Tekunorojī, la Grande Ville

Depuis une semaine, la cité de Tekunoroji était en ébullition. Cette ville d’ordinaire plutôt tranquille fut malheureusement témoin d’un véritable massacre. Quelques jours plus tôt, les membres du conseil Rihatsu furent réunis en urgence au sein de la cité, avant d’y être sauvagement assassinés. Le clan ayant la mainmise sur la ville mit cette dernière sans dessus dessous afin de retrouver le ou l

De la même manière que le raiton est capable de créer un orage. Sauf que cette fois c’est le katon qui est en cause. Ce n’est pas moi personnellement, je me suis simplement retrouvée au mauvais endroit au mauvais moment. Cela aurait pu être n’importe qui d’autre. Ou du moins, n’importe qui capable de briser un sceau, mais c’était un détail. À l’époque, ni toi ni personne

J’écoute, mais tu éludes volontairement mes questions. Je suis déjà au fait de tout cela, du moins en partie. Je n’ai pas plus d’intérêts que le conseil à l’idée d’imposer notre clan au reste du Yuukan. Agaçant. C’était le seul mot que je trouvais pour décrire cet homme. Tout paraissait si simple à l’entendre parler. Si c’était le cas, pourquoi n’était-il pas encore parve

Prends c’est fait pour cela. Dis-je au sujet de la bourse qu’elle tenait dans ses mains. Il était coutume pour nous autres d’offrir des avances. En règle générale, les mercenaires n’essayaient pas de nous doubler, certainement car ils connaissaient les risques qu’ils encouraient en se mettant la confrérie à dos. Nous étions partout, ou presque. Ceux qui étaient officielle

Face aux nouvelles accusations de Koseime, je ne répondis pas un mot. Me justifier auprès de lui n'a aucun intérêt, surtout maintenant. Pour moi ce n'est qu'un gosse dont la mère lui a occulté de nombreux détails sur ses ambitions. Tout comme Torhu, semblant bien plus tendu que moi, je me contenta donc d'observer l'échange entre Miwa et Koseime sans bouger ni prononcer le moindre mot. Finalemen

Elle ne comprenait pas vraiment ce qu'il se passait, elle se sentait à la fois remplie de vie et à la fois complètement vidée. La jeune Chikara ne savait plus quoi penser, c'était ici son point de départ, non pas le point de départ d'une quête de plus, d'une aventure ou bien d'un voyage. Mais bien le point de départ de sa vie entière, celle-ci commençait ici et maintenant. C'était plus qu'une simp

Hmm ? Qui te dis que nous possédons une telle envie ? Je ne pus m’empêcher d’éclater de rire en écoutant la suggestion d’Itsuki. Ce n’est pas que sa proposition était mauvaise, au contraire. Mais que cela provienne d’un simple sous-fifre me faisait rire, surtout s’il était un ancien suivant d’Harumune à Koya. Moi qui croyaient qu’ils n’étaient que des idiots, je me trompa

[quote pnj="1722.1"]Certains des nôtres ont refusés de prendre part à cette réunion, ils affirment que Koya et Tekunoroji sont déjà sous le contrôle d’une dénommée Rihatsu Miwa. Néanmoins, le conseil n’a jamais eu vent de tout cela et sa présence à un tel poste est illégitime. Tout porte un croire que Mariko à fait promettre à certains de ses plus proches collaborateurs de jurer fidélité à cette f

Le poing contre la figure du corps inerte au sol, le Minashigo ennemi venait de lâcher son dernier soupire. De nombreux civils ne tardèrent pas à rejoindre la zone pour remercier l'Uzumaki de participer à la tranquillité de la ville. Jin n'aimait pas cela, il venait d'attraper une cible de mauvais rang pour en perdre deux plus importantes. Soudainement, une marionnette recouvert d'une cape blanchâ

Si tel est ton choix Kyoko… Mais sache que tu n’as pas besoin de faire tout cela. Tu pourrais simplement vivre. Rien ne t’oblige à te retourner contre le monde entier. Certes, celui-ci n’est pas idéal, mais nous ne vivons pas dans un conte de fée. [quote moi="34"]Et vivre où hein ? Dis le moi Itsuki. J’ai tout perdu, par ma propre faute. Konoha… puis Minori. Qui te

Mes mots semblaient te toucher. Ton visage pourtant masqué par ton capuchon semblait lentement s'assombrir et ne laisser passer plus qu'une ombre mélangeant l'aigreur de tes traits à la tristesse de ton regard. Tes poings s'étaient fermés et tu avais l'air de trembler et ce n'était pas l'alcool qui t'avait mis dans cet état mais simplement le pouvoir d'une simple phrase. Le genre de phrase qui ne

Oula ! Le Maître n'avait pas l'air de très bonne humeur aujourd'hui et puis... En regardant de plus près, tu avais confondu la femme bizarre en face de vous avec celle qui incitant le jeune Hattori à entrer dans un lieu peupler d'autres femelles. Intolérable selon toi ! Cette dernière te fis même la remarque qu'elle ne te connaissait pas non plus. Tant pis ? Tu haussais