« Je ne te demande pas vraiment ton avis, Konohajin. »
« Vous êtes dorénavant sur NOS terres, ce qui veut dire NOS règles. »
La tension était palpable, Tetsuko nous dépassait pour intervenir et ainsi donner l'information de qui il s'agissait. Ryû se le répétait, tandis que nous nous restions muette et concentrée.
« Ne serait-ce pas cette adorable Uzumaki de la dernière fois ? »
« Comment c'était déjà ton nom ? »
Il souriait d'un air grandement hautain.
« Ah oui, ca me revient. Kyoko ? »
« Oh... Mille excuse princesse, c'est celui de ta copine, pas vrai ? »
Ce type nous dégoutaient bien. Nous mettions notre bras katana en main devant Tetsuko pour montrer à cet homme qu'il n'était pas seul face à elle. Le son de la lame annonçait la couleur s'il ne se taisait pas.
Puis, à l'instant même un autre homme fit son entrer. Peu à peu nous comprenions pourquoi l'individu sautait par la fenêtre. Il avait prévenu Shimazu Uzumaki de notre venu.
« Quel dommage... Vous arrivez à mon moment préféré... »
Un signe de la main suffisait à faire taire ce malpoli et nous prenions l'initiative à ce moment même de poursuivre le dialogue avec notre Uzumaki-Dono.
« Contentes de vous trouver Shimazu-sama. »
Ajoutions-nous toujours de notre voix sans expression. Notre nature morte nous agaçait, car nous étions incapable de parler autrement et ceux même en dehors de notre travail. Malgré que l'Uzamlaki soit enfin arriver, nous nous refusions de baisser notre garde, car le Rihatsu était jaugé de bien trop "instable" pour que nous nous le permettions.
Nous en dire plus ? Inutile. Nous avions une mission et pour le moment elle était réussie. Cela nous suffisait personnellement, mais nous nous doutions fortement que notre camarade en demanderait bien d'avantage, ainsi que la jeune demoiselle.