À l'autre bout du Yuukan...

Dans le cas contraire, tout ce plan pourrait finir par se retourner contre nous. Avais-je réellement envie de prendre le risque de « recruter » directement dans les villages ? Je n’allais peut-être pas avoir le choix, mais je préférais opter sur des volontaires en premier lieu. Nous étions nombreux à détester les clans majeurs, mais aussi les villages qui en découlait…



Je finis par le suivre dans son antre. Un bien curieux endroit qui collait parfaitement à l’image que je me faisais de mes deux nouveaux compagnons. Je ne puis m’empêcher de me faire une remarque à ce sujet.



Dis-je avec un sourire en coin. Cela m’importait peu, je vivais hors des murs de Kumo depuis bien longtemps désormais, ce n’était pas un endroit pareil qui allait me faire perdre confiance en moi. Je commençais alors à lui expliquer mon plan plus en détail, comme il me l’avait demandé.



Je tentais d’effectuer ce qu’un Empereur avait échoué à faire. Pourquoi pensais-je être en capacité de réussir ? Car contrairement à lui, je n’étais pas entravé. Il avait certes les moyens, mais nous, nous avions la détermination, un élément cruellement important.

Le petit avait un sacré plan, et il en avait une sacrée paire aussi, il était rare de voir quelqu'un pénétrer mon antre sans même avoir un léger haut de coeur, bien, je n'aimais pas l'allié avec les faibles. Donc je n'allais pas me changer de la grosse barrique tout de suite, ce n'était pas grave j'étais patients, je n'avais pas atteint cet âge avancé pour le Yuukan sans patience...



Jamais je n'avais était membre d'un village, les Uzumaki m'avaient banni bien avant Konoha.

La quantité de chakra dont il parlait, une seule chose avait ça, une seule chose et pas des moindres.

Et ce n’était pas mon cas non plus, après tout, j’étais déjà venu jusqu’ici, je pense qu’il avait déjà sa petite idée quant à ma volonté d’aller au bout de mes objectifs. Quel dommage que je n’eus pas l’opportunité de le rencontrer plus tôt, notre plan serait déjà en marche depuis bien longtemps. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises, lorsqu’il énonça le mot « démon », l’on pu lire une expression bien rare sur mon visage : j’étais réellement intrigué.



J’avais vu bien des choses au fil des années, et cette notion de « démon » était apparue plusieurs fois. En revanche, il s’agissait d’une chose en laquelle je n’avais jamais voulu croire. Je n’en avais jamais vu de mes propres yeux, et les « preuves » concernant leur existence sont réellement… peu convaincantes. Mais le vieillard semblait être pourtant sérieux, c’est alors que je repris :

Ah la naïveté de la jeunesse, ils viennent à peine de sortir de l'oeuf et pense déjà lieux connaître le monde que le vieil homme qui arpentait déjà ces terres avant qu'ils ne marchant... Il ne croyais pas aux démon ? C'était bien un Kumojin celui là, les Uzumaki se passe un démon de génération en génération, jusqu'à ce que finalement ce soit Gekido qui en hérite... Nous n'avions aucun doute sur l'existence des démon dans mon ancien clan de traître... Nous étions leurs maîtres...



S'il pensait dur de trouver les manipulateurs élémentaire, il verrait pour le démon, loi qui en avait cherche une partie de la vie, je n'avais jamais lu lettre la main sur ne serais ce qu'un indice... Sur ce point il avait raison le plan était fou...



Je le regardais quelques secondes avant de dire.

Posséder un démon relevait d’une utopie folle. Quand bien même ceux-ci puissent exister, le risque me semble trop grand. Quoique, d’un certain côté, convaincre les autres ne sera pas facile non plus… J’aviserais en temps voulu, mais je préférais me consacrer pleinement à mon plan de mon côté, libre à lui de faire ce qu’il souhaitait de toute façon. Haussant les épaules, je répondis simplement :



Mes yeux firent rapidement le tour du laboratoire, je ne savais pas pour lui mais il était hors de question que je reste moisir dans ce trou. De toute façon, il était plus simple pour moi de me déplacer seul, et plus rapide surtout. Retournant alors vers la sortie de son antre, je m’arrêtas à deux pas de lui.



Tandis que je lui tournais le dos, je levais ma main en l’air pour le saluer brièvement, nonchalant j’ajoutais :