Ahen : Bis repetita

J’étais bien penard dans mon bain quand un esclave vient me déranger, ça me rendait fou de rage. Il avait plus que peur et il me tend une missive qu’il me dit être important pour moi. Je lui arrache des mains en lui disant de dégager au plus vite. J’ouvre celle-ci, il s’agit de Satoko qui me propose de venir passer un bon moment au Ahen afin de rediscuter calmement de ce que je lui avais demandé quelques jours plus tôt… c’est assez étrange de sa part, mais je suis très curieux et je veux savoir de quoi elle veut discuter et voir où ça vous nous mener. Le rendez-vous était dans deux heures, j’avais largement le temps de me préparer.

1h30 plus tard.

Je suis prêt à partir, il me reste trente minute pour me rendre a Ahen. C’est amplement suffisant, je connais un raccourci par les bas fonds. Ça ira plus vite et je tabasserais quelques clodos au passage, ça m’amusera et ça me détendra avant t’arriver dans ce putain de bar de grosse salope dégénérée avec tout ces Hattori plus horribles des uns et des autres. Si ça ne tenait qu’à moi , j’y mettrais le feu en les enfermant tous dedans. Ça fera des déchets en moins dans Kumo qui ne servent à rien.







Nous y sommes, je me présente aux gardes en disant que Satoko m’a invité. Il m’amène alors dans une loge des plus luxueuses et me demandent de patienter un peu en m’offrant du champagne.

Tu avais accueilli le baiser de ton cousin sur ton front avec joie. Peut-être, car tu savais que lorsque tu avais une entrevue avec Ashura, la mort était une éventualité. Malgré le fait que tu avais conscience de cela, tu ne pouvais t'empêcher d'être acerbe en la présence du monstre. Peut-être, finalement, cela devenait un jeu pour vous deux... Tu avais toujours apprécié les comportements à risque après tout... Tes cousins étaient partis après avoir le retour de votre servant, vous confirmant qu'Ashura acceptait l'invitation. Bien évidemment, cela ne t'étonnait guère, tu lui proposais de lui offrir ce qu'il désirait... Tu les avais suppliées de se montrer prudents, Ashura n'étant nullement dans la demeure, cela n'empêchait en rien les risques. Cet homme était suffisamment fou pour cacher des pièges ou bien des serpents dans les moindres recoin de sa maison...
À peine avait-il quitté Ahen que tu avais couru dans les escaliers afin de te changer. Tu voulais te montrer sous ton plus bel éclat. Alors tu avais glissé une robe rouge sang avec un décolleté qui laissait entrevoir ta poitrine, certes, petite, mais ferme. Tu avais attaché tes cheveux en un chignon élégant, laissant seulement quelques mèches entouré tes angles de ton visage gracile.
Une heure plus tard, ton servant vint te chercher dans la salle principale d'Ahen, il était là. Tu avais en attendant son arrivé, profité des festivités qui avait débuté dans la plus grande salle d'Ahen. Du sexe, voilà ce que tu regardais. Des corps bouillant s'accouplant les uns aux autres, le tout accompagné des alcools les plus chers du Yuukan. La luxure à son état le plus brut. Tu te levais avec une élégance digne de votre trio et te déplaças jusqu'à une porte qui se trouvait à seulement quelques mètres de toi. Tu pénétras et te retrouvas dans une loge luxueuse et dont se trouvait devant toi, assis, Ashura, sirotant une flûte de champagne. Cela te faisait mal de savoir qu'un bougre tel que lui était en réalité bien incapable de savoir apprécier une telle liqueur...



Quelques gémissements parvenaient jusqu'à l'intérieur de la loge. Évidemment, puisque celle-ci se trouvait accolée à l'une des pièces du baisodrome.



Tu fis quelques pas sur le côté et vins ouvrir une trappe qui se situait contre le mur, celle-ci permettait de voir le spectacle qui s'offrait dans la pièce adjacente. Une dizaine d'hommes et de femme couchant les uns avec les autres.



Tu vins t'asseoir alors sur l'un des fauteuils mit à disposition et tu pris une flûte vide que tu tendis vers l'Hattori, afin que celui-ci te serve une lichée de champagne.

Je ne suis pas patient et elle ne m’a pas fait attendre trop longtemps. J’admire alors la splendide robe rouge qu’elle aborde avec son magnifique décolleté. Ce rouge le fait penser au sang et ça m’excite assez bien. Je la croquerais bien comme une pomme et lui faire connaître le sexe bestial… ou je peux lui envoyer la soeur pour m’en débarrasser. Un endroit comme celui-ci pourrait lui convenir amplement. On lui offrirait sans doute beaucoup de cadeau pour services rendues.

Bref, en vidant ma flûte, je ne peux m’empêcher de rire quand elle décrit l’état de la pièce lors de ma dernière visite… je n’y avais pas été de mai morte.



On entend les gens baiser comme des porcs à côté. La loge devait être proche d’un gangbang dans une autre pièce.



Elle va ouvrir une trappe et on peut y voir des dizaines de personnes copulant… fameuse fête la…



Elle s’assied et tend une flute. Je prend alors le champagne pour remplir son verre et j’en fais de même avec le miens. Autant passer un moment plus agréable que la fois dernière. Elle me parle enfin de la couveuse… c’est ça que je voulais.



Je sors un cigare, on avait l’impression qu’il y en avait un deuxième vu la bosse longue qui donner vers la poche. J’avais mit un pantalon très moulant pour laisser entre voir mes attributs. Je l’allume alors tout en souriant m.

Le voyeurisme, oui tu y étais une adepte. Quoi de plus normal pour une femme ayant, dans son enfance, été bercé par les gémissements et baigné dans le monde du libertinage. Alors, oui, tu appréciais avoir l'œil baladeur et nombreuses de tes soirées se résumait à être assise sur un fauteuil au milieu d'une salle ayant pour principale odeur, celle du sexe, et comme mélodie, les cries de plaisirs. Bien évidemment, chacune de ses soirées était accompagnée d'alcool, bien trop souvent en abondance, comme aimait te le faire remarquer tes cousins. Alors, tu souris légèrement, aux paroles d'Ashura. Pour une fois, celui-ci était sincère.



Alors que ta flûte se remplissait doucement de champagne, ton regard parcourait les différents corps nus et transpirants. Tu ramenas ton regard sur Ashura, qui s'allumait un cigare et dont il laissa échapper une volupté de fumé de sa bouche. Cet homme était laid, il n'y avait pas à dire, cependant, tu étais persuadé que plusieurs femmes de ce lieu aimeraient subir ses différentes asseaux et coups de reins.
Tu amenas la flûte de champagne à ta bouche et laissas l’élixir se rependre dans ta bouche. Tu profitas de chacune des bulles qui explosaient sur ta langue, t'offrant le délice de ses saveurs avant d'avaler.
Ashura avait compris que sa couveuse ne serait nullement gratuite. Il n'était finalement pas si bête que ça. Alors, tu levas un doigt en l'air, chose que tu faisais lorsque tu souhaitais imposer le silence.



Tu cessas alors de parler. Et à tes oreilles ne te parvint que les gémissements, le claquement de hanche sur des fesses et... Rien d'autre... Aucune mélodie ne donnait le rythme. Aucune sonorité mélodieuse ne résonnait dans la pièce... Le néant...

Je tires quelques bouffées et je me dis que ce ne sont pas des étalons dans là pièces à côté de la notre. On dirait des puceaux qui jouissent au bout de deux minutes.



Je souris légèrement, était-ce une invitation? Peut être, elle était excitante et ce lieu ne calme pas les ardeurs. Après tout, cela fait maintenant un peu plus de deux heures que je me suis vidé… ça commence à faire long. Certains mangés toutes les deux heures, moi… je le branle et je baisse toutes les deux heures. Ça permet de me calmer et d’être un peu de meilleur humeur.

Je la vois lever son bras et d’un coup… je n’entend plus que le bruit de gémissements, des claquements de couilles sur les fesses… et elle me pose alors une drôle de question? Il manque en effet quelque chose, quelque chose que j’avais bien entendu la fois dernière.



Il crève de chaud ici… à croire que c’est fait exprès pour boire et se déshabiller.



Je ne voyais pas vraiment où elle voulait en venir encore…

Tu laissas l'invitation à coucher avec Ashura en suspens. Cet homme était d'un vulgaire sans nom et cela, ne te plaisait en aucun point. Tu aimais le raffiné, l'acte sensuel et beau. C'était pour cette raison que tu préférais l'acte imaginé que vécu, car bien souvent, les hommes, égoïste, était incapable d'offrir un rapport charnel agréable à l'œil, beau, sensuel et raffiné. Ashura venait de te le prouver une nouvelle fois par ses paroles.
Recentré sur la question principale, à savoir, que manquait-il actuellement au sein de la pièce, vous pouviez reprendre les négociations. L'Hatorri trouva rapidement la réponse. Il manquait de la musique. Mais la raison pour laquelle il n'y en avait point n'était pas une quelconque grève ou absence des musiciens. Si tel avait été le cas, tu serais de toi-même monté sur scène pour offrir la plus belle des mélodies à tes clients... Non, on vous avait dérobé les instruments et le principal suspect était juste devant toi... Peut-être feintait-il l'ignorance...



Tu allais désormais rentrer dans le vif du sujet, mais avant cela, tu repris une gorgé de champagne.



Tu ramenais ton regard sur la scène qui se jouait devant toi. Tu tentais de paraître détacher de la situation. Calme. Sans crainte face au monstre qu'il représentait.



Désormais, tu étais persuadé que l'homme qui te faisait face, prenait conscience de la part du marché.

Il manque les instruments… mouais ça paraît logique aussi mais pourquoi ne sont ils os là? Je ne m’en fais pas plus que ça et je continue de boire et de fumer. J’avais d’ailleurs envie de sortir la grosse queue et de la mettre par la trappe. Ça aurait fait un Gloryhall improvisé. J’en aurais sûrement attiré plus d’un sur mon super dard. Après tout, elle était capable fourrée une armée alors qu’elle n’est meme pas gay. Ahah trêves de plaisanterie, elle pense que c’est moi qui est fait le coup. J’écrase alors mon cigare avant de demander une bouteille de son meilleur saké.



En l’écoutant , je vois où elle veut en venir. Ça me paraît acceptable.



Je la regarde dans les yeux, avec une grosse envie.



J’avais de plus en plus d’aller fourrer mon engin dans tous ça.



On m’apporte le saké que je siffle comme de l’eau.

Étonnement, tu croyais Ashura lorsque celui-ci t'expliqua son innocence de manière bien peu conventionnelle, à savoir, te laisser savoir qu'il aurait tout simplement mit le feu à l'établissement. C'était finalement l'explication que tu avais également offerte à tes cousins. Ashura n'était pas suffisamment raffiné pour venir voler vos instruments, cela était l'acte d'une personne réfléchie et non, celle d'un homme impulsif. Pour autant, tu ne relevas pas cela. Tu profitais des paroles de l'Hattori pour venir boire une nouvelle lichée de champagne en regardant le baisodrome qui était devant toi. Tu ne reposas son regard sur lui qu'à l'instant où celui-ci évoquant la sentence infligé au voleur... Tu pouffas avec grâce avant de lui répondre:



La conversation semblait toucher à sa fin. Trop tôt... Bien que tu semblais persuadé qu'Ashura ne soit pas coupable et que celui-ci se salirai les mains pour vous, tes cousins, eux, étaient dans son appartement en train de récolter des quelconques preuves. Preuve qui selon toi, ne trouverait pas désormais, mais qui savait ? Peut-être récolteraient-ils d'autres informations intéressantes. Tu te devais donc de gagner du temps afin de leur permettre de revenir à Ahen, sain et sauve.



Tu tendais les bras en direction de la salle d'à côté avec un sourire mesquin sur les lèvres.





Tu lui fis un clin d'œil avant de rajouter.



Bien évidemment, tu n'en avais que faire de regarder un monstre tel que lui coucher avec d'autres femmes. Mais tu savais, que dans son esprit tourmenté, ce genre de chose pourrait le pousser à accepter de rester plus longtemps ici... Le temps nécessaire à tes cousins de finir leurs affaires.

Je ne peux m’empêcher de rire.



Il allait falloir que j’enquête et je sais à qui je vais demander de m’aider pour ça. Ce type trouve tout et tout le monde, je n’aurai as grand mal à le faire moi-même aussi.



La proposition suivante est vraiment très courtoise, beaucoup trop même. A se demander pourquoi tant de générosité alors que j’ai sinistré et insulté quelques jours plus tôt. D’accord, on a un deal mais tout de même.



Je plonges alors mon regard dans le sien.



J’insiste sur mon regard.



Je souris alors que je met ma main dans mon pantalon.

Ainsi, les orgies n'étaient pas ce qui plaisait au monstre qui se trouvait devant toi. Une simple fellation, voilà ce qu'il désirait. Ton regard ne cachait pas ton étonnement. Tu aurais pourtant juré qu'un homme impulsif tel que lui aurait eu pour penchant ce genre de pratique. Qu'importait, tu ne répondis pas de suite, et le sujet changea rapidement vers une tout autre demande. Ashura avait eu ouï dire que notre trio possédait des œuvre à l'effigie des serpents. C'était une chose vraie, Fusamune aimait les collectionner et lui-même avait prit l'initiative de créer un lieu de culte au sein même d'Ahen. Mais à nouveau, la discussion fit un revirement sur le sujet précédent. L'Hattori voulait se voir satisfaire par ta servante qui possédait des attributs non-négligeables. Cependant, tu perçus dans le regard de cette pauvre femme, qu'en aucun cas, elle ne désirait s'offrir à cet homme, mais pouvait-elle réellement refuser poliment sans prendre le risque de s'exposer au joug d'Ashura ?



Tu aperçus dans le regard de ta servante un certain soulagement.

Il y avait beaucoup de règles dans cet établissement. Ce qui faisait bien sûr de ce lieu un endroit respectable pour ce qui s’y passait chaque soirée et nuit. Un baisodrome consentant sans échange d’argent et avec des règles strictes et ils n’hésitaient pas à virer les gens facilement en les bannissant à vie. Après, ils allaient dans d’autres endroits beaucoup moins fréquentables où les maladies les plus horribles pouvaient tourner et ainsi mettre fin à la vie de certains de ces porcs.



Je vois l’échange de regard. C’est l’ennui de devenir un monstre. Je fais simplement peur à tout le monde et c'est une chose très très jouissif. Elle me propose à nouveau l’orgie, elle insiste vraiment beaucoup. Mais je ne veux pas de ça.



Je me relève, ça va me dégourdir les jambes.



C’est la seconde fois où je viens qu’ils ne sont pas la… étrange.



Je pourrais ainsi latter son cul divin et imaginer ce que je pourrais lui faire… j’ai de la drogue sur moi, ça aidera peut être à la détendre hehe.

Tu te levais délicatement de ton fauteuil en même temps qu'Ashura. Tu venais déposer doucement ton verre, que tu n'avais nullement fini, sur la table en lançant un regard bienveillant à la servante qui était attitré à cette loge. C'était une manière non-verbale de la remercier de t'avoir servi, mais surtout d'avoir supporté la vulgarité de l'Hattori.





Tu te tournais désormais, offrant ton dos et en conséquence, une vue imprenable sur ton postérieur moulé dans la robe rouge que tu portais. Tu sentais le poids du regard d'Ashura sur ton corps. Aucun doute que ce vicieux se rincerait les yeux en te reluquant. C'était le genre de chose qui ne te dérangeait guère. Après tout, ton corps et tes formes étaient parfaits, et cela, devait bien servir à quelques choses... Alors, tu pris les devants.
Vous aviez parcouru deux couloirs avant de pénétrer dans une pièce qui se trouvait fermée à clé. Tu t'étais isolé avec l'utilisateur de l'Hebijutsu, c'était un risque, certes, mais avais-tu réellement le choix à cet instant pour gagner du temps ?