Mission impossible !

Te revoilà sexy woman. Dans un lieu redouté de tant de personnes, mais la mort était devenue quelque chose de saugrenue à tes yeux. Tu l'avais croisé à plusieurs reprises et pourtant, tu étais encore là.






Tu montais sur un traineau pour une personne attachés à deux gros loups du désert. Et bientôt, il était temps de se mettre en route pour la chasse à l'oeuf de Baaki...




Tu avais réuni deux hommes en plus pour pouvoir faire cette mission à haut risque ! Mais tu te moquais bien de cela, ce n'était pas ta première visite ici...

J’avais subit environ deux heures de briefing sur ce que l’on allait faire comment, ou être quand de long en large et de large en travers. J’en ai eu un mal de crâne assez conséquent d’ailleurs.



Pourquoi cet envie de toujours vouloir être sexy ? Elle est plaire mais ce n’est qu’une arme ou une carapace, les deux peut être. Je n’avais pas ces atouts physique. Je suis chérif, sans réelle ambition et aucune envie de plaire.



Je la vois qui monte sur un traîneau… des loups non merci. Je vais en prendre un avec des gazelles. Elles sont bien plus sympathiques. Les deux autres qui nous accompagnent font de même et nous voilà parti pour une chasse aux œufs, ce n’était pas encore Pâques pourtant.



Je ne vais pas pour combien de temps il y en avait exactement, je ne connais ni la route ni la région par ici.



Je préfère être insignifiant, ça évite beaucoup de soucis.

Soupirais-tu à moitié. La majorité de tes hommes de mains n'étaient pas de petits gigolos. La formation que tu leur prodiguait.... était différente, certes, mais ils en ressortaient dans tout les sens du terme.

Et maintenant, mettant tes lunettes contre le sable avec la plus grande classe, tu claquais ta cravache sur l'arrière de l'un des loups pour envoyer la cadence !


Avec l'équipe vous optiez pour une formation losange rapprochée à une distance d'un mètre environ. Inaba se trouvait à ta gauche et les deux autres hommes étaient répartis sur ta droite et à l'arrière. Alors que le vent soufflait dans ta magnifique chevelure, le silence fut rompu par une question amusante.


T'exclamais-tu de bon cœur en riant sarcastiquement de ta voix de femme fatale.




Et tu poursuivais la route, en direction de ce danger qui te faisait frémir d'excitation d'être en position inconfortable te donnant un certain plaisir à te faire sentir vivante !

Sur les conseils plus tôt reçu, je met aussi des lunettes pour éviter d’être aveugler avec le sable ou tout autres bestioles qui pourraient venir s’écraser sur mes yeux. On avait aussi une drôle de formation, faire des formes géométriques pour mieux se protéger ? Sans doute. Si un se fait attaquer, ça laisse le temps aux autres de réagir.



Je suis assez interrogateur. C’est sûrement sa réaction à ma question que je n’aurais peut être pas due poser. Mais sa réponse était d’autant plus étonnante que seul l’argent suffit à faire gagner du respect.



On continue notre route, Léa faisait maintenant plus de deux heures que nous traversions ces étendues. J’avoue que je commence à avoir un peu soif.

La course et le vent t(obligeaient à hausser la voix pour te faire entendre.


Il était bien vrai qu'il devait ignorer ta position au sein de la Pègre de Suna et aussi celle auprès de votre clan. Et puis, il connaissait bien trop ta vie pour savoir ce genre de choses à l'avance.


Elle donnait une nouvelle fois un coup de cravache ce qui avait don de faire grogner le loup.


Alors, vous voyagez bien deux heures ainsi. Tandis que ce pauvre homme se plaignait, tu n'avais de temps à accorder aux jérémiades.


Pas mal de muscle pour peu d'intelligence, quel dommage... Mais, vous n'aviez eu à peine le temps que le sol se mit soudainement à trembler...


Et voilà que le premier Baaki haut de quelques mètres sortaient sa sale trogne du sable !


Et voilà que la chasse aux oeufs étaient ouvertes...

Elle était quand même bien sympa cette Miwa… enfin, gentil n’a qu’un œil, je préfère rester méfiant on ne sait jamais. Je pense qu’elle est du genre à me laisser crever facilement si je ne lui sers plus à rien. Comme la majorité des gens, ils sont égoïstes et ne vivent que pour eux sans se soucier des autres aussi bien physiquement que sentimentalement, ils se moquent de tout, détruises tout. Nous vivons dans un triste monde, je n’ai connu que ça d’ailleurs. Je reviens à moi quand elle me pose une question.



On était arrivé sur le terrain de ces vers.



Le sol tremble et tu vois jaillir un énorme ver horriblement répugnant, ça te dégoûtait profondément dément rien qu’à l’idée de l’affronter, de toi je se truc qui ne ressemble à rien, honnêtement, ils ont quoi de si précieux pour venir en chercher encore et toujours.



Je vais me positionner, la chasse est lancée mais faisons attention de ne pas devenir les proies, nous devons ramener ces œufs…

Et étant en zone de reproduction en plein sur leur territoire... Le danger de morts étaient très élever ! Lorsque tu n'avais aucune mission en cours, c'était ici que tu t'amusais à délaisser ceux qui te trahissaient. En revanche, lors de sa dernière visite de courtoisie, un ami était prêt à payer un prix fort pour déguster ces fameux œufs. S'il était coméstible, aucune idée, tu préfères de loin manger des légumes. Choses qui ne poussaient pas par ici, car le désert est bien trop sec pour y développer une quelconque culture...


Vous vous faisiez poursuivre par une dizaine de ces machins hideux... Et pour le moment, par encore d'œufs visibles. Les loups tenaient la cadence dans l'espoir de survivre également ! De leur apparence spécifique, en groupe des sales bêtes pouvaient être terrible.


À moins que ces dernières les cachaient sous le sable ?


C'était moins une ! Tu avais à peine eu le temps de t'abaisser que l'une de ses créatures te passait au dessus...


Et le losange se divisait à pas lent mais surement !

Il prenait mal la plaisanterie alors que je ne fais que le taquiner.



Bordel de saloperie de vers ! On se fait poursuivre, ce n’est pas nous les chasseurs mais bien eux! Je cours le plus rapidement possible alors que l’un des vers me fait faire un rouler boulet sur le côté, raaa!



J’avais déjà commencé à me séparer de la formation car j’avais repérer un petit amas rocheux, il y avait de l’ombre et j’ai repéré des formes qui corresponds à ce que l’on cherche. Je me déplace en faisant le moins de bruit possible. Ils fonctionnent sur les vibrations… si je savais vole ça aurait été réglé en deux minutes cette histoire. Bon… je pique un sprint jusqu’au rocher et plusieurs vers se mettent à me poursuivre, je bondis alors sur l’amas rocheux alors que les vers tentent de me manger. Bon il y avait bien des œufs ici mais je suis coincés… que faire…

Tu ne comprenais pas pourquoi Inaba descendait du traineau en connaissant la vitesse des vers... En regardant d'un air surpris, tu manquais de te faire bouffer pour la seconde fois !


Toi aussi par la même occasion si tu ne te concentrait pas sur ta tâche... Tant pis pour lui ! Tu cravachais tes loups pour leur faire prendre de la vitesse, mais...


Tu faisais demi-tour ! Tu le voyais là-bas sur...


C'était une femelle en train de pondre ! Trop affaiblie pour s'occuper de lui c'était les autres vers qui lui tournaient autour pour le faire dégager de la femelle.


Tu rendais alors tes cheveux bien plus tranchant et robuste pour tenter une ouverture... Tu espérais qu'Inaba ne vous conduira pas vers une morte certaine... Alors tu t'approchais un peu plus en usant de tes cheveux pour te frayer difficilement un passage avant de ressentir une vive douleur à ton mollet !


Un petit vers venait de te mordre, le sang risquait de les rendre bien plus affamés...

J’étais perché fièrement sur cet amas rocheux et je pouvais me préparer à prendre quelques œufs mais sans en savoir la vrai raison, Miwa me demande de descendre tout de suite car ce n’est pas un caillou ? Ben c’est quoi alors? Je ne vois pas trop à quoi ça ressemble d’autre.



Je la vois s’approcher de moi avec une technique que je con amis bien mais elle se fait blesser et tel des animaux sauvages, les vers vont vers elle, je le devais d’agir rapidement. Je fais alors un énorme bond pour me mettre entre elle et les vers, mais il y en avait de plus en plus.



Les cheveux commencent à m’entourer et dans un premiers temps, il y a des centaines de cheveux aussi dur que des senbons qui fusent dans toutes les directions pour blesser les vers. J’effectue ensuite une longue série de mudra afin que les cheveux s’allonge comme des pics pour aller embrocher les vers.



Je vois le Rocher un peu bouger.

Dépassée... Un nouveau sentiment que tu ressentais soudainement. Ce n'était pas la chasse aux oeufs qui te mettait dans cet état là, non loin de là ! Le comportement suicidaire de ce Rihatsu dépassant grandement tes attentes et ton imagination !


Tu ne rêvais pas ! En pensant vouloir s'interposé entre toi et les vers il t'arrêtait en pleine course ! Encore sur ton traineau tu le saisissais par l'arrière de son col avant de le faire monter à l'arrière. Annulation de la mission en cours... Tu effectuais rapidement trois mudras pour le coller à toi et cravachais dans l'immédiat les loups !


Encerclé par les vers tes braves bêtes n'avaient aucunement peur de leur courir dessus se faisant mordre les pattes pour les malchanceux... Heureusement que leur taille était un peu plus grande qu'un loup lambda, au moins ils ne céderont pas facilement sous les crocs pointus et douloureux de ces saloperies.


Tes cheveux maintenant à la perfection Inaba, ainsi que ta personne et le traineau pour ne pas y tomber dans le sable grouillant de ces créatures. Les plus gros vers refaisant à nouveau surface laissant les bébés à l'arrière. Le Rihatsu allait devoir s'expliquer de part son agissement plus qu'inapte lors d'une mission à risque élevé ! Tu avais l'impression d'assister à un spectacle diner et le repas aurait pu être vous deux...

Voilà que je me retrouve collé à Miwa, mais elle me fait quoi la? Le but était de chopper des œufs à tout prit non? Et pour ça il aurait fallut être un peu plus agressif. On aurait pu en ramener une dizaine et non, elle annule la mission et naturellement on se fait pourchasser par tout ce tas de vers qui mordent à gauche et à droite les montures, résistantes au passage,



Je suis en colère alors que l’on commence à s’éloigner de la zone et que les vers se font de plus en plus rare, abandonnant eux aussi la chasse. On continue tout de même notre route. Vu la direction, on rentre au camps, mais quel drôle d’idée là quand même!



Je me répète, mais je suis vraiment en colère car je ne comprend pas cet agissement, je n’avais mis que ma propre vie en danger et non celle des autres. Je me dis qu’il est grand temps pour moi de changer d’horizon et de partir vers le Nord comme je l’avais prévu pour changer radicalement de vie et ne plus rester dans ce désert qui me maudissait plus que le diable.