihatsu exécuter son travail sans la moindre hésitation. Tu soupirais alors plus que satisfaite de voir un homme au travail... C'était plaisant à tes yeux et cela te donnait des envies que tu assouvirais bien plus tard. Tu ne t'étais pas tromper, ce Inaba possédait bien une musculature remarquable... Bien dommage que tu ne réussissais à le faire succomber à ton charme.






Puis, tu te dirigeais vers la seuil de la porte.


Sans plus attendre tu sortais et entamais déjà ta marche en direction de ta prochaine conquête ou victime... Tu n'avais pas encore décidé pour le moment.

Il était temps pour toi d’aller livrer le corps à la personne qui t’en donnerait un très bon prix vu la fraîcheur de cette nana. Elle était sexy quand même, mais je ne tenais pas à l’abîmer, elle avait beaucoup trop de valeur et j’avais besoin de beaucoup d’argent pour changer de statut surtout.

La folle recousu me disait de livrer le colis, je comptais le faire même sans son aval et ensuite de la rejoindre à la tomber de la nuit si je désire continuer à être bien payer pour service rendu. Un vrai job, je ne pouvais pas cracher dessus.



Je prends la direction de la sortie avec le colis.



Je me rends rapidement vers ce trafiquant, je le connaissais depuis un bon moment et vu la cargaison, il sera vraiment content. J’arrive dans une ruelle degueulasse et glauque. Je tapote à une petite porte et on m’ouvre. Je montre le colis et je vais le déposer sur une table. Ce gars, Shira Mioky, examine le corps et je vois un sourire se dessiner sur son visage.



Sans dire un mot, il me lance une énorme bourse remplis d’argent. Vu le poids, il y en avait un paquet. Je pars de là aussi vite que j’en suis rentré. Direction rapidement manger un bout et ensuite je vais rejoindre la donzelle au gros seins. Je mange et je bois jusqu’à ne plus en pouvoir. J’en profite aussi pour aller prendre une douche et par la même occasion m’acheter une nouvelle tenue beaucoup plus propre. Me voilà partit en direction de la douane, la nuit tombe, j’y arrive rapidement et je peux la voir, on ne peut pas la rater d’ailleurs.



Je mate un peu la marchandise aussi, fameuse paire de fesses que les talons accentués encore plus.

Tu te hâtais à ta prochaine récupération de marchandise, puis la suivante et encore la suivante... A travailler à un tel rythme tu ne savais plus vraiment où donner de la tête.




Tu repoussais les bras d'un homme en voyant le soleil se coucher à travers de léger trous perçant les murs qui protégeaient cette ville. Déposant ainsi tes lèvres sur les siennes avant de reculer et de prendre la sortie. Encore une chose de régler pour aujourd'hui...

Tu ne savais pas si cet homme allait te rejoindre, tu lui avais laissé le choix de partir ou de revenir. Après tout, avec la belle pièce rapportée il devait avoir une petite fortune sur lui, donc rien ne l'obligeait à se pointer au lieu de rendez-vous. Tu marchais fixant la grande porte avant de rester quelques minutes pour voir si ce Inaba allait tenir parole ou non. Tes pions tu aimais les tester et jouer avec...


Tu ne le voyais toujours pas arriver et n'étais pas de nature patiente lorsque tu donnais un rendez-vous. Alors que tu t'apprêtais à partir tu entendais qu'il était bel et bien revenu au final.


Le taquinais-tu. Il était déjà bien plus présentable qu'au commencement. Tu t'avançais vers lui le dévorant du regard, s'il était consentant tu en ferais certainement ton goûter, mais il ne succombait pas à ton charme.




Tu basculais ton bassin sur le côté gauche en croisant les bras.

Une remarque sur ta tenue, une proposition de copulage après. C’était vraiment une croqueuse d’homme celle-là, j’en lève les yeux au ciel ! De toute façon, tu ne mélangeais pas plaisir et travail. Elle est devenue ta bosse. Meilleur des rapports sans ambiguïté, ça évitera des problèmes futur certain !



Je crache un gros molard qui m’était resté en travers de la gorge.



Aucun problème à régler et le temps, c’est de l’argent.



Je m’approche un peu d’elle.



La confiance, j’utilise ce mot sans y croire. Les hommes profitent de la moindre faiblesse pour te poignarder dans le dos.



J’éternue fortement avant de me moucher comme un forcené. Saleté de rhume, ou d’allergies, j’en sais rien mais ça me gonfle d’être ainsi 6 mois sur l’année.

Tu riais de bon coeur en voyant cet homme aussi naïf qu'il l'était lorsqu'il te demandait si tu étais en manque.


Les hommes alors, fallait-il tout leur apprendre ? Enfin bref, ce n'était pas le sujet pour le moment. En tout cas, tu le trouvais fort bien amusant, au moins un type qui n'avait pas sa langue dans sa poche comme le fils d'Harumune... Lui aussi tu en ferais bien ton quatre heure. Tu t'en pinçais les lèvres rien qu'à l'imaginer proche de toi.


Tu te tournais pour passer la porte de la douane comme si de rien n'était ne répondant pas à ses questions. De toute façon c'était tes affaires pour ce coup-ci, pas les siennes. Tu l'avais déjà testé inutile de recommencer. Et lorsque tu atteignais la sortie tu pouvais constater que ton carrosse était encore là. Tes loups des sables attendaient patiemment leur récompense aussi. Tu venais de récupérer le corps de trois espions et traites que tu engageaient. Encore des Abura, tous des menteurs ces gens là. Les corps des victimes se trouvaient dans des sacs que tes deux hommes de main gardaient avec eux.


Le fameux Ike qui te trahissait sans aucune once de scrupule. Tu prenais son bras avant de l'envoyer dans la meute. Les loups des sables de nature bien en chaire et en muscle se battaient entre eux pour avoir leur part.


Avant de reprendre la route, elle s'amusait à lancer les "morceaux de viandes" les uns après les autres.

Rien de plus à dire pour le moment elle come moi. En sortant, je pouvais voir les beaux bestiaux lui appartenant. Elle devait vraiment avoir beaucoup de pognon et avoir quand même du pouvoir. Suffit de voir les gorilles qui lui obéissent au doigt et à l’œil. Alors qu’ils amenaient les morceaux de cadavres, dirait-on bien, je fais une petite remarque.



Des chiens qui nourrissent des chiens. Je la regarde balancer des morceaux humains à ces charognards qui se battent entre eux. Ça amusait cette folle furieuse de les voir ce battre, je suis même sûr que ça devait l’exciter et que l’envie de ce faire monter par ces loups étaient un fantasme qu’elle réalisera un jour, sans aucun doute.
Enfin, c’est pas mes oignons et elle finit par me demander si je veux les nourrir.



Je prends les sacs et je les balances tout les 3 aux loups. Vite fait bien fait…




J’espère qu’elle allait répondre au moins à la question que je vais lui poser.



Triste vérité, mais ça allait peut être changer.

Tu te sentais un peu... déconcertée de voir qu'il ne connaissait même pas l'une des bases du clan. Et encore plus celle près de l'oasis.


Tu montais alors dans ta "calèche" où il y avait quatre place grand maximum, mais en t'asseyant sur les genoux de l'un de tes subordonnés avec classe, cela en faisait maintenant une cinquième.


Le taquinais-tu en empruntant une voix suave avant de rire aux éclats. Une fois que ce dernier monterait à bord, les loups pourraient entamer la course dans le sable encore chaud en direction de l'Oasis.






Tu étais bien plus que sérieuse à ce propos.




Tu allais encore donner une mission d'assassinat des plus basiques comme à ton habitude ou alors la pêche aux informations concernant celui qui était la cause de tes cicatrices...

Si je le demande c’est que je ne connais pas, quelle déduction ma belle! J’ai en effet entendu parlé de cet oasis mais je n’y avais jamais mit un pied. Ça me ch agréa et je verrai sans doute des personnes intéressantes pour me développer encore et encore. Puis, je ne voulais plus rester dans cette citadelle maudite, il y avait mieux à faire à l’extérieur pour les richesses aussi.

Elle monte alors dans la calèche. J’observe un peu ce qui s’y passe. Elle se met sur les genoux de l’un de ces gorilles pour me laisser une place. Comme si j’avais peur de monter là dedans. Je n’ai juste pas confiance aux loups et à ces hommes de mains. Pas le choix de toute façon !



Elle m’explique ce qui s’y passe là-bas. La calèche se met alors en route. C’est un trafic assez banal mais qui rapporte vraiment beaucoup d’argent. Les plus belles pour le bosse, les autres pour les moins que rien ou plus rentable de vendre leurs organes aussi.



On arrivait à destination, c’est assez luxuriant et il y faisait agréable.



Je me demande sur qui ou quoi je vais tomber ici ou dans les alentours. Le désert est une vaste plaine et un oasis est un lieu de rencontre pour beaucoup