A la recherche de travail

Les années passent et ne se ressemble pas. J’avais voyagé bien au Nord dans les monts enneigés de Aisu. Des terres totalement opposé à mes origines mais qui ne me déplaisaient pas pour autant. J’avais prit l’habitude alors d’explorer la région afin d’y connaître un peu mieux la population dont certain sont très accueillant. Je suis aussi tombé sur des drôles d’individus que sont les Tanuki, un peu farceur et je ne vais pas m’étendre sur leurs particularités qui fait qu’ils doivent être unique et heureusement pour nous. J’ai pourtant été très bien accueilli chez eux aussi. Je pars alors encore et toujours, par Cha jadis cité des vampires où il n’y en avait plus, du moins, je n’en ai pas croisé un seul… peut être fallait-il mieux. Chiemi devait être un exception de vouloir aider les humains que d’autres ne doivent certainement pas avoir.

Les vampires, depuis ma encontre avec Chiemi, qui date pourtant de plusieurs années. Ils me fascinent et je pense qu’indirectement je suis en quête d’en trouver d’autre mais où et par où commencer? Chose que je ne savais pas et c’est pour ça que je parcours le monde en espérant sans doute, d’en rencontrer un autre même si cela peut paraître comme de la pure folie. J’ai déjà eu l’occasion de discuter avec diverses personnes qui me contait des histoires sur eux assez terrifiantes sur des massacres bien entendu. C’était une réalité, j’avais entendu parler du Prince, le père de tout ces vampires, l’originel… d’ailleurs je me demande bien son âge. Existe r-il encore d’ailleurs? Je m’interroge beaucoup à leur histoire.

Enfin, mon chemin finit par me mener dans une ville de civile. On ne se pose pas trop de question à mon sujet, je suis assez banal et je ne me balade pas avec un tas d’armes qui pourrait laisser penser que je suis un shinobi. Je sais très bien que ce n’est pas très bien vu… je pénètre enfin dans cette ville. C’est assez grand et une vrai fourmilière… je me demande si dans tout ce monde il ne s’y cache pas quelques shinobis qui sont ici pour mener une vie beaucoup plus paisibles. Je me dirige vers l’auberge pour m’y restaurer et trouver un endroit où dormir. J’y entre et je me dirige vers le bar.





Ce n’est pas donné mais heureusement que j’ai emmagasiné pas mal d’argent sur moi. Je le paye et il me dirige vers ma chambre. Très propre et il y avait une salle de bain. C’est parfait et je le remercie. Il est temps maintenant de me reposer un peu avant d’explorer cette ville.

Ça fait un peu plus d’un an que je ne suis pas venu ici. J’avais du hélas m’armer vu sur quoi je suis tombé et je n’avais plus la mentalité si joyeuse de l’année passée… j’ai changé à voir les horreurs de ce monde et ce que l’homme peut faire à ces semblables mais aussi aux autres espèces. Je me suis d’ailleurs juré jadis de ne plus intervenir or dans des conflits… mais je n’ai pas pu m’empêcher de tuer à plusieurs reprises des pillards qui s’en prennent à des malheureux dans des petits villages. Ils étaient reconnaissant et ils ne le dénoncent pas vu que je leur rend service, mais j’ai tout de même tué des hommes… je devais ne plus trop y penser. J’en arrive a tuer les parasites de la société… ironique en sachant que j’en étais encore un il y a quelques années, heureusement… on mûrit, on devient meilleurs dans un certain sens à se forger une opinion et de créer ces limites sur ce qui est juste ou non.

Je me débarrasse de mes affaires pour finir nu afin de rejoindre la salle d’eau pour y prendre une bonne douche chaude… je le lavais souvent de manière précaire dans des points d’eaux que je sécurisais bien avant de m’y baigner… les hommes sont dangereux mais les animaux aussi si on est sur leur territoire, mais eux… ils ne sont pas à blâmer car ils ne cherchent pas à envahir. Enfin, ça me fait plus grand bien et je vais en profiter aussi pour laver les vêtements ou en acheter des nouveaux directement, ce qui serait sans doute plus justiciables. Je sors du bain alors que j’entends frapper à la porte, je met vite une serviette autour de moi et je vais ouvrir. C’était une serveuse qui amenait mon repas. Je la remercie et je vais vite chercher quelques pièces afin de lui offrir et elle le remercie en retour. J’installe mon repas sur la table et je me lance dessus sans prendre la peine de m’habiller, j’ai trop faim et je mange plus que de raison avant d’aller m’effondrer sur le lit.



Il n’est pas toujours aisé de trouver de la nourriture selon l’endroit où l’on se trouve. Enfin… je m’installe confortablement, il était encore tôt mais je suis fatigué.



Je me parle souvent à moi-même vu le peu d’interaction sociale que j’ai… je m’endors alors paisiblement.

D'après la serveuse, un homme venait de l'accueillir en l'invitant à moitié nu au sein de sa chambre. Pour Kalia, ce comportement était inacceptable. Depuis de longs mois, elle vivait au sein de cette ville en tant que protectrice. Elle était ainsi souvent chargée de virer les individus dangereux pour la ville.

Après plusieurs minutes, la femme rejoignit l'étage de la chambre et se mit à frapper à la porte.


Effectivement, le business des statuettes de Shinobi était florissant. Elle réitéra son tambourinage intempestive en beuglant :

Je commence à m’endormir doucement en pensant à mon planning des choses à faire demain. J’avais besoin de trouver des armes de très bonne qualité et ensuite rencontrer la population locale afin de savoir si il y avait des shinobis dans la région. Il était mieux de savoir que d’être surpris et je n’aime pas les surprises. Je m’assoupis de plus en plus alors que l’on frappe de manière violente à la porte, ce qui le fait sursauter et tomber en bas du lit.

Je le relève en frottant ma tête, c’était une voix féminine qui parle à quelqu’un d’autre. Ils sont donc deux. On tambourine à nouveau en le traitant de vieux pervers ! Mais c’est quoi le délire la? Bon, ce n’est pas le moment de sortir ainsi alors… j’enfile vite un t-shirt avec un pantalon avant de me mettre devant la porte et s’ouvrir…

Je le faisais doucement et je peux sentir une sale odeur émaner… je vois d’abord une jeune femme et elle était accompagné d’un animal domestique qui était habillé… original mais il puait la rage et c’était assez dur de supporter une telle odeur mais je le tiens bien face à eux…



Elle avait l’air bizarre et je reste sur mes gardes, surtout la drôle de bestiole qui pue… elle n’était pas clean et encore moins elle avec ces sourcils énormes…

Elle se mit à regarder dans la chambre de l'inconnu. Elle ajouta :


C'était un plan.. Un vulgaire plan organisé par le trio et cette jeune servante. Rien de plus simple... Celle-ci venait dans la chambre d'un client après sa douche et lui servait de la nourriture. Ensuite, elle faisait mine d'être choquée et exigeait à ce que Kalia vienne virer l'énergumène. Ensuite, la Kirishitan exigeait quelques piécettes pour s'en aller.

Ah mon dos, je venais d'avoir beaucoup de Tanuk a monter les escaliers, je devenais vieux, je le sentais et il fallait dire que mon âge était déjà bien avancé pour un Tanuki, il n'y avait que quelques légendes qui avaient dépassé les quarante ans, et il fallait le dire, je n'en était pas loin maintenant. La compagnie de la femelle et ses histoires pour se faire de l'argent, c'est ça qui me Tanuk jeune, je n'avais plus l'âge d'être instable dans mes relations, je le savais, j'allais finir ma Tanuk d'existence aux côtés de cette femelle.

Nous étions dans la chambre d'un homme qui allait sans doute être notre prochain Tanuk, il allait lâcher les pièces et on allait se payer un repas. Je laissais la femelle faire son Tanuk habituel, et il était temps pour mois de rentrer en action. Je faisais craquer mes poings, puis ma nuque... Oh mon Dieu j'aurais jamais du Tanuk ça, je m'étais déplacé une Tanuk c'est sur ! Je ne devais pas le montrer... Je dis alors...



Je montrais les crocs, et commençais à emmètre un léger grognement, généralement c'est à ce moment là, que les voyageurs se détestent de quelques pièces...

J’écoute et je regarde cette fille d’un air des plus saisi… c’était un gag ou quoi? De plus, elle ne semblait absolument pas gênée et je lui ai laissé un pourboire afin de la remercier de m’avoir apporté à manger.



Puis d’un coup le ton change et je suis scandalisé d’une telle méthode… et s’en suis une pseudo menace avec le truc puant à côté d’elle, il sembla avoir grand mal d’ailleurs celui la, il n’a plus l’air tout jeune…. Et, surpris, ça parle en parlant de pourboire. Je le regarde alors d’un air désespéré.



Je soupire grandement à leur mauvais jeu d’acteur.



Je les invite à rentrer.



Je vais tenter de retourner la situation.



Je m’assieds sur le lit.

La jeune femme était bien moins agréable qu'habituellement, elle en perdit presque son accent..


Bien que la jeune femme était particulièrement mécontente de cette situation, elle se mit à rire face à la médiocrité de l'individu face à elle.


Effectivement, elle ne voulait pas vraiment se l'avouer, mais ce type était similaire à elle et il semblait suivre une voie aussi étrange que la sienne. Elle pénétra alors dans la chambre de ce dernier et s'approcha de lui.

J'avais vécu une vie entière, j'avais même du rabe d'après mon expérience, un Tanuki ne dépasse rarement les 30 printemps, sans doute le style de vie en intérieur et la nourriture qui n'était jamais pourri et jamais pleine de verre y était pour quelque chose. Bref je le Tanuk dans mes pensées, je voudrais juste revenir à l'idée principale ! Mais quel looser ce type !



Il était bizarre ce type, et tordu en plus... Enfin la femelle allait rapidement le remettre à sa place, la connaissant elle n'allait pas laisser ce gros Tanuk lui faire du rentre dedans de la sorte.



Sérieusement, j'avais jamais rien Tanuk d'aussi mauvais, et il osait dire qu'il avait pris une dou... Je me sentais sous le bras avant d'avoir un haut de coeur et de dire.



La veilleuse ne m'allait pas, mon odeur n'était plus aussi glorieuse qu'autrefois...

La jeune femme n'y croyait pas... Le Tanuki osait accuser les autres de sentir mauvais dorénavant ? Elle se mit à soupirer pour ensuite rire. Elle était de bonne humeur aujourd'hui.


Elle fit alors demi-tour et se rapprocha de la porte d'entrée... Kalia n'était pas venue ici par hasard... Elle suspectait qu'un individu surveilla cette dernière depuis plusieurs jours... Était-ce une réalité ou le début d'une longue folie ? Elle n'en savait rien du tout... Une fois dans le couloir et la porte refermée, la Kirishitan se mit à dire :

Pendant que j’assiste à une sorte de parodie de faux méchant arnaqueurs, j’en profite pour m’habiller et ainsi être plus présentable. L’espèce de chien qui parle, il semble divaguer… il me faisait presque pitié alors que son odeur me dérange au plus au point. Enfin, de là à me prendre pour un simple vagabonds, j’en suis presque vexé même si la vérité n’en est pas loin.

Le pire dans tout ça, elle me demande si j’avais un plan et la, ils me laissent en plan en partant aussi vite qu’ils sont venus. Je ne compte pas les lâcher ainsi. Il m’intrigue et je pense pouvoir en tirer profit… j’avais besoin d’argent, il semble un peu bête ces deux là mais ils savent se battre, j’en suis sûr. Il leur faut juste un cerveau pour trouver des bons plans. J’en avais justement un mais ils ne m’avaient pas laissé le temps d’en parler. Je les interpelles.



Je les regarde en souriant.



Je soupires légèrement.



A eux de voir, je n’aurai pas grande difficulté à trouver des mercenaires pour ça.

Il venait de dire quoi l'espèce de Tanuk aux cheveux gras ? Il avait un sacré culot ce Tanuk de sa race ! Il était ici pour vendre des animaux au marché noir ? Je connaissais ce genre de marchés ! De la peau de Tanuki ! De la poudre de Tanuk de Tanuki ! Il était en train de me proposer de faire quoi ce chien du désert ? Raaah s'en est trop pour moi !



Tout à coup mes deux glorieuse Tanuk devinrent immense, et en équilibre sur elle, je me mis en garde comme un vrai spécialiste du Kung-fu mais en plus poilu avant de dire.



J'étais remonté comme rarement dans ma vie et je dis alors.